« Heureux les simples en esprit car le royaumes des cieux est à eux »

 » Heureux les simples en esprit car le royaumes des cieux est à eux » cette petite phrase est le résumé d’un texte écrit sur ce blog il y a quelque temps  » l’intellect-tue-elle » qui à la relecture est, et je m’en excuse, fort incomplet ! Incomplet car il ne dit pas, pour le moins ne tente pas d’expliquer en vérité en quoi l’intellect tue le ELLE.

Un petit préambule

Pour commencer, celui qui écrit ici n’est pas Robin Brasseur, ce dernier a « disparu » par la réalisation du Soi, le retour à la conscience que l’on appelle éveil. IL a observé que Robin Brasseur est une part individuée de cette conscience, comme chacun et chacune d’entre nous, tout comme l’est le vivant, la Vie dans laquelle nous sommes tous incarnés, dans le chair, dans la matière tous et tout est le résultat de notre projection unique et diversifiée pour créer l’expérience, le jeu du JE SUIS.

Robin Brasseur est cette part individuée de ce tout et de ce rien dans lequel ce tout était déjà présent et cherche à ce voir, ce goutter. Robin Brasseur n’est qu’une étiquette momentanée, éphémère posée sur un corps tout aussi momentané et éphémère mais ce qui écrit est lui est infini et éternel. L’intangible ayant pris forme dans le tangible pour ce voir, ce goutter, créer l’expérience de qui IL est. C’est pourquoi est écrit « je », ou « il/elle, quand JE s’exprime.

En avant-propos il convient de signifier ce qu’est ce ELLE ?


ELLE est le féminin sacré, ce féminin propre à toutes choses dans le créé et l’incréé, dans la matière et l’immatériel tout comme l’est le masculin, des deux faces d’une seule et même pièce, non pas séparées, en dualité mais belles et bien complémentaires. Ce féminin sacré est notre part créative, intuitive, ELLE, est notre empathie, notre sensibilité, notre vulnérabilité n’étant en rien une forme de faiblesse, bien au contraire, la vulnérabilité est ici vue, gouttée comme notre capacité à nous laisser toucher par nos sensibilités, émotions, sentiments, a pleinement goutter ce qui EST, ce qui ce dévoile, ce déploie là en nous. ELLE, nous offre son aide pour ressentir,  sentir,  vivre de façon la plus authentique par la simple observation du déploiement, le dévoilement de ce qui est.
ELLE est cet espace d’accueil, cette chambre d’écho par laquelle nous pouvons goutter, ressentir, sentir de façon vraie, authentique, en toute vérité ce qu’est l’Amour, la compassion, l’empathie, l’humilité dans toutes ses grandeurs et beautés étant l’expression de ce qui est.
ELLE, est cet endroit hors du temps, hors de l’espace, hors de la forme nous permettant de dire OUI en toute joie dans l’accueil inconditionnel, sans jugement, sans affect à ce qui est tout comme de dire NON, sans colère ni indifférence.
Elle, est la finesse d’un fil de soie que rien ne peut rompre, ELLE, est ce roseau qui peut importe le vent et la tempête s’adapte et dit d’accord, j’accepte, j’accueille par un sourire et avec joie d’être bousculé par les événements qui en rien n’altérerons ma joie d’être, j’accueille la tempête tout comme j’accueille la pluie, la sécheresse, le soleil qui dessèche et le froid du gèle de l’hiver. Je les prend, je les goutte car ils sont mien tout comme je suis eux. J’en goutte avec joie chaque parcelle car ces éléments, ces évènements auxquelles je me prête sans retenue sont ce que je suis ici et maintenant dans mon expérience. Je créé l’expérience afin de me voir et me goutter sous de multiples formes et façons.
Elle est le ressenti, le vécu direct par le cœur. Car le cœur est avant tout le siège, le trône de la conscience, là ou elle et il confondu pulsent, jaillissent, se déploient, se dévoilent de l’invisible dans le visible, de l’intangible dans le tangible. Elle, est cette partie la plus sensible et vulnérable du cœur aimant qui cherche, recherche à ce voir, ce goutter en toute joie pour le simple jeu d être.
Elle étant l’accueil de notre sensibilité, Il, lui, est un frein à ne tomber dans la sensiblerie. Elle, est la vulnérabilité que Il renforce à le transformer non pas en faiblesse mais en force, celle d’accueillir. Elle est l’accueil de nos émotions et Il nous permet de les goutter sans émotivité. Elle est l’empathie sans tomber par Il dans l’identification.
Il et Elle ne sont que les 2 faces d’une même pièce, elles ne sont pas opposées, ne sont pas duelles car la dualité n’existe pas, c’est une invention de l’humain qui aime opposer le blanc et le noir, le jour et la nuit, le haut et le bas, la gauche et la droite, le féminin et le masculin. Rien n’est opposé mais tout est complémentaire afin de retrouver l’unité transcendantale, retrouver la voix du milieu, le centre de la roue, là ou jailli en toute joie l’être, le « je suis » ou rien n’est séparé, opposé mais tout est unit dans un seul élan afin de jouer aux retrouvailles du grand JE.


Il convient aussi de définir ce qu’est l’esprit. L’esprit est ici vu, goutté comme étant l’intellect, la faculté mental à gouter les perceptions nées des pensées, de l’intuition, des affects, engendrant jugements, appréciations et morales. Pour autant dans cette phrase : « heureux les simples en esprit car le royaume des cieux est pour eux », il doit être entendu qu’à l’époque, esprit et conscience voulaient dire la même chose. C’est avec le temps que nous avons fait une distinction entre esprit et l’intellect, entre le souffle de Dieu et la conscience qui elle, est la créatrice de ce souffle.

La conscience précède l’esprit. L’intellect est l’outil, l’instrument utile et nécessaire créé par la conscience afin que, par le raisonnement, l’analyse, le discernement, l’intellect, nous puissions retourner à notre origine ontologique, celui de la conscience infinie, éternelle et immortelle qui est qui JE SUIS, qui nous sommes en toute vérité.


Maintenant que l’avant-propos est posé, nous pouvons traduire ce conseil légué depuis des siècles maintenant par ces mots :  » heureux les simples en esprit car le royaume des cieux est à eux ».  La traduction semble nécessaire car depuis bons nombres d’années ces mots questionnent autant qu’ils ont pu induire en erreur bon nombre d’êtres.
L’esprit est défini comme le souffle de Dieu étant l’intellect et Dieu est la Conscience, la Vie, le Vivant et c’est par son souffle que la vie fût créée, ce qui nous conduit a observer que le souffle de Dieu n’est pas la conscience mais son « produit » afin que la lumière soit et que Dieu par l’esprit, le saint esprit, puisse réaliser la plus grande expérience de qui IL/ELLE EST.
D’ailleurs, la prière :  » au nom du père, du fils et du saint esprit est un peu « erronée » et a conduit à bien des soucis, entre autre, celui de la négation du féminin depuis des siècles maintenant. Il serait plus juste de dire :  » au nom du père/mère, du fils et de la fille et du saint esprit »…
La père/mère étant ici la conscience, la fille et le fils, ses créations qui sont la conscience ELLE et IL confondus, unis, qui par le saint esprit, SON souffle créateur,  l’intellect, souffle, étant la création de la matière mais aussi de l’immatériel, les mondes subtils, les plans astraux, le rêve, comme celui des pensées, de la réflexion, des émotions, sentiments, les outils du grand œuvre JE SUIS !


Maintenant que la mise en perspective est réalisée, nous pouvons traduire  en mots contemporains ce que dit vraiment : « heureux les simples et esprit car le royaume des cieux est à eux ». Traduction :  » heureux ceux qui resteront avec un intellect simple car le royaume de la conscience, le retour à la conscience, de qui ils sont vraiment est à eux, est qui ils sont. »
Attention, rester simple avec son intellect ne veux pas dire être simpliste, absolument pas, il veut juste dire que, c’est un outil comme un autre à utiliser avec modération et discernement car sa puissance est grande et peux conduire sur des chemins tortueux.
Le royaume des cieux n’est pas dans l’au-delà, là au dessus des nuages !! NON,  il est bel et bien ici et maintenant comme en toutes choses vues, gouttées, vécues, ressenties, senties par tous les sens, les invisibles et les visibles, les tangibles, les 5 sens communs et les intangibles : intuition, télépathie, médiumnité….. Car tous nous avons tous ces sens, tangibles et intangibles en nous, ils sont nos attributs innés, intrinsèques à l’être, ils sont consubstantiels à être pour que être, JE SUIS, puisse se voir, se goutter, se sentir, se ressentir sous les multiples formes diverses et variées dans le tangible et l’intangible à l’infini et pour l’éternité.


Contrairement à une forte fausse croyance, nous ne sommes pas un corps doté d’un cerveau, d’un cœur et d’une conscience, nous sommes la conscience qui s’est dotée d’un corps, un cœur et un cerveau pour créer l’expérience de qui JE SUIS. Réalisation du jeu divin auquel « JE » joue à se voir et goutter, faire l’expérience de qui il/elle est sous de multiples formes diverses et variées.

Nous ne sommes pas le résultat du big bang, nous en sommes en tant que conscience de laquelle jaillie le souffle, l’intellect, que la lumière soit, les créateurs de ce big bang. C’est le grand secret qui nous est caché depuis des siècles maintenant et que de grands prophètes sont venus nous révéler.
Quand Jésus a dit :  » avant que tout ne soit, j’étais », c’est exactement ce qui vient d’être énoncé ici plus haut. Ce qui doit être vu est que Jésus ne parlait pas en son nom à lui, celui du petit Joseph, il parlait depuis la Conscience, le Logos Christique qui voyait qu’il/elle était le créateur de ce big bang, de la lumière. Idem dans son « j’étais », il cherche à faire entendre, goutter, que tout était déjà là avant le big bang, avant que la lumière soit, tout y était déjà. Chacun et chacune d’entre nous, tous les présent et futur étaient déjà là, toutes les expériences des multiples Il et Elle à l’infini et pour l’éternité étaient déjà là, toutes les trouvailles scientifiques passées, présentes et futurs étaient déjà là, tous les chemins tant individuels et collectifs étaient déjà là !  Tout ce que nous faisons ici et maintenant, c’est le découvrir, le dévoiler, le voir, observer que tout est déjà là depuis la nuit des temps. C’est exactement ce que nous montre, nous explique la physique quantique.

Lors d’une conférence, le physicien Hans Peter Dürr nous avait notamment dit ceci :  » j’étais athée et j’ai donc passé toute cette vie à découper, disséquer et analyser la matière. Je l’ai découpée et disséquée en tous sens, sans fin afin de pouvoir démontrer que tout était explicable et démontrable par les lois mathématiques et les expériences scientifiques. » Ceci pour prouver l’évolution, la création du big-bang, que toute cette création n’était rien de plus qu’une chaine, un maillage inouï de hasard ayant conduit à la naissance du vivant, de la vie. Il n’y avait selon lui rien derrière toute la création, juste les fruits fortuits d’une chaine incommensurable de hasards.

Mais en fin d’incarnation, il nous fit la révélation suivante :  » à force de découper et disséquer en tous sens la matière, arrivé au bout de ce qui était possible d’observer, j’ai découvert que, quoique je découpe, quoique je trouve dans ces dissections, il y avait, il y aurait toujours quelque chose à découvrir et que c’était sans fin. Tant dans l’infiniment petit que dans l’infiniment grand, alors juste à ce moment-là, j’ai découvert ce que l’homme appelle Dieu ou plus simplement la conscience. « 

A partir de cet instant il a lâché le bistouri et a focalisé toute son attention sur ce qu’il appelait le substrat originel créant sans fin la matière, c’est à dire le prana. Lui ne le nommait pas comme ça mais c’est en vérité ce qu’il recherchait à la fin de sa vie. Cette « matière originelle » étant « l’énergie » par laquelle la matière se créée, recréée, cocréée sans cesse à l’infini pour l’éternité.
Oui cher Hans, le prana est comme les pixels des hologrammes, il est le support sur lequel s’imprime, grâce auquel s’imprime ce qui est ici nommé la matière, juste un champs holographique quantique que nous prenons pour le réel alors qu’il n’en est que les multiples facettes du miroir sur lequel la conscience se découvre, se dévoile.


Pardon pour ces digressions et revenons à ce en quoi l’intellect-tue-elle.
« JE » n’ai rien contre l’intellect, bien au contraire, ce souffle de Dieu qui anime, créé, co-créé la vie est un outil puissant et merveilleux afin de me connaître ou mieux encore co-être. Le « co » veux dire être avec, opter et coopter, opérer et coopérer 
l’intellect est un outil magnifique pour voir, goutter, discerner, analyser, raisonner afin de traduire les pensées, les messages intuitifs, les élans du cœur, les émotions, les sentiment, les ressentis. Tout cet univers de l’intangible créant le tangible.


Mais si l’intellect est ce magnifique outil servant l’évolution humaine, comme toute médaille il a son revers ! Il en va ainsi dans toute la création, chaque chose a son contraire, chaque avantage a son inconvénient et il est juste qu’il en soit ainsi. Pour un chaud, il y a un froid, pour un blanc il y a un noir, pour un haut il y a un bas. C’est nécessaire, indispensable pour retrouver la voix du milieu, là ou jailli, se déploie en toute joie ce qui est.
Si l’intellect nous apporte, nous offre par sa puissance le raisonnement, l’analyse, le discernement, les classifications, son abus, ce qui nous pousse à trop raisonner, trop analyser, discerner, nous coupe du ressenti direct, du vécu direct par le cœur ; c’est à dire ELLE.
Ne dit on pas que le cœur sait, connaît ce que la raison, l’intellect, ignore? Oui, l’abus de l’utilisation de l’intellect conduit bien souvent à ne pas entendre ce que le cœur murmure aux oreilles.
L’oreille du cœur est ce ELLE, cette part féminine, cette chambre d’écho qui accueille sans jugement, sans irritation ni colère mais bel et bien par la joie de ce qui est vu, goutté, vécu, ressenti, ce qui vit dans et par le vécu direct.
L’hyper-développement de l’intellect, son emploi abusif vécu dans ce paradigme actuellement incarné ayant mit sur un trône nos facultés mentales, intellectuelles au détriment de l’intuition, est le frein de l’expression des élans du cœur. Ce cœur qui lui de toute éternité connaît car en lui repose notre attache aussi subtil qu’ intense à la Conscience.

Si la Conscience est tout ce qui est, son point d’accroche est le cœur. Mais là encore une précision s’impose, « je » ne parle ici du cœur muscle, cette pompe qui sert à irriguer le sang dans le corps afin de nous maintenir en vie en transportant l’oxygène dans la moindre de nos cellules. Cellules qui activées, régénérées par l’oxygène et les nutriments, aliments que nous ingérons chaque jour, contribuent à la régénération constante de chaque infimes parcelles composant ce corps, qui sans cesse meurent et régénèrent grâce aux aliments, l’eau et oxygène que nous ingérons sans cesse.
Souvent le cœur prend l’image de cette pompe sanguine, ce muscle qui pulse le sang dans le corps mais notre vraie cœur n’est pas là ! Regarder les images ou icones représentant le Christ, souvent nous pouvons voir le sacré cœur voir cœur consacré … où se situe t-il ? A la gauche du corps du christ ou à chaque fois au centre ?Exactement au niveau du plexus solaire ! OUI c’est bel et bien là que se trouve notre vrai cœur qui n’est rien de plus que le 4ème chakra, l’athanor par lequel transmute le visible et l’invisible, là siège la connaissance, le vécu direct par le cœur. Ce 4ème chakra est celui qui unit les 3 inférieurs liés, enracinés dans la matière aux 3 supérieurs, liés, enracinés dans les étoiles.

Au niveau du plexus solaire, ce cache tout un réseau de ganglions dans lequel repose à l’identique du cerveau une multitude de neurones, tout comme il y en a dans le ventre et dans une bonne partie du corps.
C’est une découverte assez récente que d’avoir vu que nous n’avons pas que des neurones dans le cerveau, nous en avons en bonne partie voir plus au niveau du 3ème et 4ème chakras, ceux du ventre sont ceux qui permettent d’accueillir les émotions, celui du plexus la connaissance.
Le 4ème chakra est le réservoir, le transmutateur, l’alambique qui unit les 3 premiers, racines terrestres et les 3 supérieurs racines du ciel. Ce cœur, ce cœur sacré ou sacré cœur est le moteur hautement créatif de la réalité expérimentée, créée par les élans amoureux de la joie qui pulse à chaque instant en nous comme en chaque chose.
Mais cette humanité a oublié ce « détail » d’une importance capitale, cette humanité c’est inféodée à son intellect, son mental, qui lui, n’est rien de plus, malgré toutes les beautés qu’il recèle et sa puissance, n’est rien de plus qu’un calculateur. C’est un supra ordinateur froid qui, si on ni prend pas garde, peut devenir un tyran, un dictateur duquel  il est pour bien des êtres, difficile de sortir de ses griffes dont la plus importante est l’égo.
C’est vu, observé depuis des décennies maintenant, combien de stages, de formations de toutes formes et natures ne sont pas encoures sur cette planète afin de vous libérer de l’emprise du mental, de l’intellect, qui certes, encore une fois est merveilleux et magnifique mais n’est pas qui nous sommes, qui JE SUIS. Il est juste un outil pour voir, connaître qui JE SUIS, rien de plus car qui JE SUIS est dans le cœur par l’union des racines terrestres et du ciel. Le cerveau, l’intellect est ce souffle nous permettant de discerner les 5 sens et les sens plus subtils, un peu comme le révélateur employé dans la photo argentique.
L’hyper attachement au mental, à l’intellect, cet outil qui analyse, coupe, dissèque, raisonne, classifie… par sa puissance créé une scission dans le vécu direct. L’humain a pris une habitude forte à tout faire passer par son cerveau, le mental, son intellect plus que rester quiet dans le cœur afin de faire remonter les diverses expériences vécues, ressenties, gouttées dans le cerveau pour en voir, en goutter tout le sens.


Cette croyance en la toute et unique puissance du cerveau conduit même des chercheurs, des neurologues à vouloir trouver l’origine de la conscience dans le cerveau ! Hérésie, faux postula de recherche, la Conscience n’est pas dans le cerveau, le cerveau est une création de la Conscience, la Conscience est antérieur au cerveau et son point d’accroche, ce que l’on appelle l’atome germe, sa trace née du big bang, est dans le cœur, le plexus solaire. C’est là ou vit notre lien à l’invisible, cet atome germe propre à chaque être vivant est la fragrance résultante, le caillou du petit poucet qui nous permet de retrouver notre divinité, notre origine ontologique, celle de la conscience créatrice de ce big bang par lequel je me vois, je me goutte, je créé, re-créé, co-créé l’expérience la plus fantastique sous les multiples formes diverses et variées que JE SUIS.
C’est pourquoi l’intellect-tue-elle car l’hyper raisonnement conduit à ne plus voir ce qui doit être raisonné, un exemple, c’est un peu comme puzzle. Vous voyez un puzzle fini, il est constitué d’un nombre important de pièces qui placées bout à bout finissent par donner une image. Mais à trop s’attacher a disséquer le puzzle, en analysant chaque pièce de façon individuelle, l’image primordiale observée s’efface, n’est plus visible car la focale est faite sur chacune des pièces séparées, analysées, raisonnées et c’est exactement ce à quoi conduit l’hyper intellectualisation. C’est un des défauts de l’hyper intellectualisation, à force de mettre des coups de bistouris partout et en tout sens et a tout classifier en ceci, en cela, en si et en ça, l’objet voulant être observé s’évanoui et il devient très difficile de revenir à l’objet existant avant les coups de bistouri.
Un autre exemple peut être offert, vous êtes au musée et vous voyez un tableau, votre regard englobe toute l’image perçue qui si elle est bien lue, reçue par le cœur, dans le cœur, toute la signification sans nécessairement nous attacher aux détails est perçue tout de suite, pas besoin de donner encore des coups de bistouri.

Or c’est une des difficultés observées chez les êtres ayant développés fortement leur intellect. En général, ils ne sont plus capables d’appréhender l’entièreté du tableau, de littéralement l’embrasser d’un seul regard, ce lui du cœur, de l’émotion, de la sensibilité, de la vulnérabilité. Au contraire, ils ont besoin pour tenter de voir le message du tableau, de tout disséquer, d’aller chercher les détails dans les moindres recoins, ils vont faire des focaux intenses sur les plus infimes parties du tableau pour réellement voir ce qui ce dit, ce qui est montrée par la peinture. Cela peut être une bonne façon de faire car les peintres employaient souvent les symboles et les archétypes pour faire passer leurs messages afin qu’ils soient pleinement accueillis par l’être qui les observe, les goutte, ce qui est sans mots vu et goutté tout de suite par un être qui observe avec son cœur et non avec sa tête.
Le souci de l’hyper intellectualisation des observations, sont ces coups de bistouri avec lesquels est découpé l’image, l’émotion observée. A tout découper – 1 : l’image disparaît complétement et il est très difficile de la retrouver dans son entièreté et – 2 : ces coups de bistouris, ces focales conduisent à des identifications personnelles, ou c’est juste le détail qui raisonne avec l’observateur mais plus l’ensemble du tableau qui lui à disparu. Cette façon de découper, tout classer, analyser pour con-prendre nous coupe du vécu direct, du laisser être.
Raisonner, analyser discerner est une bonne chose, mais comme en toute chose, point trop n’en faut. En écrivant ces mots, vient une autre image, un autre conseil : « tourne 7 fois ta langue dans ta bouche avant de parler ». C’est à dire, donne toi le temps d’accueillir dans le cœur ce qui est dit, ce que tu entends, ce que tu vois, accueil et laisse tout doucement du cœur au cerveau remonter l’info que tu viens de recevoir. Ne te laisse pas aller de suite à vouloir classer, ranger, classifier, découper, analyser, disséquer ce qui vient d’être goutté mais laisse le être goutté pleinement, goutte y toutes les saveurs, toutes les couleurs, toutes les notes sans vouloir tout nommer, normer, formater, laisse venir car encore une fois, le cœur connaît ce que la raison ignore.
L’hyper développement de l’intellect conduit bien souvent à être discursif, c’est à dire un excès de raisonnement, un abus du bistouri et c’est une expérience vécue durant cette incarnation de nombreuse fois. Amis de longue date avec des intellos, souvent il a été observé qu’ils leur étaient impossible d’entendre de façon intuitive, par le cœur ce qui est échangé.
Toujours avec ce même exemple du puzzle, quand une image est offerte à des êtres au fort développement de l’intellect, la discurtion s’impose d’elle-même sans qu’ils ne le voient car prisonniers de l’hyper raisonnement. Genre, dans ton récit tu offres une image et ils te répondent :  » ah non ce n’est pas comme ça, et là il rentre dans un raisonnement qui ne fait que s’attacher qu’à quelques pièces du puzzle sans en restituer l’image globale qui avait été partagée dès le début. Ils ne la voient pas, ne la voient plus car il font tout passer par le cerveau avant de l’accueillir par le cœur.
Bien des fois en échangeant avec ces êtres, ces intellos, les voir, les entendre restituer qu’une image partielle induite par trop de raisonnement a induit un :  » il ne m’entendent pas », ce qui conduit à une autre petite phrase :  » ils ont des yeux et ne voient pas, ils ont des oreilles mais n’entendent pas ! » Ceci souvent à cause de cette coupure du vécu direct par le cœur à cause d’un hyper attachement à l’intellect et c’est en quoi l’intellect tue elle, car son abus intensif coupe de l’entente intuitive.
Un autre défaut de l’hyper développement de l’intellect est le manque d’empathie, la coupure avec les émotions ce qui rend des être rigides et notre époque, ce que nous traversons pour l’instant en est la preuve évidente !
Nous sommes dirigés par des êtres fortement attachés au temporel, à l’intellect et voyez leurs manques quasi total pour la plupart d’empathie ! Tout est calcul, tout est abus de langage dans de fausses postures servant juste à assouvir des égos dominateurs en quête de pouvoir sans fin. Toutes cette crise que nous vivons pour l’instant est le produit direct de l’hyper intellectualisation de cette humanité coupée des élans du cœur car il faut tout mettre sous contrôle, tout classifier, tout justifier, tout raisonner, tout placer dans des classeurs qui finissent dans des boites, qui elle finissent dans des meubles qui eux finissent dans des bâtiments qui eux finissent dans des rues, qui eux finissent dans des villes, qui eux sont dans des pays… des frontières invisibles induites par ces hyper raisonnements, ces normalisations, ces formatages fruits misérables d’un intellect débridé, hors de contrôle.


Alors,  » heureux les simples en esprit car le royaume des cieux est pour eux ! « .

La douce omniprésence de la conscience

Tous les pratiquants de la méditation sont en recherche ou connaissent le contact avec cette présence/conscience douce, silencieuse et joyeuse là en nous, c’est le but de la méditation. Elle est la grande invisible, la grande silencieuse souriante qui constamment jailli, ce déploie là en nous comme autour de nous car tout émerge, jailli de cette présence/conscience.

La méditation est un exercice consistant à arrêter les tribulations du mental, les pensées qui sans cesse envahissent notre attention à pleinement goutter la quiétude de l’omniprésence/conscience infinie et éternelle. Cette présence/conscience silencieuse et joyeuse est, en fait, ce qui gère sans que nous nous en rendions compte, toutes nos fonctions vitales, toute la mécanique bio-chimique-quantique qui nous maintient incarnée dans la matière. C’est ici un miracle permanent dont peu de gens voient toute la beauté et la puissance qu’est ce jaillissement, cette émergence constante de l’amour. Si nous nous arrêtons quelques instants, nous pouvons allégrement voir qu’en fait nous ne gérons absolument rien de nos fonctions vitales ! Vérité absolue qui devrait fortement questionner chaque être actuellement incarné.

Nous ne donnons aucun ordre, aucun commandement, ne formulons aucune pensée pour la pousse de nos cheveux, de nos ongles, la régénération constante du derme et de l’épiderme. Ce n’est pas la personne, le personnage, l’indentification à la forme, le petit « je », qui commande la régénération de notre squelette, ce n’est pas le personnage, monsieur ou madame untel qui digère les aliments ingérés chaque jour pour transformer ces aliments en une multitudes de particules chimiques propre à la régénération de toutes les cellules, la matière constituante de notre corps physique qui chaque jour meurent par millions et sont automatiquement remplacées, régénèrent sans que nous ne donnions aucun ordre, aucun commandement ! Nous n’y pensons même pas, ce n’est même pas vu, senti, gouté pour la plupart des êtres incarnés actuellement ! Ce n’est pas la personne, le personnage qui, lorsque que nous nous blessons par exemple avec un objet coupant, cicatrise la plaie. Cela se fait sans que nous ne formulions aucune pensée, ne donnions aucun ordre mental pour que cette cicatrisation se réalise. C’est identique lorsque nous nous brisons un os, il se régénère automatiquement sans que nous y pensions, ça se fait, ça se réalise sans aucune attention, intention de notre part.

Est-ce que ce n’est pas merveilleux en fait d’observer cet élan d’amour constant, cette joie jaillissante qui prend soin de chacun, de chacune, de chaque être vivant sur cette planète ! Cette présence/conscience est en tout car il y va de même pour les animaux et les plantes. Les animaux blessés sont soignés de la même façon, par cette omniprésence de la présence/conscience, ils ont même la faculté d’aller chercher instinctivement les plantes et nutriments prompts à leur rétablissement ! Idem pour les arbres qui coupés ici ou là, se régénère par cette pulsion intense de la présence amoureuse de vie qui jaillie là ici et maintenant et en toute chose créée dans la matière.
La découverte de cette présence, cet omniprésence/conscience se réalise quand par la méditation nous évacuons toute nos pensées, quand nous nous détachons de la forme, de toute indentification à cette forme, à la personne, nos mémoires, nos croyances, les 5 sens communs, …
Pour ceux qui le veulent, désir réaliser cet exercice, posez vous un instant dans un endroit calme et comme si vous vidiez un appartement, vous sortez tous les meubles, tous les bibelots, évacuer votre nom et prénom, votre histoire, papa, maman, le boulot, le mari, les enfants, le conjoint, les amis, les collègues… Débarrassez-vous de votre histoire, de votre mémoire, de vos croyances, de vos difficultés, de vos souffrances, de vos peines pour un temps, essayez pleinement de réaliser un vide total et complet. Oui, ce n’est pas facile mais essayez quelques instants de juste être là hors de toutes pensées.
Si l’exercice est bien réalisé, si vous faite le vide complet, total, vous verrez, vous goutterez à cette présence/conscience douce, joyeuse, silencieuse. Souvent ici elle a été comparée au sourire si énigmatique de la Joconde, ce sourire intemporel, inconditionnel, ce sourire qui souri au juste plaisir simple et joyeux d’être là, pleinement là. Ce sourire est à l’identique le  sourire du Bouddha qui est la signification, la trace indélébile de la présence/conscience.
Une fois que cette présence est gouttée, vue, sentie, vous verrez alors qu’elle ne peut pas disparaître et qu’elle a toujours été là et sera toujours là, quelque soit les conditions extérieures, elle est immuable, permanente sans qu’il n’y ai rien a ajouter ni a retirer, tout est parfait, infini, immortel grandiose et merveilleux.
Une fois cette présence bien goutée, vous verrez aussi que de cette présence/conscience sans forme, cet espace, cet endroit indéfinissable jailli, se déploie au travers de toutes les expérience vécues, senties et ressenties par les 5 sens communs comme par tous les sens invisibles que sont la télépathie, les intuitions, ….

Vous verrez alors que pour qu’une odeur soit sentie, elle a besoin de cet espace sans odeur, pour qu’un son soit entendu, il y a cet endroit, cet espace, cette présence qui vous permet d’entendre les sons, comme s’il apparaissaient. Idem pour la lumière, pour qu’elle soit vue, il y un endroit, un espace, une présence sans lumière pour que celle-ci puisse apparaître.
En fait vous verrez que pour que nos 5 sens communs soient perceptibles, goutés, il y a un endroit, une sorte de support sur lequel ils peuvent venir s’imprimer pour qu’ils soient vus, gouttés, sentis, entendu et ce « support » est la présence qui se nomme la conscience.
Pour pouvoir voir le rouge ou le jaune, il y a forcément un endroit, un espace sans couleur qui vous permet de les différencier, idem pour le goût, pour connaître la différence entre le salé et le sucré, il y a là aussi un endroit, un lieu sans goût qui vous permet de gouter cette différence entre le salé et le sucrée. Idem encore pour les sons, les notes de musique par exemple, il y a forcément un endroit, un lieu indéfinissable où aucun son n’est présent pour que le Do, Re, le Fa ou le Mi puissent être entendu et différenciés. Pour que les 5 sens soient perceptibles, il y a forcément un endroit calme, serein, tranquille, comme un socle, un miroir sur lequel ils peuvent venir se poser pour que leurs perceptions puissent être vue, goutée, sentie., perçue.
Si cet espace, cet endroit, cette présence, celle de l’observateur, de la conscience n’était pas là, il serait totalement impossible de différencier le sucrée du salé, le Do du Fa, le vert du bleu, le doux du rugueux, le chaud du froid. Pour que toutes ces perceptions sensorielles soient définies dans toutes leurs différences, il est nécessaire, indispensable qu’il y ai un endroit calme, doux, paisible, une présence qui permet à toutes ces perceptions d’être goutées, expérimentées, différenciées.


Cet endroit, cet espace omniprésent qui permet de voir, sentir, gouter toutes ces perceptions s’appellent la conscience qui a créé tous ces modes d’expression sensitifs par les sens communs dans le tangible et d’autres dans l’intangible, intuition, clairvoyance, télépathie, pour se voir, se goutter, se connaître ou mieux encore ce co-être, ce co-naître afin de faire la plus grande expérience de qui elle/il EST.
Rendu là, nous pouvons encore affiner toutes ces perceptions nées de nos sens, de nos sensitivités, et voir qu’en fait, au sein de cette présence/conscience, si nous pouvons différencier le salé du sucré, le Do du Fa, le vert du bleu, du rugueux et du doux, c’est parce que toute ces perceptions étaient, sont déjà contenues dans cette présence, cette douce quiétude qu’est la conscience qui se déploie, jaillie là ici et maintenant en nous comme tout autour de nous.
Tout est déjà là, absolument tout et ce tout venu du rien dans lequel le tout repose, se révèle à lui-même grâce à l’incarnation sur terre tout comme sur les plans subtils qui sont encore des champs expérimentaux de la présence/conscience qui permet par les perceptions nées des sens tangibles et intangibles de se gouter, de se voir, de se connaître en toute simple et pure joie pour jouer comme un enfant à sa propre découverte et des merveilles de qui ELLE/IL EST.
Nous rejoignions ici ce que nous démontre la physique quantique, c’est que tout est déjà là, tout absolument tout et que ce tout se révèle en fonction de la qualité, l’intensité, la direction de notre regard qui les révèlent à elle-même.
Jésus a dit :  » avant que tout ne Soi, j’étais », c’est la définition la plus juste de toute la mécanique quantique comme de la métaphysique. Le chemin créé par la conscience pour se co-être, se connaître afin de se voir, se gouter sous de multiples formes diverses et variées à l’infini et pour l’éternité.
Nous sommes la conscience créatrice venue du rien dans laquelle tout était déjà créée qui se déploie, jaillie là ici et maintenant pour se connaître par la joie amoureuse intense de jouer à être Là, être JE SUIS la vie, je suis le vivant.

Bonne méditation.

Dieu est fractal

A plusieurs reprises dans le plaidoyer tu évoques les fractales, souvent surnommées les mathématiques du vivant. Cela me rappelle le souvenir d’une discussion avec le doyen d’une Université qui m’avait confié s’être interrogé sur Dieu en étudiant les fractales. Quels seraient pour toi les liens entre Dieu et les fractales ?

Raphaël

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Dieu et fractal ou dieu EST fractal !

Tout d’abord Dieu, le mot Dieu tu sais, là aussi il a été employé à toutes les sauces.

Disons que pour moi Dieu est tout, absolument tout, il est la vie, le vivant, le visible et l’invisible, le matériel et l’immatériel, il est la lumière et l’ombre, il est le moindre atome, le moindre proton, la moindre cellule, il est l’eau, le feu, l’air, la terre, les soleils, les étoiles, les galaxies, les trous noirs, le minéral, le végétal, l’animal, l’humain, il vit et respire dans chacune de ces choses. Il est le conscient, l’inconscient, le subconscient, il est l’infiniment petit et l’infiniment grand, microcosme et macrocosme, IL est cette conscience omnipotente, omnisciente. C’est une omni-sagesse qui a créé ce tout, il est fractal et est dans les fractales.

Pour faire un lien entre dieu et les fractales, je répète ce qui est déjà écrit, pour chacune de nos cellules nous sommes un Dieu, comme nous sommes, nous, et tout ce qui nous entoure, visibles et invisibles, le corps de Dieu.

Il n’est certainement pas ce vieux barbu sur son trône lâchant des éclairs vengeurs sur les hommes et les femmes !

Nous savons maintenant que notre corps est avant tout constitué de vide, que toutes nos cellules, que tous nos atomes atomiques et sub-atomiques qui constituent notre corps tiennent en cohésion grâce à des champs de forces énergétiques, des « courants électriques » de toutes formes et natures qui traversent notre corps, la science l’a prouvé et démontré.

Si tous ces champs de force devaient s’éteindre d’un coup, toute notre masse corporelle ne serait qu’une tête d’épingle ! Le reste de notre corps n’est que du vide, exactement comme l’univers qui en fait est en très grande partie composé du vide sidéral qu’il y a entre les étoiles et les galaxies. C’est la même chose pour nous, notre corps est un champs sidéral habité par des cellules qui constituent notre corps maintenu en cohésion par les mêmes champs de force qui tiennent les planètes et les galaxies dans l’univers. Nous sommes un univers habité de milliers de soleils, de galaxies et de planètes qui sont nos cellules et organes.

Quelle serait ta définition des fractales ?

Une fractale est la représentation du microcosme et du macrocosme. Le plus immense est la même chose que le plus petit. Ils vivent selon les mêmes lois, les mêmes champs de force, les mêmes minéraux.

Un des plus beaux exemples est le chou romanesco, si tu regardes ce chou dans son ensemble et que tu fais le focus sur sa plus petite partie, tu verras que la plus petite partie est tout à fait semblable, à l’identique du chou lui-même. Tu peux même vérifier qu’au niveau microscopique c’est encore la même forme que tu vas découvrir. C’est une fractale et c’est ce que nous sommes par rapport à l’univers, une infime partie de ce qu’il EST.

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Je sais ce n’est pas facile à voir, comprendre ou conscientiser, mais en fait, il n’y a pas de différence entre intérieur et extérieur, entre l’infiniment petit et l’infiniment grand, entre micro et macro. Peut-être que notre voie lactée est une partie de sa jambe, son foie, un doigt, nous faisons partie de ce grand tout et ce grand tout est en nous. Je t’invite à découvrir à ce sujet les travaux d’ Olivier Soulier, il a écrit et fait des vidéos sur ce sujet.

Il n’y a pas un élément chimique, minéral, gaz… qui se trouve dans l’univers et sur cette terre qui ne fasse partie de notre corps, tout est intriqué, enchevêtré agissant et inter-agissant aux travers des mêmes lois, des mêmes forces et champs d’énergies.

Robin.

Plaidoyer pour une autre réalité

Que réponds-tu à celles et ceux qui « jettent la pierre » sur le système capitaliste, les sionistes, les oligarques ? Il est vrai qu’ils sont en grande partie responsables de l’effondrement de notre société. Et que penses-tu de ce mouvement d’éveil spirituel et du commerce qu’il induit ?

Raphaël

 

Mes différentes expériences m’ont conduit à prendre conscience d’un certain nombre de choses, des « constats » en quelque sorte.

Avec un peu de hauteur, à bien y regarder, tous nos pathos et traumas humains découlent du non-respect des commandements de Moïse autant que des enseignements du Christ, soit parce que nous les subissons ou les faisons subir. Déroger aux conseils de Moïse et Christ, revient à créer nos pathos et traumas dont le point « d’orgue » à des degrés divers et multiples sont la chute des 7 péchés capitaux (pécher =  manquer sa cible, le but de l’existence) tout est là en fait. Et qu’elles sont les 2 causes qui nous font déroger aux commandements de Moïse et enseignements du Christ ? L’argent et le sexe ! Ce sont les 2 seules choses qui engendrent tout le « mal » sur cette planète. Ce constat n’est pas difficile à réaliser en fait, il demande juste beaucoup de courage à chacun.

Le tout premier conseil de Moïse est : « tu n’auras pas d’autre dieu que moi », ceci veut tout simplement dire que tu vénéreras le Vivant, tu l’aimeras et le sublimeras. Dieu étant tout, de la plus petite cellule à l’univers en expansion constante. Il est la terre, l’eau, le feu et l’air, il est l’humain, l’animal, le végétal, le minéral, IL EST simplement tout, la vie, le vivant, l’ombre et la lumière.

Ce premier conseil tentait de nous tenir loin du veau d’or et de toutes les autres adorations que la vie elle-même puisqu’IL EST la vie.

Ce qui suit n’est pas un plaidoyer pour l’abandon immédiat de l’argent, c’est impossible mais de plaider pour son abandon progressif en favorisant l’échange, le partage, la solidarité, etc.

Ce qui suit n’est pas un plaidoyer pour revenir à la bougie et refuser toute nouvelle technologie, NON mais une science sans conscience entraîne forcément des troubles et soucis en tout genre.

Je plaide pour une société où toute nouvelle avancée technologique serait soumise à des questions référendaires : Est-ce que cela nous est vraiment nécessaire ? Qu’est ce que cela va nous apporter de plus ? Quels en sont les dangers réels ? Mais aussi, comment recycler et créer ces nouveaux objets sans qu’ils n’impactent le vivant ? Comment les recycler facilement sans qu’ils n’impactent l’humain et la terre pour leur saine pérennité ?

Sortir de ce système de gain, de profit mais ne plus viser que l’intérêt général, le bien-commun car nous sommes tous UN divisé en milliards de particules, nous sommes le corps du créateur tout comme pour chacune de nos cellules nous sommes le créateur, microcosme et macrocosme unis de façon fractale !

Je plaide pour une société équitable soucieuse du devenir du genre humain et ayant pour but de développer au mieux tous ses potentiels immenses qu’il nous reste à découvrir. Exemple, pourquoi la téléphonie alors que nous avons la télépathie ?! Cela peut sembler idiot mais nous avons tous tout un tas d’outils dont nous ne nous servons pas mais qui sont notre essence, les outils que le créateur, la création nous a doté !

J’ai maintenant envie de vous  partager ici  « mon » regard sur le « problème » juif, sioniste en tout cas !

Ce regard suite à mes expériences d’ouverture de conscience, le déploiement de ma kundalini, n’est pas chose aisée ni facile à traduire, il  demande à « l’autre » de faire abstraction de beaucoup de croyances et nécessite une vision totale, holistique, loin des croyances, dogmes et formatages de toutes formes.

Pour être direct et franc, quitte à choquer, irriter, énerver, ce n’est peut-être pas simple à entendre. Mais à mes yeux cette humanité en grande partie, semble souffrir de « sionite aigue » ! A mes yeux toujours, ils sont, malheureusement/heureusement, ces juifs sionistes oligarques et leurs vassaux, l’arbre qui cache la forêt. Ils sont – et je pèse mes mots – un « mal » nécessaire, voire indispensable… Ils sont là pour nous montrer, démontrer toutes nos erreurs et errances accumulées depuis des siècles. Si l’humain vivait en syntonie avec les lois naturelles, ces gens, cette caste, n’auraient aucune place sur terre !!! Ils leurs seraient même impossible de s’incarner sur cette planète (taux vibratoire trop élevé pour eux qui sont si bas… mais n’allons pas trop vite).

Il est temps, je crois, de sortir de cette vision binaire, dualiste de notre réalité. D’un côté les méchants, les sionistes oligarques et leurs vassaux et de l’autre les gentils, les esclaves, les victimes asservies des méchants. (Je schématise et encore une fois je n’accuse personne, j’essaie de transcrire « ma » vision, ce qui m’a été permis de voir). Il n’y a ni victime, ni bourreau, nous sommes tantôt l’un, tantôt l’autre tant que l’on a pas éveillé sa conscience à une co-naissance supérieure.

Focaliser le regard sur cette caste de dirigeants au pouvoir, c’est ne voir que les symptômes de la maladie humaine et non les causes de cette maladie, exactement comme le fait notre médecine moderne qui ne soigne que les symptômes en oubliant totalement de soigner les causes de la maladie. Or, si nous ne soignons pas les causes, la maladie reviendra de façon certaine, sous une forme ou une autre.

Ce propos ne se veut en aucune façon accusateur pour qui ou quoi que ce soit, c’est un point de vue, un regard.

« Stigmatiser » une certaine caste juive sioniste est assez contre-productif je pense, vu que nous créons notre réalité par les pensées, actes et paroles directement liés aux : symboles, archétypes, égrégores, réalité. (Je peux aisément expliquer ce phénomène mais ce n’est pas le sujet de ce propos). Je suis convaincu que pour beaucoup de cette caste, le judaïsme n’est qu’un prétexte pour semer la discorde et prendre, garder le pouvoir, la vieille habitude séculaire de diviser pour régner. Ce ne sont que des étiquettes vides et dénuées de sens véritable pouvant nous aider à comprendre notre situation réelle, mais plus prompt à attiser les haines qu’à engendrer la paix.

A mes yeux, il est extrêmement important d’élever le débat, lui donner un sens plus large et plus profond avec plus de hauteur. Tenter d’apporter une vision plus holistique.

A bien y regarder, ne serions-nous pas tous un peu sionistes autant que des oligarques miniatures ? Comme le démontrait Hans-Peter Dürr, être riche d’1 million d’euros équivaut à maintenir 10 000 personnes dans la précarité, et ce toutes leurs vies. Ce calcul est valable de façon dégressive et aussi progressive. Pour gagner 500 000 euros, c’est 5 000 personnes plongées dans la précarité et ainsi de suite. A entretenir l’esclavage d’autrui pour notre « enrichissement » personnel, à « gagner notre vie » pour consommer,  ne sommes-nous pas tous un peu sionistes oligarques  ?

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Sans compter que cette course permanente à devoir gagner sa vie est cause de stress, d’angoisses, de colères, d’énervements, de jalousies… pour quasiment tous les humains ce stress et angoisse à devoir gagner leurs vies est un frein direct à vivre l’ici et maintenant, le lâcher-prise, l’amour inconditionnel. Avec, en prime, tout ce que ces émotions négatives engendrent au niveau des pensées qui alimentent les égrégores négatifs, influant directement chaque humain créant et façonnant notre réalité à travers chacun d’entre nous de façon inconsciente mais belle et bien réelle. Hans-Peter Dürr était un physicien quantique qui a fait les recherches et calcul pour arriver à cette conclusion de façon scientifique et rigoureuse. Son CV est une preuve de son intégrité.

Derrière la quasi-totalité de nos produits de consommation se cache l’exploitation, l’esclavage de millions de personnes, la marchandisation du vivant. Derrière quasiment toutes les plaquettes de chocolat, de grains de café, de sachets de thé, de vêtements se cache l’exploitation de millions d’êtres humains, adultes et enfants confondus. Derrière quasiment chaque denrée alimentaire se cache l’exploitation d’autrui et la dévastation de nos ressources planétaires, déforestation, engrais, pesticides… toujours la marchandisation du vivant. Derrière chaque écran d’ordinateur, de téléphone, de tablette, se cache la mort de millions d’êtres humains pour que notre con-fort abrutissant nous rende malade tout en détruisant notre environnement. Derrière chacun de nos achats, de nos ventes, se cache la marchandisation du vivant, d’une pomme de terre à l’humain.

Le « bio » a en grande partie été récupéré par de grands groupes financiers et nous pouvons d’ores et déjà en voir tous les abus ! Un simple exemple,  est-ce que faire venir des ananas bio par avion en décembre est une évolution réelle !? Un progrès écologique ? Est-ce que ces grands producteurs bio le font pour le bien commun ou est-ce que celui-ci est un prétexte pour gagner de l’argent, s’enrichir sur le dos d’une fausse « ‘écologie » ? Le bio est une étape mais il faut encore voir plus loin.

Quand toute la planète cultivera du bio pour le vendre et l’acheter, aurons-nous un comportement plus éthique, responsable pour autant ? Est-ce que certains ne vont pas tricher d’une façon ou d’une autre pour prendre des parts de marché et gagner leur vie au détriment d’autres en continuant exactement les mêmes exploitations que sans le bio ?! Et en fin de compte, où ira tout l’argent de ce commerce, toujours dans les mêmes banques il me semble. Qu’est ce qui aura vraiment changer, un peu la forme mais pas le fond, or c’est le fond qui doit évoluer. De nombreux cas d’abus et tricheries existent déjà dans le monde du bio (engrais chimique, exploitation de main d’oeuvre, …) Est-ce que ce sera mieux quand toute la planète sera au bio ? J’en doute !

Tant que nous ne changerons pas notre façon de co-créer la vie, qu’on le veuille ou non, chacun d’entre nous contribue à la marchandisation du vivant pour de l’argent qui n’est rien d’autre que des chiffres virtuels sur des serveurs informatiques et des écrans d’ordinateur ! Que la prochaine crise nous retirera pour enrichir davantage ceux qui tiennent l’argent !

Grandir c’est avoir le courage de se regarder en face, avoir le courage et la volonté de s’auto-juger car si nous ne le faisons pas, la vie, le vivant, Dieu s’en chargera. Je suis passé lors de mes expériences par cet auto-jugement, la pesée des âmes … aimer de façon totale et inconditionnelle… j’ai eu la chance inouïe de m’auto-juger à travers cet Amour et revivre pour moi tout ce que mes actes, paroles et pensées avaient produits sur autrui, le bon comme le mauvais. C’est une expérience que chacun vit et vivra lors de son décès ! C’est ce que l’on appelle  » voir tous ses actes accomplis » et tous, absolument tous nous passons et passerons par cet exercice si beau, merveilleux et si douloureux parfois. Dieu, la vie, le vivant nous prend dans ses bras et nous aime de façon inconditionnelle ce qui engendre chez chacun la vision et compréhension de nos manques d’amour et du conditionnel dans lequel nous nous sommes engourdis voir enlisés !

Cette caste sioniste passera elle-aussi par ce « pesage des âmes » et soyez sûrs et certains qu’ils vivront des moments d’une douleur extrême et indescriptible, nul ni échappe, c’est impossible, c’est la loi des mondes, la loi de la création !

Pour certains, ils seront peut-être, je dis bien peut-être, les sages de demain. C’est en s’auto-jugeant à travers cet amour inconditionnel qu’ils pourront se rendre compte du mal qu’ils ont fait et se sont fait.

Mais revenons au centre du sujet.

Est-ce que leur credo de base (sioniste oligarque) engendrant tout un tas de perversités  n’est pas le pouvoir par/pour l’argent par les mensonges, les manipulations en tout genre, l’égocentrisme, l’égotisme, la vanité, la victimisation créée par eux-mêmes pour justifier et servir leur perversion ? L’esclavage d’autrui, la marchandisation d’autrui de la vie, du vivant… ne faisons-nous pas « à notre corps défendant » un peu la même chose à des degrés divers et multiples mais bien réels ?

Si notre « enrichissement » financier maintient d’autres personnes dans la précarité, est-ce que ce n’est pas là un des principes du sionisme oligarque ? Est-ce que l’exploitation des pauvres pour s’enrichir n’est pas ce que font les israéliens juifs sionistes aux palestiniens et aussi à la planète entière ? Est-ce que ce n’est pas ce que nous faisons tous chaque jour : la marchandisation du vivant ? Prenons un peu de hauteur !

Un exemple, un couple de la classe moyenne qui gagne 4000 euros par mois peut acheter sa maison à crédit en 25 ans, soit une maison valant  +/- 350 000 euros pour laquelle ils auront en réalité remboursé entre 450 000 et 500 000 euros (contributions directes, « volontaires » à l’enrichissement en grande partie de ces banquiers sionistes et leurs vassaux oligarques). Une fois le crédit remboursé, ce couple sera riche d’un patrimoine d’un minimum de 350 000 euros, auxquels nous pouvons ajouter tous les produits de consommation indispensables à la survie pour rembourser les échéances des crédits. Vêtement, nourriture, énergie, voiture, école pour les enfants, etc… etc. Ce consumérisme contribue au maintien de la précarité des plus pauvres et détruit la planète tout en participant à l’enrichissement des oligarques, sionistes ou pas.

Ce couple bien pensant aura, pour être propriétaire de sa maison valant 350 000 euros, maintenu dans la précarité 3500 personnes durant toutes leurs vies… mais il ne s’en rend pas compte et est ignorant des lois causales, car pour qu’une personne gagne, il faut qu’ils y en aient qui perdent dans notre paradigme économique … sans compter que courir après l’argent leur fait perdre à eux aussi leur vie !!!!….

Pourquoi est ce que les « économistes » ne s’intéressent-ils qu’aux courbes des fluctuations de la bourse et des bénéfices engendrés par les uns et les autres, par les + et les – les x et les :  pourquoi ne regardent-ils pas ce que créée en vérité cette société uniquement basée sur l’économie, l’acheter et le vendre, le commerce ou comme-herse hérissé entre l’homme et l’homme, l’homme et la création.

La vie, le vivant, Dieu n’a pas créé l’argent, il a donné à l’homme la possibilité de le créer comme il a donné bien d’autres possibilités pour ne pas le créer, c’est une question de choix, de conscience. Pourquoi ne pas écrire une nouvelle arithmétique ? Actuellement notre arithmétique est de faire + avec pour X (multiplier) les :

Ne pourrions nous pas envisager une nouvelle arithmétique où il y aurait + de X  pour – de :  plus de fois, multiplications pour moins de divisions.

Est-ce que nos modes de vie ne sont pas empreints directement de ce principe sioniste de l’exploitation sans vergogne de l’autre, de l’humain et des ressources de la terre que nous dévastons de façon inique pour l’achat de produits souvent inutiles et néfastes à notre véritable bien-être et le devenir du genre humain. Est-ce que gagner sa vie n’est pas la marchandisation du vivant ???

Montrer l’autre du doigt ne sert à rien (ne juges pas et tu ne seras pas jugé !! ) puisque de toute façon le fait de gagner notre vie enrichit et donne du pouvoir à ceux qui tiennent le pouvoir en  » mains-tenant » l’autre dans la précarité en étant nous-mêmes esclaves de ce processus d’esclavage « moderne « … cette façon de faire n’est-elle pas un peu hypocrite autant que dénuée de bon sens ? On ne peut dénoncer un système que l’on alimente soi-même ! Par l’incapacité à trouver, incarner de nouvelles solutions, créer une autre réalité.

Personnellement je vois ces oligarques comme des cellules cancéreuses et nous savons que la maladie (mal-à-dit) est là pour nous guérir (guerre-rire) de nos choix, pensées, paroles et actes corrompus. En tout cas n’allant pas dans le sens de la vie, du vivant, de la joie, des lois d’équilibre qui nous régissent, nous ont créé et créent la vie, le vivant, l’univers par L’ESPRIT !

Une maladie n’est jamais arbitraire, elle ne décide pas de son libre chef de tomber sur untel ou unetelle le matin, NON, une maladie s’incarne en nous car nous avons par nos actes, paroles et pensées créé le terrain propice à ce qu’elle puisse prendre toute sa place, et ceci dans un seul et unique but, nous montrer nos dysfonctionnements, nos façons de vivre erronées, destructrices, avilissantes créant la maladie et ceci parfois de façon très violente qui est le retour de boomerang de nos propres violences, toujours la loi d’équilibre, celle de la réciprocité des effets !

Cette « caste », ces âmes car ils ont une âme et sont aussi des créations de la vie, du vivant, de Dieu, remplissent immanquablement bien leur rôle, tout comme les cellules cancéreuses remplissent la leur, afin de nous montrer que nous dysfonctionnons. Elles remplissent de façon impeccable leur rôle afin de nous aider à chercher et trouver d’autres moyens d’existences ayant favorisé, facilité la prolifération des métastases  et  leur incarnation.

Il n’y a pas de différence entre l’infiniment grand et l’infiniment petit, microcosme et macrocosme sont une seule et unique même chose, l’infiniment petit est dans l’infiniment grand et vice-versa. Un peu comme les poupées russes …. les fractales !

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Figure fractale

Si cette caste est maintenant au pouvoir sur cette terre, c’est bel et bien parce que nous lui avons laissé toute la place en recopiant bêtement le paradigme qu’elle nous a imposé. Pourtant bon nombre de sages, de maîtres se sont depuis la nuit des temps incarnés sur cette terre afin de nous expliquer, enseigner le pourquoi du comment afin de nous éviter de tomber sous leur pouvoir.

Quand un être a un cancer, il doit revoir tout un tas de fonctionnements internes pour guérir, et une des choses qui revient le plus est d’avoir une pensée positive. « Vous » n’allez pas commencer à avoir peur, de la haine, de la rancœur et de l’amertume vis-à-vis de ces cellules cancéreuses ? Cela ne servirait à rien. Bien au contraire, de charges négatives, elles se nourrissent de négatif, dans ce cas de figure vous ne feriez qu’aider à leur propagation.

Il nous est impossible d’en vouloir à notre cancer puisque c’est nous-même par nos comportements éronnés qui avons facilité sa venue en nous. Il en va de même pour cette « caste » de gens, ces cellules cancéreuses oligarques sionistes, elle incarne notre incompétence à vivre en harmonie, syntonie avec le vivant, c’est d’autant plus vrai que nous recopions en partie son paradigme d’exploitation d’autrui et de la terre, la marchandisation du vivant, bien souvent sans même que l’on s’en rende compte par manque de vision holistique du vivant comme de nos faits, actes, paroles et pensées.

Nous sommes exploités et exploitons à notre tour, tout ça pour l’argent dont nous remplissons les poches de ceux qui le tiennent ! Une fois que l’on a vraiment vu tout le mécanisme du paradigme économique, ce n’est que l’horreur. La précarité augmente sur la planète et grâce à cela nous pouvons observer que des solidarités se mettent en place, d’ailleurs les peuples les plus pauvres sont plus solidaires et partagent plus facilement, mais dès que l’argent arrive, l’individualisme s’installe ! Pourquoi ?? Est-ce que ce n’est pas la preuve édifiante que l’argent corrompt, coupe l’homme de l’homme, de la création et de son créateur. La précarité pousse à l’ingéniosité et cela est vécu et expérimenté chaque jour par des êtres humains et de nombreux témoignages et expériences le prouvent. Par contre, dès que l’argent est là, tout ça s’éteint ! Est-ce que ce n’est pas, là aussi, la preuve évidente que l’argent détruit tout, tant pour l’humain que pour son environnement !

Ce qui tient cette caste au pouvoir, n’est rien d’autre que notre incapacité à créer un autre modèle de vie en société que celui qu’ils nous ont imposé depuis des siècles ! Comme déjà dit, nous tous, à des degrés divers et multiples, sommes responsables, co-responsables de la situation actuelle, eux ne sont que la « quintessence », la somme de nos dysfonctionnements égoïstes, égocentriques, immatures, inconscients, destructeurs. Ils sont juste là, comme les cellules cancéreuses pour nous montrer tous nos manquements, tous nos NON, plus que nos OUI ! Ils prennent sur eux d’être la preuve vivante de notre manque d’amour, de bienveillance, de générosité, d’altruisme, de compassion, d’humilité, de don de soi, de partage, de fraternité, de solidarité, d’émulation, de joie, de confiance, de Foi, de co-naissance, de générosité, de respect, de service, de restitution de gratitude, d’empathie, de sagesse, d’écoute …. et j’en passe !

Tout comme nous avons eu besoin d’un Zoroastre, d’un Bouddha, d’un Christ, d’un Moïse, pour nous révéler notre lumière, nous avons besoin de ces âmes comme d’un Hitler pour nous montrer toutes nos ombres. Il appartient à chacun de choisir quel « camp » nous désirons servir, de quelle réalité nous voulons faire l’expérience. Il est pour moi inutile de stigmatiser telle ou telle caste en continuant d’utiliser les armes qu’ils ont créé pour nous asservir, c’est un peu sot. On ne peut pas changer de paradigme en continuant d’utiliser journellement les outils de ce paradigme, j’entends ici en grande part l’argent.

Il est impossible de changer de paradigme, de déboulonner les dirigeants de ce monde (oligarque sioniste), ceux qui tiennent l’argent en déposant chaque jour notre argent dans leur banque. Il est impossible de combattre un pouvoir en donnant du pouvoir à ce pouvoir, c’est stupide. Combien même il serait déboulonné, d’autres prendraient inévitablement la place tant que nous ne changerons pas radicalement de réalité.

Par leur actes corrompus et fous ils nous montrent notre chute, notre  folie et nos corruptions individuelles et collectives, notre incapacité à nous aimer les uns les autres de façon inconditionnelle. (Grande phrase sans doute mais au combien véridique)

Je reconnais leur négativité autant que le fait qu’ils soient vraiment néfastes, mais je ne peux m’empêcher de voir, d’observer que bon nombre de mes concitoyens font de même chaque jour à moindre échelle ! Ce sont tous nos manquements, tous nos NON, toutes nos colères, toutes nos peurs, rancœurs et amertumes, notre engourdissement qui fortifient leur pouvoir, pouvoir que nous leur offrons chaque jour à chaque instant par notre incapacité à créer une autre réalité qui pourtant est juste là devant le nez, les yeux et oreilles de chacun depuis des siècles maintenant.

Une info vient de tomber sur la disparition de la faune et la flore à plus de 60%… quelles mesures sont prises ? Qui est dans la rue pour dénoncer cette horreur !? Qui voit que nous sommes vraiment dans un suicide collectif organisé par chacun d’entre nous par notre incapacité à changer de paradigme. Nous avons détruit en moins de 150 ans plus que ces 5000 années passées, et ce phénomène est exponentiel malgré les maigres avancées de l’humanité.

Je crois en Christ et sa parole mais où est-elle incarnée à 100% en toute vérité, OU ? il a tout donné gratuitement, IL s’est toujours tenu loin, très loin de l’argent car il en connaissait toute la perversion.  » Si vous voulez me suivre en esprit, par et pour l’esprit, rendez à César ce qui appartient à César », c’est à dire l’argent… comment être étonné de la situation planétaire actuelle, qui a rendu l’argent!? Quasi tous se « battent » chaque jour pour quelques centimes qui enrichissent une poignée en dévastant la planète et mains-tenant dans la misère des milliards d’êtres humains. Quel serait le regard du Christ et ses mots s’il était ici maintenant, verrait-il l’incarnation de ses enseignements ou son exact contraire ?!

Idem pour bouddha, afin de trouver l’Eveil pour guider cette humanité, il a quitté sa famille, abandonné sa fortune, sans doute avait-il vu lui aussi que tout ce luxe était un frein, un blocage à ce qu’il puisse trouver l’Eveil.

Christ comme Bouddha se sont tous 2 tenus loin de l’argent, leurs sagesses en connaissaient les pièges et la perversité et tous 2 ont tout offert, soin et enseignement gratuitement et beaucoup de ces soit-disant éveillés spirituels, guérisseurs et autres,  se taillent des fortunes sur leur dos, c’est abject à mes yeux ! Fortune gagnée sur le dos de pauvres bougres qui contribuent à la marchandisation du vivant pour les salaires de ces grands sages éveillés de pacotille. Fortunes qui finissent dans les banques ! Il y a de quoi rire aux éclats devant tant d’imbécillité comme de sombrer dans le plus grand désarroi.

Une humanité (macrocosme), s’éduque, s’élève comme un nourrisson (microcosme) jusque l’âge adulte, pour grandir et se fortifier elle a besoin de nourriture saine mais aussi de virus pour fortifier ses anti-corps, sa structure immunitaire. Sans ses fortifications il ne peut vivre ni croître, il en va de même pour l’humanité, pour croître, grandir, elle a besoin de ses propres virus et bactéries afin de se fortifier pour aller vers plus de lumière, plus de conscience.

Si son manque de volonté à trouver plus de lumière, plus de conscience en continuant certains dysfonctionnements perdurent, et bien c’est tout naturellement qu’elle développera des mal-a-dits, un cancer, (oligarque sioniste) afin de corriger le tir, c’est très simple en fait. Microcosme et macrocosme sont intriqués, enchevêtrés l’un à l’autre, tout fonctionne à l’identique, de la plus petite cellule à la galaxie la plus grande. C’est toujours le même seul et unique principe qui les habite, les créer, les co-créer, les re-créer sans cesse à l’infini depuis des siècles et des siècles pour des siècles et des siècles, L’ AMOUR avec un grand A !

Combien de guerres ont pour origine l’argent et l’illusion du pouvoir qu’il induit ? Combien de millions de morts, de meurtres, de dévastations ! Tout ça pour l’argent, du pouvoir au lieu de pourvoir …

Il nous serait si facile de changer de paradigme mais il implique des choix drastiques  qui semblent si difficiles à l’humanité engourdie depuis des siècles à devoir gagner sa vie plus qu’à la vivre. A exploiter et être exploité plus qu’à offrir, partager, restituer, sublimer, AIMER !

Je reconnais aussi qu’il y a une mouvance qui s’efforce de trouver une autre réalité, je reconnais qu’il existe des solidarités et des êtres qui vouent leurs vies au bien-être d’autrui, je reconnais qu’il existe des mouvements solidaires qui s’intéressent et aident les plus démunis, je reconnais qu’il existe des êtres très impliqués dans l’aide à autrui et des organismes privés et gouvernementaux qui impulsent un changement des habitudes et essaient d’éveiller l’humain à être plus solidaire mais je reconnais aussi qu’ils sont encore assez marginaux et que beaucoup de ces initiatives s’appuient encore sur l’argent.

J’ai encore un milliard de choses à dire, écrire, mais bon, si vous êtes venus jusque-là, MERCI de votre patience.

Peut-être serais-je pris pour un doux rêveur, mais je préfère mon rêve au cauchemar fabriqué par la grande majorité de cette humanité et je le concède, sans qu’elle ne se rende vraiment compte de ce qu’elle créé à chaque seconde par ses choix, actes, paroles et pensées.

Pour ce qui est de l’énergie sexuelle, sa place dans la création et le mauvais emploi que l’homme en fait, créant tout un tas de pathos et traumas individuels et collectifs pour cette humanité, ce sera plus tard ou pas…

très cordialement.

 

Robin.

 

Ce texte est un plaidoyer pour tenter d’aider à lâcher les haines, les peurs et les rancœurs visant des castes tel que : les sionistes, les oligarques, les banquiers, les franc-maçons, les religions… la liste est longue. Il est temps d’arrêter la vision binaire et dualiste de notre réalité planétaire.

Il n’y a ni bourreau, ni victime, nous sommes tous tantôt l’un, tantôt l’autre tant que notre conscience ne s’est pas ouverte à une conscience supérieure !  » Que celui qui n’a jamais pêché jette la première pierre ! « 

Christ

Le texte ci-dessous, ce partage, cette vision, a pour motivation d’élargir la compréhension et la vision de notre réalité afin d’avoir un regard plus large, plus profond, plus holistique.

Ce partage ne juge de rien ni personne mais est, sans doute, le fruit d’une prise de hauteur et de profondeur qui recherche l’unification plus que l’entretien des divisions.

Cette vision cherche à responsabiliser sans culpabiliser, il cherche à faire naître une réflexion plus qu’une stigmatisation, il a pour but d’apporter un éclairage, une mise en lumière élargie d’une situation compliquée et simple à la fois.

Ce regard a pour but la prise en main collective et individuelle d’un devenir plus serein, plus en adéquation avec le vivant, la Vie. Cette prise en main nécessite l’audace et le courage de regarder en face, sans faux-semblant, une réalité que nous vivons tous, mais aussi que nous créons tous par nos choix et façons d’agir individuelles et collectives.

L’avenir du genre humain est menacé si des changements drastiques ne sont pas mis en oeuvre. Toutefois cet écrit cherche à retourner la crainte de l’effondrement. En effet, les peurs et les craintes, les haines et les colères sont les moteurs indéniables de la situation actuelle. Si nous voulons donner une chance à notre humanité, il nous appartient d’incarner des solutions efficaces, sources de Joie.

Ce texte cherche à dédramatiser la situation actuelle par une prise de conscience sereine rendue possible par un auto-jugement fort et implacable, motivant alors une responsabilisation collective et individuelle nous permettant de sortir la tête de l’eau.

Robin.