Le devoir de « gagner sa vie »

Gagner sa vie…

Ce terme est né d’une croyance séculaire, multi-millénaire, sans doute la plus grande aberration de notre temps. Ce terme symbolise notre esclavage le plus ultime, la mise en coupe de notre humanité, la destruction de l’être par l’avoir et le faire, la mise à sac de la biosphère et de l’écosystème. Cette croyance est si fortement inscrite dans la psyché humaine qu’il est certainement le plus grand défi que notre humanité doit dépasser si elle veut trouver la voix de la vertu, sa sauvegarde et l’indépendance individuelle et collective mais aussi la sauvegarde et pérennité de son habitat, la terre ! Notre humanité devra tôt ou tard se couper de cette folle croyance qu’il faille gagner sa vie afin de retrouver son interdépendance collective et individuelle par l’entraide solidaire bienfaisante au bien commun, à l’égalité par l’émulation le partage et la générosité.

Ce terme, cette croyance qu’il faille gagner sa vie plus que de la vivre est la plus grande preuve du non-sens, la plus grande supercherie à laquelle nous avons tous adhéré sans même comprendre, réfléchir à ce que cela allait induire pour l’avenir de la planète et l’avenir de l’humanité, celle de notre inter-connexion au Grand Tout, à la vie, au vivant, à chacun et de notre interdépendance.

Gagner sa vie est le paradigme de la division des êtres, la division de leur unité primordiale et de de notre unité principielle, inter-connexion à la vie, au vivant. Gagner sa vie est la chute, l’abîme dans laquelle nous sommes tombés par l’utilisation de son premier outil, son couperet, sa guillotine qu’est l’argent nous ayant « donné », perdu dans l’illusion de l’avoir, de la propriété, de la possession du pouvoir ayant subtilisé le POURVOIR par l’inter-dépendance, l’inter-connexion intriquée et aimante qu’est la vie, le vivant, la création.

L’argent comme déjà dit est le fruit pourri du « gagner sa vie », il est l’outil du Satan. Satan qui veut simplement dire étymologiquement, l’adversaire, et qu’est-ce que l’adversaire ? Le voile du mental, de l’intellect tout puissant qui veut régner en divisant plus qu’en unissant. Ce mental qui trucide le cœur par l’extrême importance que nous lui avons accordé.

C’est très clair et tout à fait lisible chaque jour en fait, pour qui sait voir et entendre, la sur-exploitation des ressources de la terre et sa si malfaisante gestion font craindre le pire pour le devenir de la planète et du genre humain. Ce pire s’appelle le collapse, l’effondrement ou encore l’apocalypse et là encore, que veut vraiment dire apocalypse de façon étymologique ? L’enlèvement du voile, ce voile du mental, de l’intellect, de la coupure du cœur entretenant l’illusion fallacieuse que nous ayons besoin de gagner notre vie, de faire des profits, d’exploiter l’humain et la terre, de faire chaque jour la marchandisation du vivant, de la vie, de la création, de Dieu, de nous-mêmes !

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L’argent est ce fantôme que nous créons entre nous et Nous, entre nous et eux, entre moi et toi, entre moi et moi, entre nous et LUI, entre LUI et nous, entre nous et la vie. L’argent est ce qui ne veut pas de L’UN, de ce tout unifié dans un seul élan de vie. L’argent est ce qui  a crée la chute dans l’illusion, dans la maya comme disent les bouddhistes, dans l’illusion que crée le mental, l’intellect qui a pris le pouvoir sur le cœur. Notre incapacité à aimer, nous aimer les uns les autres de façon inconditionnelle est générée par les peurs : du manque, de l’autre, de l’inconnu, de la mort… Conséquences directes de la méconnaissance totale, de l’égarement et de la non-compréhension de la vie, de son sens sacré et de ses beautés.

Gagner sa vie pour du papier et des chiffres virtuels sur des écrans d’ordinateur, gagner sa vie pour de l’argent qui n’existe même pas, c’est courir pour attraper ce qui n’est pas là, c’est courir pour attraper sa mort en fait. Gagner sa vie c’est de toute évidence ne pas la vivre puisqu’une vie est un cadeau et un cadeau ne se gagne pas, il se donne, s’offre, se restitue mais ne se gagne en aucune façon. Sinon, ce n’est plus un cadeau mais un dû et la vie ne nous doit rien puisque qu’elle nous est offerte ! Gagner sa vie c’est vouloir se faire payer du cadeau reçu ! Quel manque de générosité, quelle vanité, quel irrespect total, grotesque, ridicule, égoïste, égocentrique… Qui réclamerait l’argent du cadeau qu’il reçoit, personne je pense ! Et pourtant c’est que nous faisons chaque jour à chaque instant et c’est ce que nous inculquons à nos enfants, la façon dont nous les formatons depuis des siècles, gagnes ta vie alors que c’est nous qui nous la somme offerte et lui avons offert. Nous faisons payer à nos enfants le fait de les avoir fait naître !

Sans eau, sans air, sans feu (soleil) sans terre, la vie, le cadeau de la vie serait impossible, ni vous, ni moi ne serions là. Quel salaire demande chaque jour les 4 éléments ? Aucun ! Mais ils commencent à en avoir plus qu’assez de notre vanité bouffie d’orgueil à ne pas avoir pris conscience du cadeau qu’ils nous font à chaque seconde depuis des siècles maintenant. Pour gagner notre vie, gagner l’argent, nous avons détruite la terre en grandes parties et bien croyez bien que maintenant c’est elle qui va réclamer sa part…  Elle va remettre de l’ordre afin de garantir sa pérennité et ceci avec ou sans nous, mais une chose est certaine, elle ne fera pas machine arrière et de façon tout aussi certaine, nous pouvons nous attendre à ce qu’elle multiplie de plus en plus et de façon de plus en plus forte le nettoyage indispensable qu’elle doit entreprendre si elle veut continuer à vivre sainement.

Elle va réagir et réagit déjà comme nous-mêmes quand nous sommes malades, elle crache, éructe, tremble, monte en température, est secouée de soubresauts, combat les virus, détruit ce qui lui nuit, c’est le rôle des globules blancs en fait.  Et bien la terre va faire de même, fait de même, au bord de l’asphyxie de l’avoir si maltraitée, elle va se soigner et se débarrasser des parasites, des virus et autres cellules cancéreuses qui la rongent et maltraitent depuis des siècles. Et elle a tout à fait raison, elle doit le faire !

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Le pommier, le cerisier, le poireau, la salade et la carotte, combien vous demande t-il de salaire d’avoir pris le temps de pousser pour que vous puissiez régénérer chaque jour vos cellules et que vous puissiez perdurer dans ce cadeau que la vie est, c’est-à-dire vous même ? RIEN, c’est gratuit, c’est un don d’amour total et unique, ce qu’est la vie en toute réalité, un cadeau gratuit et unique offert en toutes parts égales à chacune et chacun, chaque UNE et chaque UN que nous sommes, vous êtes, je suis et tu es !

Devoir gagner sa vie est pour moi l’horreur de l’horreur car elle m’oblige contre ma volonté première et fondamentale d’exploiter autrui et de me laisser exploité, de prostituer autrui et de me prostituer au détriment de celle qui me porte et me nourrit, la terre ! Gagner ma vie, c’est contribuer contre mon gré à la destruction des générations suivantes tout en me détruisant moi-même.

C’est une telle aberration, un abîme de conneries, d’égoïsme et total égarement des lois ontologiques du vivant, de la vie, de la création, c’est sa pure et simple négation, le déni de vie, le déni du vivant, le déni de la création et de son sens sacré qu’une toute petite minorité nous a imposé depuis des siècles. Une toute petite poignée qui tient l’argent et nous fait croire à l’indispensable illusion de son pouvoir pour mieux nous asservir et s’enrichir pour notre asservissement consenti, à nous exploiter les uns les autres plus qu’à nous aimer les uns les autres. Cet asservissement est abject et inhumain, il est la coupure, notre séparation totale avec la vie, la création et le créateur de toutes choses.

Cordialement

Robin

La spiritualité a pour finalité de ne pas être pratiquée

Quelque part, je me dis que le chemin spirituel est un peu ridicule puisqu’il suffit d’être… Et cela est dans le creux de nos mains à chaque seconde, c’est si loin en même temps… Finalement la spiritualité est vouée à ne pas être pratiquée puisque c’est notre nature, la nature du vivant, de Dieu. En jouant comme un enfant, on est bien plus proche du divin que lors des stages donnant les clés du bonheur. Est ce que cela te parait correct ?

Raphaël

OUI la vie est un jeu, celui du grand JE (le créateur de toutes choses, la Vie, le Vivant, Dieu, la supra-conscience qui a crée l’Univers) qui s’exprime, cherche à voir qui IL EST dans les mains du petit « je » qu’est l’humain, ses créations, ses créatures dans la création. L’humain, le petit « je » est ici pour sublimer cette matière, la rendre plus belle en la spiritualisant par notre présence pleinement incarnée dans le spirituel…et cela ne pourra être le cas que lorsque nous retournerons dans le grand Je, en jouant le jeu du vivant, de la vie qui est celui de sortir de l’illusion que nous sommes séparés du grand JE, JE SUIS.

… Etre JE et non je dans le jeu de son JE SUIS.

Le chemin spirituel n’est pas ridicule sinon pourquoi es tu ici, dans cette incarnation, trouves tu ridicule d’être ici et maintenant ? Ce qui est ridicule c’est de ne pas être, c’est de ne pas aller chercher ce qui est dans tes mains en continuant de croire que c’est si loin. si tu crois, est dans la croyance que c’est loin, alors ce sera loin, si tu crois que c’est loin, c’est parce que tu es loin de ton être parce que bloquer dans ton mental qui te fait croire que c’est loin afin qu’il garde le contrôle sur toi, qu’il puisse continuer sa tyrannie, te tenir en esclavage, sous sa domination. ce qui est ridicule, c’est de continuer de croire que l’être, le spirituel soit loin, là est le ridicule !

Si nous sommes dans la pure conscience, nos taux vibratoires cumulés les uns aux autres vont spiritualiser, fertiliser toute la nature qui nous entoure. Nous participons à son évolution en devenant auto-conscients et c’est ce que recherchent toutes formes de vie. Tous les animaux, les plantes et les minéraux recherchent cette évolution. Certes elle s’exprime de façons différentes pour chaque forme de vie, l’eau, les animaux, la terre, les plantes vibrent sur des fréquences de consciences différentes de la nôtre mais ils sont aussi les fruits, les enfants de la supra-conscience qui a crée l’Univers. Nous sommes des jardiniers. En étant pleinement conscients, revenus au Soi, à l’Etre, nous pouvons aider à ce que cette terre, cette nature, faune et flore, puisse elle aussi se spiritualiser, monter en vibration pour faire l’expérience de qui elle EST de la plus belle des façons en toute conscience.

La spiritualité doit être « pratiquée » mais certes, il vaut mieux la vivre, l’incarner, être la spiritualité et moins la pratiquer comme si c’était une activité, une occupation, un sport, un loisir. NON elle est notre essence, nous sommes des êtres divins spirituels donc ce n’est pas une « pratique » mais un état d’être, un regard intérieur et s’il y a pratique, c’est une pratique de chaque instant, de chaque seconde dans toute notre vie dans nos inspires et nos expires. C’est une vérité que nous devons incarner à chaque seconde dans chacune de nos cellules, c’est donc plus certainement une eau qui coule naturellement qu’une cruche que l’on remplit.

Belle image en fait que cette cruche que l’on cherche à remplir car en fait, en vérité, la vider est le chemin à parcourir si l’on veut s’éveiller. La vider de toutes croyances, attachements, identifications qui sont un trop plein nous rendant rigides car attachés à la forme alors que nous sommes l’informe.

Dans cette vie où tout se vend et s’achète, nous croyons aussi que le spirituel serait comme une acquisition de l’extérieur, une pratique, un livre, un cours, un stage, une conférence, un maître. Oui ils peuvent aider, guider mais être spirituel est d’abord et seulement une position, une posture intérieure.

Les stages, les lectures restent malgré tout importants pour la simple raison que nous avons complètement oublié qui nous sommes, des êtres divins et spirituels ! Perdus dans la matière, dans le faire et l’avoir, nous avons perdu l’être, qui lui, se tient loin de tout avoir et faire ! Si ces stages, livres, conférences ont lieu maintenant en grand nombre sur la terre, c’est bel et bien parce que nous avons chuté. Nous sommes tombés de notre vérité ontologique.

Ces stages et outils sont en bonne part nécessaires et indispensables tant qu’ils sont justes et dans la vérité de l’être pour l’ÊTRE. Mais quand ils deviennent juste des outils de commerce dans lesquels certains cherchent surtout à se faire reconnaître, briller et tirer des profits… Là c’est très fortement discutable voir dommageable pour ce mouvement d’éveil.

Oui nous devons redevenir des enfants, les enfants du créateur, de la création, retrouver notre candeur et notre joie dans l’amour total et inconditionnel que nous avons reçu et  que nous devons restituer à chaque être humain qui est une part de qui IL est, une part de qui nous sommes, ce 1, ce UN uni et unifié.

Oui une certaine « pratique » doit être enclenchée pour ce retour à l’être car notre système sociétal est en fait l’extrême contraire de la réalisation de notre vraie nature divine donc spirituelle.

Le divin spirituel ne veut pas gagner sa vie, IL est la vie, IL ne peut se vendre ni s’acheter à lui même !!! Le soleil ne négocie rien avec la terre, l’eau et l’air, ils ne se vendent pas l’un à l’autre ! L’eau ne vend rien à la terre ni à l’air et au soleil, ils ne font aucun commerce de qui ils sont. La terre ne vend rien à l’air, à l’eau et au soleil, elle ne veut faire aucun profit, pour qui, pour quoi !!? Or c’est tout ce formatage, fort-matté, parce que ce paradigme dans lequel nous sommes est un matage, fort-matage dans lequel nous sommes soumis à cette croyance qu’il faille gagner pour vivre, faire et avoir. Ce paradigme nous accroche à l’identification, à l’individu, à la personnalité, à l’individualisme, ce sont elles les causes des soucis et des souffrances, des abus et des peines. Tous ces fort-matages nous disent :  » Tu dois gagner ta vie, faire un métier, faire telle ou telle chose afin d’avoir un salaire pour consommer et cette consommation te rendra heureux car tu posséderas tels ou tels trucs qui contribueront à ton bonheur et épanouissement. Alors tu iras bosser, faire des choses que tu n’aimes pas bien souvent pour avoir des choses qui de toutes façons ne te rendront pas plus heureux mais dépendant. Dépendances qui te causeront du tort, des désagréments car elles induisent des besoins, des manques qu’il faudra combler sans cesse, sans fin pour trouver une paix qui ne viendra jamais parce qu’aucune chose, aucun matériel ne pourra vraiment t’apporter paix et joie si tu n’es pas d’abord toi-même paix et joie. « 

Si nous regardons l’état de la terre, nous n’avons à coup sur pas été de bons jardiniers, juste des piètres braconniers, pilleurs et saccageurs.

A l’heure actuelle les stages de développement personnel sont indispensables pour la simple raison que nous nous sommes complètement égarés en hyper-développant le mental, notre intellect nous ayant coupé de la joie simple et pure du vivant. Le paradigme dans lequel nous sommes est celui de la dualité alors que nous sommes tri-unité. Ce courant de développement des consciences n’est pas un signe d’évolution de l’humain, mais en fait d’involution ! L’éveil à un nouveau paradigme est nécessaire, indispensable pour combler, remonter de l’abîme dans lequel nous sommes tombés.

Si l’humanité n’était pas « tombée » dans la dualité, tout ce mouvement n’existerait pas. D’un autre côté, nous avons eu besoin de tomber dans cette dualité pour évoluer !

C’est un peu comme pour un enfant à qui tu dis :  » Ne touches pas ça, c’est brûlant et tu risques de te brûler !  » L’enfant se dit :  » Mais c’est quoi brûlant, c’est quoi se brûler ? » Alors il voudra faire l’expérience de ce qui brûle et posera sa main sur l’interdit afin de connaître par lui-même ce qu’est le brûlant, ce qui brûle. Ayant mis sa main, s’étant brûlé, il sait maintenant par expérience ce que c’est. Maintenant tout dépend de la brûlure que nous nous sommes infligés, certains ne poseront que le bout du doigt, d’autres et cela semble être le cas pour l’ensemble de cette humanité… brûleront leur bras et leur jambes….

La spiritualité ne s’apprend pas dans les livres, ni dans des stages. Tout au plus ces modes d’actions peuvent être des points de repères, comme une adresse sur un GPS mais tout le chemin, c’est à nous de le parcourir, d’en faire l’expérience. Au contraire, trop de livres, trop de stages embrouillent plus qu’autre chose car tout un tas d’informations circule ce qui peut créer plus de confusion dans le mental qui cherche constamment à diviser.

Vivre de façon spirituelle, c’est regarder la nature sans aucun jugement de valeur de plus et de moins, de plus fort et moins fort car ça n’existe pas en fait, ce ne sont que des interprétations humaines. Observer et voir, pas regarder mais Voir comment la nature, le vivant s’organise, organise sa pérennité est une source, la source de toute spiritualité.

Si ce chemin est si ridicule, pourquoi l’homme depuis des siècles ne l’emprunte-t’il pas puisqu’il est si ridicule d’être ? Le chemin n’est pas ridicule et être c’est avant tout aimer, aimer ce qui est, nous aimer les uns les autres, aimer la vie, le vivant, le respecter, le sublimer, le restituer à qui IL EST. Au vu de la situation actuelle, ce « ridicule » semble bien compliqué à être incarné par l’humanité !

Non ce chemin n’est pas ridicule, ce qui est ridicule est que l’humain ne prend pas le chemin le plus facile. Il s’est égaré, a chuté de s’être cru le centre de tout, d’être l’intelligence ultime de la création. Il a confondu savoirs et connaissances, il a confondu donner et prendre. Ce qui moi me parait ridicule est que l’humanité cherche son trésor à l’extérieur de lui en dépeçant la terre pour de l’argent alors qu’il est assit dessus et est incapable de le voir ? Un peu comme le menuisier qui cale son crayon sur son oreille et qui ensuite cherche pendant des heures où il a bien pu mettre ce crayon. Il s’énerve, s’agace, devient grossier et parfois violent, il met sans dessus dessous tout son atelier, mais où est ce que j’ai mis ce P…… de crayon…. Mais il est juste là, posé sur ton oreille !!! Lâches ta tête et tu le trouveras ! Nous avons tous vécu cela des centaines de fois, chercher un truc que nous avons dans la main, l’humanité fait de même avec sa conscience et sa spiritualité. On ne trouve pas son crayon parce que le mental infernal est en route, il nous empêche de nous poser et de voir correctement, il nous coupe de notre mémoire, de notre mémoire originelle car il est prisonnier du faire et de l’avoir. Là c’est l’oubli de l’être !

Robin.