Lors de nos échanges, nous avons évoqué ta rencontre avec Hans-Peter Dürr. Ce physicien t’avait notamment confirmé que nous vivons dans un miracle de chaque seconde sans même nous en rendre compte. Peux-tu nous présenter son parcours et ses conclusions scientifiques ?
Raphaël
Si j’ai eu la chance, l’opportunité de vivre bon nombre d’expériences, j’ai aussi eu l’immense privilège de rencontrer de grands personnages ayant confirmé tout un tas d’observations faites lors de cette incarnation. Le physicien Hans-Peter Dürr fût pour moi l’une des plus belles et des plus importantes.

Je ferai court sur sa présentation, Hans-Peter Dürr était un physicien quantique ayant travaillé sur la bombe atomique à fort Alamo (à son insu). Après la fin de la seconde guerre mondiale, il fût repéré comme génie et fût embarqué aux USA dans le projet paperclip. Par la suite, il a été l’initiateur avec Andreï Sakharov du dialogue entre Reagan et Gorbatchev concernant le démantèlement des missiles nucléaires. Par la suite, il fût le successeur d’Heisenberg, recteur de l’institut de physique Max Planck en Allemagne durant trente années. Il a également été l’un des co-créateurs de Greenpeace qu’il a assez vite quitté.
Cet homme, cette rencontre m’a confirmé de façon forte et puissante que la spiritualité et la science doivent parler d’une seule et même langue. Mais avant tout chose, je dois raconter une petite histoire.
Enfant, non loin de ma maison, un bout d’autoroute était en construction. Faute de budget, elle mit un certain temps à être terminée. Durant cette période, un homme qui faisait de la compétition motocycliste venait faire les essais de sa moto de course. Dès qu’il démarrait, je pouvais l’entendre à des centaines de mètres tellement son engin faisait un bruit « d’enfer » lors de ses essais.
Curieux, un jour, je me suis rendu au bord de cette autoroute afin de voir passer le bolide et son pilote. Là, je vécu une expérience qui laissa en mon être des sensations fortes et quelques peu dérangeantes pour le jeune garçon que j’étais à l’époque.
La moto n’était encore qu’un petit point devant mes yeux et bien avant que je puisse réellement la voir et entendre le rugissement du moteur je pouvais percevoir, entendre la friction de l’air, le bruit du déchirement de l’air, oui l’air se déchirait !
Ce bruit de l’air se déchirant se produisit quelques dizaines de mètres devant la machine. C’était comme si la moto déchirait et poussait l’air devant elle avec une très très grande force. Je pense que tous ceux qui ont assisté à des courses de bolides ont entendu et senti ce phénomène.
Beaucoup de questions me sont venues, de suite je me suis mis à imaginer tout ce que les engins créés par l’homme engendraient comme poussées sur l’air en se déplaçant ! C’était une vision, une sensation douloureuse, comme si nous violions la terre, l’air en permanence. Cette sensation est restée un temps dans mes réflexions car elle avait produit un profond mal être, malaise.
Par la suite je suis passé à autre chose, ma vie d’enfant a repris son cours avec ses multiples expériences, mais au fond de moi, ce bruit, cette sensation de « viol », de déchirement, de poids exercé dans l’atmosphère terrestre et sur la terre ne m’a vraiment jamais quitté. Il y avait là quelque chose d’éminemment important sans que je ne sache vraiment définir quoi.
Pendant la période où j’ai vécu les déploiements de ma kundalini, je me suis retrouvé au volant de ma voiture. Un jour j’eu un déclic, autour de moi je vis tout ce que l’homme avait crée pour se déplacer. J’étais sur un pont sur lequel se déplaçait : un tram, un bus, des camions, des camionnettes, des voitures, des motos et des vélos. En dessous de ce pont naviguaient des péniches, à côté il y avait une voie ferrée où se déplaçaient des trains et dans le ciel des avions cinglaient l’azur. Là, tout d’un coup, mes souvenirs d’enfance concernant le bruit de l’air déchiré et l’énorme poussée exercée par cette moto de mon enfance me sont revenus d’un coup !
Tout autour de moi je voyais toutes ces tonnes de pression exercées sur l’air par chaque engin en déplacement. La vision de ces tonnes de pression me fit tomber dans un trou noir à l’intérieur de moi, L’horreur ! Je me souviens m’être accroché à mon volant et je ne saurais dire combien de temps cette sensation de chute vertigineuse a duré, mais ce dont je me souviens est que cette sensation avait à la fois inscrit un grand mal être et à la fois une très grande joie ! Celle d’avoir compris qu’en fait tout cela ne pouvait pas tenir mais que malgré tout nous étions toujours là !
Occupé à conduire, je remis tout ça dans un coin de ma mémoire en me disant : « bon, ce n’est pas le moment de penser à tout ça tu y reviendras plus tard ! » Mais cette sensation a fortement persisté en moi. En y réfléchissant par le suite, force m’a été de constater qu’en fait, tous ces déplacements d’engins produisaient des milliers de tonnes de pression sur la terre et devaient en fait nous faire tomber !
Mais je garda ce constat pour moi, je n’eus pas envie de parler de tout cela. Déjà que je suis souvent traité d’illuminé, je n’allais pas aggraver mon cas ! 😊
Puis un jour j’eus l’occasion d’être invité par des amis pour rencontré Monsieur Hans-Peter Dûrr lors d’une conférence à Bruxelles. Lors de cette conférence cet être nous dit : » L‘homme, l’humanité ne se rend même pas compte à quel point nous vivons dans un miracle permanent de chaque seconde ! […] En tant que physicien, j’ai fait les calculs des tonnes de pression exercées sur la terre par chaque véhicule en déplacement. Nous savons qu’une voiture qui roule à 80 kilomètres/heure exerce sur l’atmosphère et la terre x tonnes de pression et que cette pression varie selon la vitesse et le poids du véhicule, ceci est connu depuis bien longtemps. […] Le poids cumulé de toute les tonnes de pression que nous exerçons à chaque instant par toutes les machines et engins, véhicules, voitures, camions, motos, trains, bateaux… dépassent de 3 fois le propre poids de la terre !!! «
OUI vous lisez bien, tous nos modes de déplacement mécanique exercent une pression trois fois plus grande, plus forte que le propre poids de la terre !!
Cet homme nous dit aussi qu’en fait, c’est en faisant ces calculs qu’il fût définitivement convaincu qu’une force, une puissance colossale, une supra-conscience avait crée cette terre et nous avait créé.
Pourquoi ? Pour la simple raison nous dit-il, qu’en fait ces tonnes de pression trois plus grandes que le poids de la terre devaient normalement produire 2 choses :
- L’effondrement de la croûte terrestre !
- La terre devrait décrocher de son orbite solaire et en toute logique physique, la terre devrait tomber dans l’Univers !
Lorsque j’entendu ces mots, je me retrouva dans ce trou noir que j’avais vécu accroché au volant de ma voiture. Hans-Peter Dûrr venait de mettre des mots sur tout ce que j’avais vu, senti et ressenti, c’est à dire que nous sommes dans un miracle permanent. Nous sommes aimés, choyés à un point difficilement compréhensible par le commun des mortels. Et je fus aussi rassuré de ne pas être un fou ! Mes ressentis et visions étaient tout à fait juste car confirmées par l’un des plus grands scientifiques de notre temps !
OUI, nous vivons dans un miracle permanent inouï, tellement énorme et colossal qu’à la lecture de ces lignes, il est fort probable que certains feront une sorte de déni car prendre la mesure d’un tel miracle nous impose de poser le genou au sol en toute gratitude et dire : » Merci, merci père-mère de toutes choses, je suis à ton service et plus ici pour me servir. A mon tour, comment puis-je incarner autant d’amour inconditionnel ? Comment puis-je, moi aussi, incarner autant cette ultime bienveillance que tu nous offres à chaque seconde ? Comment te restituer tous ces cadeaux que tu nous donnes gracieusement à chaque seconde ? Comment être digne de cet amour et faire ta fierté ? «
Prendre la réelle mesure de ce miracle impose l’humilité, le don de soi, l’altruisme et l’envie de témoigner de tout cet amour comme de nos inconsciences. Au regard du dérèglement climatique et de toutes les catastrophes naturelles qui se produisent de semaine en semaine de façon exponentielle, nous pouvons craindre que cette main salvatrice soit en train d’écarter l’un de ses doigts. Comprend qui pourra…
La vérité de ce miracle, je l’ai vécue dans ma chair, dans mon sang, dans mes tripes, dans toute mon âme et dans chaque cellule de mon corps. Je garderai à jamais le parfum, la vibration de tout cet Amour dans lequel nous sommes protégés contre nous-mêmes. C’est un miracle dans lequel nous baignons à chaque seconde et si cette vérité n’est pas crue, j’invite tout les scientifiques à faire les calculs comme cet être l’a fait et nous verrons bien !
Comme le disait Hans-Peter Dûrr : « Il suffirait qu’un seul des doigts du sans-nom lâche et badaboum ! » Un seul doigt et nous disparaissons, nous et la terre mais par « chance », par son amour inconditionnel, nous sommes toujours mains-tenus par cette main, main-tenant sa présence dans notre présent, ce présent qu’il nous offre de sa présence. Alors soyons conscients de SA présence ici et maintenant. Honorons, glorifions cet amour qui nous est donné, offert, et restituons le en total don inconditionnel. Soyons dignes et fiers de tout cet amour. C’est là la seule et unique chose qui nous est demandée ! Aimons nous, aimons la vie, aimons le vivant, aimons le créateur tout comme il nous aime. Aimons nous les uns les autres et veillons les uns sur les autres parce qu’un jour, comme expliqué dans l’article sur la pesée des âmes (à lire ici), le jour de notre départ de cette terre, baignant dans cet amour immense et inconditionnel, la seule et unique question qui nous sera demandée sera : « Qu’as tu fais pour les autres et comment as-tu aimé ? « Ce ne sera pas facile pour l’âme de voir, sentir goutter tout le conditionnel qu’elle aura incarné.
Robin