La conscience se déploie dans le relatif pour être l’expérience d’elle-même.

Certains scientifiques qui s’occupent de sciences cognitives, neuronales font des recherches sur le cerveau afin de découvrir l’origine de LA conscience ! Pour tout les éveillés, cette recherche est des plus ridicule, faite excuse mais jamais au grand jamais ils ne trouveront de réponse par ce biais qui est un postulat de départ de recherche complètement faux, un cul de sac dans lequel leurs recherches seront toujours vaines !
Ces scientifiques recherchent dans le cerveau des zones où la conscience pourrait se cacher, naître, exister, ce développer au travers des circuits neuronaux.
De leurs points de vue et celui de bon nombre de chercheurs spirituels, la conscience est quelque chose qui se développe à grande ou petite échelle selon chaque humain au fil de/des existences, des incarnations.
C’est pourquoi le terme développement personnel est employé dans ce mouvement d’éveil spirituel.
Développement personnel induit la quête de vivre, d’incarner, d’avoir, de développer plus de conscience, d’être possesseur d’une conscience, que la personne, le personnage possède une conscience à titre individuel. « Développement personnel, c’est comme si ce développement devait se faire par étape, par des échelons et des niveaux à gravir par des stages spirituels de toutes formes et natures. Cette expression dit aussi que c’est la personne, le personnage qui doit se développer, mais la personne, le personnel est toujours une fabrication imaginaire de l’égo et du mental. Etre une personne est toujours et sera toujours une croyance fausse. Nous pensons être un personnage défini par des contours restrictifs  limités aux 5 sens et par un nom, un prénom, une date et lieu de naissance, né de tel père et mère dans tel pays avec tel héritage culturel. Mais cela est tout un tas de croyances, de formatages, de conditionnements, d’identifications toutes les plus « fausses », les plus infondées les unes que les autres.
Développement personnel, c’est un peu comme si la conscience était un muscle qu’il fallait fortifier par certains exercices afin de vivre plus en conscience, d’avoir plus de conscience.
D’ailleurs le terme de « prise de conscience » nous le démontre fort bien, comme si la conscience devait être prise, apprise, entreprise dans et part le développement de cette dernière et c’est là un des plus faux chemin à arpenter si l’on veux être LA conscience.
Il y a aussi enjoint au développement personnel la croyance qu’il faille parcourir un chemin et c’est une preuve de plus dans la fausse croyance qu’il faille parcourir quoique ce soit pour ÊTRE la conscience.
Tous ces postulats qu’ils soient scientifiques ou du développement personnel sont faux car l’origine de leurs recherches est complètement tronquées, faussées par la croyance que la conscience vient du cerveau, ou de quelque chose logé en nous, une part invisible qu’il faille développer afin de la faire grandir.
Ce faux postulat de recherche est induit par la croyance séculaire que nous sommes un corps qui a un cœur et un cerveau dans lequel repose, vit la conscience, c’est là la plus grande erreur commise par les scientifiques et bien des chercheurs spirituels.
La vérité est toute autre, est complètement différente et bien plus belle, magnifique que cette croyance qui fait encore de l’humain le centre de toute chose. Un peu comme quand nous disons : « le soleil se couche, le soleil se lève » !!! Par cette vision l’homme se place encore au centre de tout, c’est pour lui que le soleil se couche et se lève !! Mais comme c’est égocentrique, le soleil ne se couche et ne se lève jamais, comme la conscience IL est toujours là, c’est la terre et ses habitants humains qui se couchent et se lèvent face au soleil, lui ne bouge pas : IL EST ! Cette croyance d’un soleil qui se couche et se lève pour l’humain est d’une très grande vanité, c’est un important manque d’humilité, une fausse vision qui induit, sans que cela ne soit vu, une fausse posture conduisant à bien des égarement.
NON, nous ne sommes pas un corps avec un cerveau où repose la conscience, cette compréhension est pour un éveillé moyenâgeux ! 🙂
Ce que nous sommes est plus grandiose que ça, nous sommes la conscience qui a créé l’humain avec un corps, un cerveau, la terre, le cosmos, etc. pour champs d’expérimentation. Toute la création tangible et intangible sont les fruits de la conscience les créations de la conscience qui englobe, EST, tout ce qui existe dans le monde terrestre la matière dense et dans les mondes astraux qui sont toujours de la matière mais vibrant de façon plus fine, plus subtile !
La matière dense, terrestre et les mondes astraux, subtiles, font encore parties de la création relative or nous sommes la conscience qui, elle, EST l’absolu. Nous sommes la conscience qui a créé, re-créé, co-créé le minéral, le végétal, l’animal et l’humain, l’atome et le cosmos pour faire l’expérience de qui IL/ELLE EST en parts individuelles mais identiques en tout et partout afin de se voir dans toute sa beauté et perfection dans tout ce qu’elle créé en permanence grâce à l’impermanence.
Nous n’avons pas une conscience, nous sommes LA conscience et c’est pourquoi le postulat de recherche des scientifiques est tronqué car, pour offrir une image, il recherche à l’intérieur une zone où repose, vit la conscience alors qu’elle est toute chose, elle est dans son expression, expérience tangible tout ce qui est a l’intérieur et extérieur de façon identique sur les plans relatifs. C’est comme si l’homme recherchait un puits alors qu’il est  le puits, comme si l’homme cherchait et recherchait une montagne alors qu’il est la montagne.
Nous recherchons la conscience comme un objet à développer, comme un attribut que nous possédons et devons développer mais c’est faux, nous sommes la conscience parfaite et infinie, elle ne nous appartient pas mais nous lui appartenons, nous sommes sa création et ses créateurs. Nous baignons dans les mondes tangibles dans la conscience qui est qui nous sommes comme en toutes choses, touts objets, du plus infime au plus grandiose, c’est toujours nous que nous voyons.
La conscience se déploie dans le relatif pour être l’expérience d’elle-même. Nous sommes un énorme miroir qui c’est divisé en une infinité de petits miroirs de toutes formes et natures pour se regarder en tout et en toutes choses créées partout et en tout. Une infinité de petits miroirs qui sont la somme du grand miroir originel, là où repose le « sans forme » qui se mire dans toutes ses formes.
Robin

Après EMI, retrouver un quotidien (3/3)

Ce avec quoi je me suis réincarné,

je vais tenter d’offrir une image de ce que j’ai vu, compris, senti, goutté de façon simple et merveilleuse.

Pour moi, mon corps est un univers à lui tout seul dans lequel vit un nombre incroyables de planètes, de soleils, de galaxies que je comparent à nos organes : foie, estomac, cerveau, rate, vessie, œil, main, pieds,… enfin tout ce qui constitue mon corps physique interne et externe, éphémère et périssable car fruit de la permanence impermanence principe fondamental et d’expansion du vivant, de la vie, de la supra-conscience, de Dieu… et ces galaxies et planètes sont habitées, constituées par la vie, des êtres vivants, que sont mes cellules et millions de bactéries qui les composent, qui elles-même sont faites d’atomes agglutinés ensemble par affinité de même genre en adéquation avec leurs niveaux vibratoires.  Atomes de même genre et affinités qui créées et régénères mes cellules et bactéries par lesquelles je suis, j’existe en tant qu’individu née de la même source que chacun et chacune d’entre nous. Création et recréation de ces cellules et bactéries par le principe du jaillissement de la vie qui est un processus qui vient de l’intérieur et s’expanse vers l’extérieur et non l’inverse comme souvent cru.

Pour chacun des atomes, cellules et bactéries qui forment votre corps, vous êtes Dieu, tout comme vous, votre corps est une infime partie du corps de Dieu, l’Univers dans sa globalité, de la supra-conscience divisée en des milliards de particules afin de faire l’expérience la plus grandiose d’elle / lui-même par la création et l’incarnation dans la matière, l’informe qui prend forme dans la matière pour voir qu’il / elle EST et ce sublimer par l’intermédiaire de la matière dense, seul chemin indispensable à sa propre réalisation afin de faire l’expérience de qui elle/il est.

De ce point de vue, je suis un atome qui fait partie du corps céleste du supra conscient, de Dieu en construction et reconstruction, en expansion permanente

 

Pourquoi ce jaillissement d’amour est-il freiné ?

 

Pour ma part, une des chose principales qui m’est apparue est notre croyance qu’il faille gagner notre vie !!! Aberration incommensurable à mes yeux maintenant pleinement ouvert.

La vie est un jaillissement de joie permanent, un cadeau inouïe que la vie se fait a elle-même en permanence, un cadeau inestimable et sacré.

Alors pourquoi dois-je gagner le cadeau ? Si c’est un cadeau, si c’est une offrante, pourquoi dois-je gagner l’offrante plutôt que la partager en me coulant en toute syntonie, symbiose avec les lois qui créent, co-créent et recréent la vie en partance dans son jaillissement d’amour total et inconditionnel. Si je suis éternel et infini, forcément il n’y a rien à gagner puisque je suis tout et tout est moi.

J’ai pu observer que la grande erreur de notre humanité est d’avoir marchandé le vivant, la vie où tout sur cette terre est marchandé, tant le minéral, le végétal, l’animal que l’humain. Tout se vend et s’achète par l’exploitation sans vergogne de l’un comme de l’autre au détriment des uns et des autres nous ayant conduit où nous en sommes ici et maintenant.

La vie sous toutes ses formes n’est pas une marchandise prompt a générer des profits. Profit de quoi quand cette marchandisation conduit directement à la destruction de la vie, du vivant donc de Dieu et sa création ?

Dans la matière tout est vivant, le minéral, le végétal, l’animal et bien évidemment l’humain sont la VIE,  tout est la vie, tout porte l’empreinte indéfectible de Dieu, de la supra-conscience, de l’intelligence amoureuse de la vie, de ce jaillissement perpétuel de joie et d’amour sans fin.

Tout ce qui nous entoure, ce que nous ingérons, consommons est Dieu en fait, et Oui cher frère et sœur vous êtes Dieu et Dieu ne fait pas de commerce avec lui-même surtout quand ce commerce destructeur le met en péril et déséquilibre son harmonie, harmonie que vous êtes puisque qu’IL EST ce que vous êtes et qu’IL EST puisque vous êtes les enfants sacrés de ce tout ce qui vie en vous puisque vous vivez en LUI et qu’il vit en vous !

Nous pouvons faire l’analogie suivante. Notre corps est constitué de millions d’atomes de toutes formes et natures prompts a créer la vie. Tous les êtres vivants et ce corps sont les réceptacles dans lesquels la vie s’expanse, se régénère, se crée, co-crée et recrée. Chaque atome de notre corps peut être envisagé comme un être humain dans son ensemble et que chaque être humain est un atome du corps de Dieu en construction et ce corps est le cosmos, l’univers en expansion donc construction, reconstruction constante dans la permanente impermanence. Pour ceux qui connaissent les fractals, le microcosme et le macrocosme, cette image sera très facile à visualiser.

Chaque être humain, chaque forme de vie est le corps de la vie, du vivant, du supra conscient qui se créé, co-créé et recréé sans cesse à l’infini depuis des siècles et des siècles pour les siècles et les siècles et rien ne pourra jamais arrêter ce principe, nous pouvons momentanément freiner, salir ce principe en n’utilisant pas les bonnes méthodes d’expansion du vivant. Nous pouvons même nous détruire et causer des dégâts à la terre mais toujours la vie sera la plus forte et ce reconstruira sur ses bases sous une forme ou une autre car toutes les formes sont possibles et l’adaptabilité du vivant, de la vie est sans fin, incommensurable car elle est le jaillissement perpétuel de l’amour total et inconditionnel.

Toute cette marchandisation me donne l’image que mes cellules, les bactéries qui me compose, mes globule blanc et rouge seraient en train de tirer profit de mon corps au risque de le détruire prématurément et que toutes ces cellules et bactéries pour la destruction de ce corps dans lequel elles vivent, habitent en quelque sorte me demanderaient un salaire pour continuer de me détruire d’avantage. Salaire qui est en fait une totale illusion puisque celui-ci me conduira à ma propre perte. D’ailleurs le mot salaire n’est pas anodin… sale air… sale ère… Est-ce que tout c’est salaires n’ont pas pour résultats la dévastation de notre maison. Est-ce que tout ces salaires pour lesquels nous travaillons tous n’ont t-il produit un sale air, la pollution et destruction de notre écosystème juste pour des chiffres virtuels sur des écrans d’ordinateur. Il n’y a jamais eu autant d’argent sur cette planète et elle n’a jamais été aussi dévastée. Combien de races animales ont-elles disparu de la surface du globe ? Combien de formes de vie connues et inconnues  ont elles déjà disparu ceci pour le simple profit et l’illusion dérisoire et stupide de dominer la nature, de l’avoir marchandé ?!

Est-il si difficile de voir, comprendre, conscientiser que tout cet argent accumulé sur terre n’est rien d’autre que la marchandisation de la vie sous toutes ses formes ? Marchandisation et exploitation nous conduisant à peut être nous détruire ? Est-il si difficile de voir que tout cet argent est le sang des peuples, de femmes, d’hommes et d’enfants enchaînés, exploités. Est-il si difficile de voir que tout cet argent est le fruit de tout ces animaux massacrés, disparus de la terre. Est-il si difficile de voir que tout cet argent est le produit final de notre auto-destruction et destruction de notre habitat !

Pour moi le but d’une EMI est de parler, d’ouvrir un débat, une réflexion mondiale sur la réincarnation car si cette vérité est acquise en toute conscience chez chacun et chacune d’entre nous, tout pourrait changer très vite.

Si nous prenons conscience enfin que nous sommes tous frère et sœur nés du même père-mère et que cette terre est une splendide et merveilleuse maison de campagne sur laquelle nous nous réincarnons afin de nous parfaire en nous fondant en syntonie avec les lois d’amour qui l’on créé et nous ont créé. Quel est le fou qui va s’amuser pour de futurs profits et quête de pouvoir à détruire cette magnifique maison de campagne et faire du tort a ses frères et sœurs en sachant que demain il reviendra pour réparer, nettoyer ce qu’il aura détruit, sali, maltraité et causé du tort.

Si nous comprenions mieux le but de la vie qui n’est rien d’autre que de s’élever au plus haut degré d’évolution spirituel et divin à travers la matière, réceptacle de tout cet amour afin que la vie, le vivant, dieu ce voit à travers chacun d’entre nous dans toute SA vérité et merveille, tout changerait du tout au tout en quelques secondes !

Après mon expérience d’EMI, il m’a été permis entre autre de voir des auras, c’est à dire la qualité vibratoire, énergétique du vivant qui s’exprime en son et en couleur. J’ai pu voir et observer toutes les auras nées de la matière montée dans le ciel dans un élan de pur et noble amour et j’ai pu voir les auras des mondes subtils venir « adouber » en pur amour rentrées en fusion en connexion avec les auras de la terre, c’est à dire que que j’ai pu observer à quel point le subtil était en amour de la matière et a quel point la matière est en amour pour le subtil, a quel point les 2 s’appellent continuellement, a quel point elles dansent et font/ sont l’amour en permanence. J’ai vu le pouvoir de l’éros, la puissance amoureuse qui uni le visible et l’invisible, le dense et le subtil, j’ai vu a quel point le subtil cherche à se densifier pour faire une expérience plus grande de qui il est et a quel point la matière cherche à être plus subtile afin, elle aussi, de faire une plus grande expérience de qui elle est.

J’ai vu que l’un et l’autre ne sont pas séparés et au contraire cherchent à fusionner et ce trait d’union entre les 2 faces d’une même pièce, c’est nous, chacun et chacune d’entre nous en tant qu’enfant sacré de la création. Nous sommes le trait d’union entre la matière et le subtil et il nous appartient de créer cette union, comment, en abandonnant définitivement toutes envies de profit, de pouvoir, de domination, de peur, de colère, de haine de rancœur, d’amertume, de mensonge, de tromperie, de manipulation, de destruction…. et j’en passe et j’en passe. La juste attitude pourrait se résumer en quelques mots, abandonner l’argent pour passer à L’Art (des) gens, c’est à dire que nous avons tous des dons et des facultés pour telle ou telle chose et ces dons c’est de la mettre au service du bien commun, le bien comme UN; dans le total respect des lois universelles, ontologiques, lois qui ne sont rien d’autre que l’AMOUR inconditionnel.

Robin

 

Après EMI, retrouver un quotidien (2/3)

Autre constat.

Pour commencer, je trouve que les mots pour décrire cette expérience sont inappropriés, EMI = Expérience de Mort Imminente, cela ne résonne pas vraiment en moi car en fait la plus grande découverte pleinement conscientisée lors de cette expérience est que la mort n’existe pas, il n’y a que la vie partout et tout le temps à l’infini et pour l’éternité. Cette vie jaillit en permanence d’elle-même et en elle-même, et ceci dans la joie, pour la joie, avec la joie et dans la pleine jouissance de s’offrir à elle-même.

La mort est définie dans la plupart des dictionnaires comme étant :  » la perte définitive par une entité (organe, individu, tissu ou cellule..) des propriétés caractéristiques de la vie par sa destruction ». Cela est faux en fait ou en tous cas pas très juste !

Oui le corps physique « s’éteint » en quelque sorte mais la matière dont nous sommes fait ne s’arrête pas vraiment. Si vous enterrez un corps dans la terre, il va nourrir tout un tas d’autres formes de vie, ce corps d’une certaine façon continuera de « vivre » dans chaque organisme qu’il aura nourri. Certes il aura disparu en tant que tel mais il contribuera à la pérennité d’autres formes de vie. A mon sens il ne disparaît pas vraiment ! Cela est a l’identique des feuilles des arbres qui tombent chaque automne et qui, en se décomposant deviennent de la nourriture pour d’autres organismes vivant et également pour l’arbre lui-même puisque ce dernier ce nourrira de sa propre production et décomposition, l’humus qu’il aura créé grâce à la perte de ses propres feuilles. L’automne qui suit l’été sera sa nourriture de demain.. exemple concret de la permanence et de l’ impermanence, principe qui sous-tend toute la création qui jaillis et jouis dans la joie continuelle d’elle-même.

Pour rappel, chaque jour les milliers d’organismes, cellules, bactéries et autres qui constituent notre corps et le fabriquent et refabriquent, meurent et ce régénèrent en permanence. Nous « mourons » en quelque sorte complètement tout les 7/8 mois en moyenne car c’est la période durant laquelle un cycle complet de mort et renaissance de toutes les cellules et bactéries constituant notre corps physique se passe en nous. Lors de ce cycle, tout ce qui constitue notre corps meurt et est évacué pour être recréé à nouveau, c’est à dire être remplacé par les différents composants chimiques que nous ingérons chaque jour par la transformation de nos aliments par le corps en organismes vivants qui constituent notre corps. Nos os, notre squelette est ce qui ce régénère le plus vite. Tout les 3 mois la charpente qui soutient tout nos organes est rebâtie à nouveau, tout comme l’arbre qui se nourri de ses feuilles de l’année précédente… Nous sommes dans un continuum espace-temps infini ou n’existe que l’ici et maintenant et où rien ne meurt mais tout ce transforme afin de pérenniser, perpétuer le jaillissement permanent grâce à l’impermanence du vivant, de la Vie.

OUI, ici et maintenant une partie de vous est en train de « mourir » et est évacuée par vos émonctoires et en même temps une partie de vous, les cellules, bactéries et atomes qui constituent votre corps sont régénérés, recréés à partir des aliments que vous avez ingéré. OUI vous êtes perpétuellement en résurrection dans la matière 😊 tant que vous maintiendrez en ordre et en bon fonctionnement ce cycle de régénérescence qui en fait peut aller beaucoup  plus loin que la moyenne de 75 ans vécue sur terre par les humains. Cette moyenne peut être largement augmentée grâce à l’amour, une vie saine, des pensées, des actes et des paroles saines emplies d’amour, joie et gratitude alimenté d’une nourriture tout aussi saine.

Pour notre âme, l’infime partie, la particule « individuelle » du grand Tout que nous sommes et qu’IL EST, c’est aussi le même constat. Notre âme ne meurt pas, elle continue bel et bien de vivre sur d’autres plans vibratoires « loin » de la pesanteur et de la gravité terrestre. Cette âme que nous sommes tous, continue sont chemin, sa vie, sur d’autres plans, dans un autre « état » que celui de la matière. Nous nous rendons compte très vite après notre départ du corps physique que nous continuons d’exister, de vivre, d’être présent, d’éprouver de la  joie et parfois de la peine, nous continuons de penser et de réfléchir, de voir et de sentir. Certes sous d’autres formes et d’autres manières mais nous sommes toujours bien Là, bel et bien VIVANT ! Nous continuons de vivre, d’exister sur d’autres plans en adéquation avec le niveau de conscience acquis lors de notre départ du corps physique. Nous continuons de vivre, de vibrer sur des plans adéquats, en affinités avec notre taux vibratoire acquis lors de notre départ du corps physique.

Voilà pourquoi le mot mort est pour moi une « erreur », c’est une sorte de non-sens puisqu’en fait rien ne meurt vraiment. Tout nourri le tout sous d’autres formes.

Au contraire, je pense que ce mot induit une incompréhension et des peurs qui engendrent souvent un blocage dans l’expansion, le jaillissement joyeux et spontané de la vie, du vivant en harmonie avec ses lois ontologiques.

C’est un mot qu’il faudrait transformer ou au moins dépouiller de toutes les connotations négatives qu’il induit pour l’humain.

Mais revenons à notre expérience de trépas … de changement d’état et du retour dans la matière.

Les difficultés sont multiples et variées et dépendent de l’intensité de l’expérience vécue. Expériences vécues qui sont en adéquation avec le niveau de conscience, le taux vibratoire acquis par l’être avant de vivre cette expérience.

C’est pour cela que chaque expérience d’ EMI est différente dans son déroulement et son intensité toutefois ont y retrouve toujours le même fil rouge, les mêmes principes et des similarités sont évidentes.

Je peux prendre 2 exemples pour expliquer ce fait, le neurochirurgien américain bien connu mondialement… était une personnes qui niait complètement les expériences d’EMI. Pour lui, en gros, tout cela n’était que des élucubrations fantasmagoriques issues de cerveaux  « défaillants », il n’y avait pas de vie après la mort, tout cela n’étant qu’une fabrication imaginaire de cerveaux quelque peut hallucinés !

Réfractaire absolu il mettait toute sa « science », sa « connaissance » et son aura de scientifique internationalement reconnue pour dénigrer ces expériences. Ceci jusqu’au jour où « comme par hasard », il a lui-même vécu une EMI. D’après son témoignage, il n’a pas vécu une vraie pesée de l’âme telle que j’ai pu la vivre et d’autres également avec des degrés d’intensité variés. Pour lui ce fût  » léger » par contre il a pu visiter des mondes subtils qu’il décrit avec force et passion maintenant. Ceci dans un seul but, transmettre, divulguer et donner la preuve de l’existence de la conscience et que celle-ci n’est pas une fabrication du cerveau mais préexiste à toute la création. C’est pour cela que bien des mondes et des êtres vivants sur différents plans vibratoires et dimensions lui ont été montrés, afin qu’il voit que  » il y a de nombreuses demeures dans la maison de mon Pere … ».

Ceci bien évidemment pour que cet homme à l’aura internationale arrête de nier et de conduire un combat acharné contre la connaissance et les êtres ayant vécu cette expérience.

Pour d’autres ayant acquis une conscience plus élevée, la réincarnation est une évidence sans avoir connu d’EMI, le passage dans le tunnel blanc et bien plus rapide et nullement entaché d’ombre ou de la moindre crainte. Ils se retrouvent directement sur des plans très élevés ou bien d’autres choses leurs  sont montrés et expliqués. Inutile d’aller leur montrer les différents mondes subtils puisque d’essence ils en connaissent l’existence.

Lors d’une EMI, il est seulement donné à chacun ce qui lui est permis de porter, la vie est bien faite et est toujours d’une justesse infinie. Il est inutile de montrer et de vouloir expliquer des choses à un être alors que l’on sait qu’il n’aura pas les épaules suffisamment solides pour encaisser le choc ou porter le poids du dévoilement, cela serait contre-productif.

Lors de ces expériences, il est donné à chacun, chacune ce qu’il ou elle est capable de porter et de transmettre, inutile de poser un aveugle au centre d’un feu d’artifice les grand yeux ouverts. Il en serai choqué de façon certaine, il lui sera seulement donné de voir, de percevoir quelques couleurs afin qu’il puisse continuer de guérir sa cécité, mais ce serai vraiment contre-productif de lui brûler les yeux éteint depuis si longtemps en le posant les yeux grand ouverts au cœur même de la lumière, ce serai insupportable et extrêmement douloureux.

Le retour, la nouvelle incarnation.

Les premiers instants, moments du retour sont bien évidemment l’émerveillement incommensurable de la découverte de l’infini, de l’éternité et de la magnificence grandiose de la création et sa beauté sans aucune mesure possible car sans cesse en train de se parfaire en fait.

Ensuite vient, et ce fût mon cas, la sidération ! Sidération devant l’égarement, l’inconscience dans laquelle nous sommes plongé depuis des millénaires maintenant.

La sidération de voir et d’observer jusqu’ a l’écœurement parfois de la bêtise abyssale dans laquelle nous avons chuté.

Sidération de voir, savoir, connaître qu’en fait il serait si facile de vivre dans la matière les mêmes états de joie, paix, bonheur, harmonie vécue, ressentie une fois de l’autre côté du miroir.

Les premier mots qui me sont venus ont été :  » je me suis incarné sur une planète qui est en fait un pitum planétaire avec pour capitale sot d’homme et go mort. Pitum étant le camps d’esclaves délivré par Moise, sot d’homme, notre bêtise à ne pas vivre la vie mais à devoir la gagner pour survivre en détruisant notre environnement qui, de façon certaine, contribuera à notre propre destruction. Go mort car en fait cette exploitation, marchandisation du vivant est notre mort à tous que nous créons chaque jour par notre manque de conscience du vivant et de ses lois, principes ontologiques.

 

Robin

Après EMI, retrouver un quotidien (1/3)

 

Après avoir lu, entendu bon nombre de témoignages sur les EMI, un constat semble s’imposer, quasiment jamais il n’ai témoigné des soucis ou problèmes traversés par les êtres ayant vécu une telle expérience !

Il y a peu de témoignages concernant les difficultés rencontrées par les « expérienceurs » une fois revenu à la matière.

Nous pouvons trouver une multitude de témoignages relatant les mondes subtils, les différents plans d’existence et dimensions, la beauté de ces derniers, des rencontres avec de chers « défunts » (qui ne le sont pas en fait 😊 ), des contacts avec des êtres vivants sur d’autres plans, d’autres dimensions, des rencontres avec le Christ, la visite d’endroit, de lieux féeriques et magiques.

La vacuité de l’instant, l’amour vécu et ressenti, cette douce et splendide lumière blanche iridescente et vivifiante pleine de Joie, félicité  et bonheur, cette liberté loin du poids de la matière, celle de la vitesse de déplacement vertigineuse, la vitesse de la pensée en fait, un « espace » où le temps, la gravité, la pesanteur n’existe plus, ne reste que la pure conscience à travers laquelle vous connaissez tout, vous êtes ce tout. Cette expérience de goûter, vibrer à l’infini et l’éternité de l’instant présent et la magnificence de la création est une joie incommensurable,

OUI, OUI et milles fois OUI, la vie dans les mondes subtils est grandiose, merveilleuse, splendide, indicible, difficilement traduisible et transmissible une fois revenu « sur terre », dans la chair, être réincarné à nouveau dans un corps.

Néanmoins ce retour n’est pas toujours évident et n’est pas simple à vivre et à négocier, car la différence entre ces mondes et le notre est souvent perçu comme un abîme dans lequel bien des êtres se sont abîmés …

Quels sont les soucis rencontrés par les êtres ayant vécu cette expérience :

-1 Retrouver une « réalité » dans le monde de la matière, un quotidien « normal » tant l’expérience est intense et apporte une toute autre dimension et connaissance de la vie, de ses rouages, ses cycles, sa perfection en fait. Cette expérience est tellement « bouleversante » que bien souvent la vie de ces êtres est complètement retournée, chamboulée et c’est souvent très difficile a vivre pour l’expérienceur ainsi que pour l’entourage familial. Il peut s’en suivre une très grande dépression, de la souffrance, de la mélancolie et tout son lot de mal-être tant la différence est colossal entre ce qui a été vécu et ce que l’on doit vivre. Comment vivre ou plutôt survivre dans notre paradigme loin de ces vérités sur la vie et ses principes? La solution trouvée par bon nombre est le silence, le DENI afin de ne pas/plus trop souffrir.

-2 Témoigner, relater ces expériences n’est pas évident si l’on ne trouve pas d’emblée une oreille adéquate pour parler, échanger sur ce sujet. Si vous vous adresser à une personne non croyante, cartésienne, le risque est d’être pris pour un halluciné et la camisole chimique est à craindre.

-3 C’est aussi souvent devoir se taire auprès des membres de votre famille qui ne peuvent pas croire en une telle chose et ceci occasionne bon nombres de « désagréments » et de souffrances. Inévitablement un fossé ce creuse bien souvent. Fossé de toute évidence creusé par l’expérience elle-même tant nos modes de « vie » pour ne pas dire de « survie » sont radicalement aux antipodes de la découverte de son vrai sens grâce à cette expérience de mort imminente.

-4 L’envie forte d’y retourner face aux difficultés rencontrées à revivre dans la matière ce qui induit un repli sur soi, de l’isolement et de la solitude.

-5 Intégrer l’expérience vécue, trouver les bonnes sources qui parlent de cette expérience et des médecins ou scientifiques, sages ou êtres ayant acquis un plus haut niveau de conscience que la moyenne afin de partager ce vécu si intense.

-6 Supporter les quolibets et les moqueries de toutes formes et natures.

-7 Voir, observer sans cesse a quel point notre humanité est loin d’incarner tout cette amour dont nous sommes les fruits, les enfants tout autant que la Source. Voir et observer a quel point nos modes de survie, de vivre la vie, sont en fait aux antipodes de la Création et de son but alors que tout repose en fait au creuset de nos cœurs et de nos mains. C’est en effet dans nos cœurs et nos mains que Dieu se réalise, IL se voit, peut se voir, cherche à se voir dans toute sa splendeur.

Pour ma part, le plus difficile a été de retrouver un quotidien dans lequel toutes les vérités et valeurs vécues lors de cette expérience sont « désincarnées », c’est à dire non-vivantes dans la matière et dans les modes de fonctionnement sociétaux.

Dans cette expérience vous faites l’expérience de l’amour total et unique alors que dans la matière c’est bien souvent tout le contraire dont nous pouvons faire le constat.

Cela créer une grande souffrance car la vision et la compréhension de notre manque d’Amour vous prend à la gorge de façon forte et puissante.

Malgré tout, l’envie de traduire cette expérience est plus forte que tout et vous tentez de traduire cet amour universel dont vous avez goûté la grandeur et les beautés.

La difficulté la plus importante est qu’en fait vous revenez à la vie totalement transformé et cette transformation, pour ne pas dire métamorphose est difficilement comprise par tout l’entourage, familiale comme amicale.

Tous voient, sentent que vous n’êtes plus du tout la même personne, ayant eu pendant des années une image, une « compréhension de qui vous êtes, souvent induite par des croyances erronées nées des dysfonctionnements d’autrui et des vôtres. L’image que vous renvoyez à votre entourage ne colle plus du tout avec celle qu’ils avaient de vous. Souvent la phrase que j’ai entendue a été : « c’est bien toujours toi mais je ne te reconnais plus !  » Et cette incompréhension, cette image fait peur, inquiète et est bien souvent la porte ouverte au rejet.

Les êtres de votre entourage se sont fait une représentation de vous, parfois juste, parfois injuste et au retour de cette expérience vous leur offrez une image totalement, radicalement différente et parfois complètement transformée de ce qu’ils croyaient connaître de vous. et c’est bien souvent très difficile à vivre. Chez bon nombre d’expérienceurs, cela induit : le déni, le refus de partager, de divulguer le cadeau merveilleux reçu par une telle expérience. Cet état de fait conduit bien souvent aussi a une souffrance et un isolement par les commentaires reçu par l’entourage,  » il a péter un plomb, mais qu’est ce qui lui arrive, pour qui est ce qu’il ce prend, il est devenu fou, … » sont des commentaires souvent entendu dès que l’on essaye de traduire ce vécu.

Une difficulté une fois de retour dans la matière est que vous revenez réellement comme un nouveau née, mais un nouveau née avec les facultés de l’adulte. Vous maîtrisez le langage, la pensée, vous savez appréhender la réalité mais celle-ci n’a absolument plus rien à voir avec la réalité vécue par ceux qui vous entourent et de ce fait vous devez apprendre a vivre, à revivre avec des codes étant aux antipodes de l’expérience vécue et des changements radicaux qui se sont opérés en vous.

Si je devais donner une image, c’est comme si après avoir baigné dans une lumière vive, vivifiante et amoureuse, vous deviez revenir avec cette lumière dans une cave noire, malodorante ou règne le chacun pour soi plus que le chacun pour tous.

Bon nombre d’êtres ayant vécu une telle expérience plongent, une fois de retour dans une dépression forte et n’ont plus qu’un seul espoir, retourner dans la lumière afin de ne plus souffrir de cette différence si difficilement traduisible parfois.

 

Robin

Être en santé grâce à un système immunitaire optimal !

En préambule, un constat peut être fait sur le discours complètement négatif de nos médias, leur narratif ayant pour seul but d’entretenir la peur, la terreur, la psychose, vieille méthode séculaire employée par les « élites », nos dirigeants pour nous maintenir sous le joug de leur pouvoir, autorité prompt à la continuité de notre esclavage.

 

Depuis le début de cette « pandémie », les scientifiques employés de « big pharma » présents dans les médias traditionnels ne font que nous parler de médicaments, de vaccins, que nous sommes en guerre… mais en guerre contre qui ? La vie !
Pour rappel, notre corps est à 99% composé de microbes, bactéries, virus !  Il y a dans un mètre cube d’air des milliards de bactéries, microbes, virus et autre en suspension. Ils font parties de la vie, Ils sont la vie, le vivant. Il en va de même pour la terre, si on analyse les sols, ils ne sont que ça, des bactéries, des microbes de toutes formes et natures. Se sont toutes ces bactéries , microbes qui nourrissent, font pousser, grandir, nous offre des aliments sains.
A la condition de ne pas ajouter tout les intrants chimiques qui détruisent la nature de ces sols, détruisent son harmonie naturelle ceci par souci de rendements, de profits, de gains complètement faux et illusoires.
Tous ces scientifiques, conseillés de l’ombre et dans l’ombre des puissants avec l’aide des médias ne nous parlent que de maladie, de mort avec des chiffres alarmistes souvent faux ou en tout cas fortement modifiés.
Pour exemple, depuis le confinement, la grippe, les angines et autres maladies qui surviennent chaque hiver ont complètement disparu des statistiques, ceci peut être vérifié sur les sites officiels des ministères de la santé disponible sur internet. Si vous regardez les schémas c’est clairement visible. C’est fini il n’y a plus de grippe et autres maladies, elles ont complètement disparues du jour au lendemain suite au confinement … bizarre…
Il appartient à chacun de faire ces recherches ou pas !
E coli Ag Res Mag
Du positif car en fait tout ça est infiniment positif !
Le but de cet écrit est de poser une question, celle de savoir pourquoi en cette période, les médias ne parlent que de maladie, de médicaments et vaccins, mais aucun mots sur la santé, comment être en santé ? Comment booster, fortifier nos systèmes immunitaires ? Rien n’est dit, rien n’est expliqué…
L’humain dans son ensemble attend une solution extérieur afin d’être « sauvé » du méchant virus qui nous tombe dessus de façon arbitraire. Le méchant virus nous tombe dessus, il choisi, il traque et débusque les êtres humains afin de les tuer ! Nous sommes dans ce contexte, celui de la victime soumis au méchant virus.
Or, c’est là la plus énorme erreur que nous commettons, celle de croire que la mal-a-dit nous tombe dessus, nous choisi pour nous faire du mal, nous tuer, comme si ce virus nous attendait au coin de la rue pour nous tomber dessus et nous éliminer !
C’est une vision, une croyance complètement moyenâgeuse. La maladie ne nous tombe pas dessus de façon arbitraire, elle ne nous choisi pas mais c’est nous qui la choisissons. Eh oui, et ceci de façon tout à fait inconsciente.
Voici plusieurs décennies que la plupart des êtres humains mangent des produits issus de l’agro-industrie ou tout nos aliments ne font que pousser dans des intrants chimiques, pesticides, engrais et j’en passe. Nous pouvons aussi ajouter à ce constat que tout les produits semi-finis des grandes surfaces sont fabriqués avec des aliments sans plus aucune valeur nutritive. Ils sont aussi fabriqués avec l’ajouts d’autres produits chimiques : conservateurs, colorants, édulcorants, exhausteurs de goûts… et là aussi la liste est longue.
Mais comment être en santé, en bonne santé en s’alimentant de la sorte car tout ces aliments des grandes surfaces et grandes chaînes alimentaires, sont des aliments morts qui remplissent le ventre mais ne nourrissent pas ?! Ils détruisent notre système immunitaire à notre insu car il sont dépourvus de nutriment bon pour la santé mais chargés de produits chimiques rendant défaillant nos immunités naturelles générées  grâce à des aliments sains et naturels.
Des enquêtes ont été menées sur ces produits de l’agro-industrie et des grandes surfaces et il est apparu que ceux-ci sont extrêmement pauvres en vitamines et nutriments. En 50 ans certains produits ont perdu plus de 80% de leurs valeurs nutritives bonnes à nous nourrir correctement en fortifiant notre système immunitaire.
Ce virus est là pour nous montrer de façon brutale mais véridique toutes nos erreurs et égarement commis depuis des décennies maintenant et il appartient à chacun de réfléchir et de vérifier ce qui est écrit dans ce texte.
Pour info, Monsanto vend des graines génétiquement modifiées qui ne peuvent pousser que grâce à des intrants chimiques impropres à la santé et qui détruisent les sols. Monsanto a été racheté par Bayer (big pharma) qui lui, vend les médicaments qui nous soignent des maladies causées par ces aliments malsains pour la santé. La boucle est donc bouclée, il nous est vendu des produits qui nous rendent malade et tuent le vivant, la faune et la flore pour ensuite nous vendre des médicaments et vaccins qui nous « soignent » des poisons ingurgités depuis des décennies. Tout ça dans un seul but, faire du profit, des gains, du fric et tuer le vivant, la vie à petit feux. A savoir aussi que Monsanto est un des plus gros bailleurs de fond de l’OMS !!
Robin

Mon Expérience de Mort Imminente 

J’ai compris il y a peu de temps que j’avais en fait vécu une EMI (Expérience de Mort Imminente) !

EMI
L’Ascension vers l’empyrée de Jérôme Bosch

Je savais que j’avais vécu une expérience hors du commun mais sans savoir ce qu’elle était vraiment. Cette expérience fut d’une intensité que les mots humains ne peuvent pas vraiment expliquer. Pendant des années je suis resté avec tout ça en moi sans vraiment savoir l’exprimer de façon claire, cohérente. J’avais aussi peur d’être pris pour un fou !!

Avec le temps, la patience, l’acceptation et des recherches, j’ai pu comprendre ce que j’avais vécu à l’époque et je suis maintenant capable de la mettre en mots.

Après cette expérience, j’avais bien compris que j’étais revenu au monde, dans la matière tel un nouveau né mais il me manquait un fragment, genre 1% pour être sûr que c’était bien une EMI que j’avais vécu. Quasi convaincu à 100%, il me manquait la parole d’un autre être ayant connu cette expérience.

C’est en regardant une vidéo de Frédéric Médina que j’ai vraiment pris conscience que j’avais vécu une EMI !

J’appelle en fait cette expérience une grâce divine, un cadeau inestimable, inouïe car comment connaître la vie, son sens, son but, ses lois ontologiques sans connaître la mort. Vie et mort sont les 2 faces d’une même pièce et pour comprendre, appréhender ce qu’est la vie dans sa globalité, un passage par la mort est des plus « instructifs » si j’ose dire.

Depuis mon enfance, j’étais convaincu qu’un grand secret nous était caché, j’avais la conviction que la vie avait un vrai sens et que nous n’en voyons qu’une infime partie.

Je suis né, venu au monde en même temps qu’un autre être, mon frère jumeau, jumeau monozygote univitellin. Très tôt, grâce à lui j’ai découvert que la télépathie et bien d’autres choses existent. Et, de ce fait, j’avais la confirmation que nous étions bien plus qu’un corps fait uniquement de chair, que bien des facultés existent en nous et que nous n’avons pas encore découvert tous nos potentiels.

Enfant j’ai depuis toujours perçu ce qu’est le Soi, c’est à dire que je pouvais voir, goutter, sentir que tout ce que j’observais, pensais, éprouvais était vu par une présence en moi. Je sentais que « quelque chose » de plus que moi (le corps, le mental/intellect), habite ce corps qui n’était pas mes pensées, mes émotions mais « quelque chose » qui observait tous ces phénomènes. Ces sensations m’ont donné à comprendre qu’il y avait, qu’il existait une « chose » supérieure à tout ça, une « chose » plus grande, plus immense.

Pour ce qui est de mon expérience, elle est venue lors d’une très grande souffrance, la séparation de mon couple, séparé de celle que j’aimais, la vie n’avait plus aucun sens. Pour ma part il y a une différence avec tous les exemples, les récits, les écrits d’autres personnes ayant vécu une telle expérience. Mon EMI n’a pas été vécue suite à une hospitalisation, un accident de voiture ou autre, non, elle fût vécue chez moi, seul !

Après la séparation, cherchant à comprendre pourquoi nous en étions arrivés là, ma quête de réponse fût d’une très rare intensité.

Cette quête m’a conduit à vivre un nombre assez important de déploiement de kundalini d’une force, d’une puissance m’ayant conduit aux frontières de l’inanition. Venant tant du bas que du haut le déploiement de cette énergie fut tellement fort et puissant qu’il me créa une blessure dans la région du coccyx. Ce fut géant, extraordinaire et en même temps, tout ce que ces expériences m’ont donné à voir, comprendre, conscientiser fut  très « douloureux ».

Au bout de ces expériences j’ai vu que toutes mes intuitions sur la vie, son sens, son fonctionnement étaient juste, que je ne m’étais pas trompé ! J’ai vu le pourquoi de la séparation avec mon ex-femme, j’ai compris, vu, où avaient été mes « fautes » et les siennes, j’ai vu tout mon fonctionnement psychologique et le sien.

Dans une joie inouïe de découvrir que tout ce que j’avais perçu du monde, de la création était juste et toute la douleur vécue durant cette vie d’avoir essayé de traduire toutes mes intuitions sur ce qu’était la vie, j’ai ardemment désiré mourir, à quoi bon rester ! Comment pourrais-je jamais traduire tout ce que je venais de vivre ? Mais j’eu aussi le sentiment que pour moi le tour de carrousel dans la matière était terminé. Je pouvais partir car tout était vu, enfin, c’est ce que je croyais ! …

Désirant partir de cette matière, je suis entré dans un état modifié de conscience d’une force et intensité jamais égalée dans laquelle toutes mes prières étaient concentrées sur un unique but, partir, me décorporer une bonne fois pour toutes !

Durant mon enfance, c’était jusqu’à l’âge de mes 6/7 ans un jeu auquel je me prêtais régulièrement. La vie dans la matière, dans ma famille était parfois si dure, que ces expériences étaient pour moi des portes salvatrices qui m’apportaient le courage de rester incarné. Je dois dire aussi que ma kundalini était « active » depuis ma plus tendre enfance mais à l’époque je ne savais absolument pas ce que c’était. Tout ce que je savais était qu’à certains moments, venant souvent de la contemplation, j’éprouvais des instants de joie simple et grandiose, la plénitude, la félicité et la paix. Une fleur, un nuage, le chant d’un oiseau éveillait parfois en moi une vibration qui montait du coccyx et venait irradier mon coeur que je sentais se dilater comme s’il débordait de ma poitrine pour englober tout ce qui m’entourait dans un rayon assez large.

Le déploiement de la kundalini m’ayant fait retrouver la mémoire de toutes ces expériences d’enfant, je m’y suis replongé afin de partir, de mourir, en finir avec cette vie que je croyais « aboutie ».

Alors je suis parti en toute conscience, j’ai quitté ce corps et là j’ai vécu tout ce qui a déjà été partagé par les personnes ayant vécu une telle expérience.

Une grande lumière blanche iridescente, une joie, une paix, une plénitude inégalable sur terre mais traversée pour ma part à une très grande vitesse. Ce passage n’a pas duré, ce fut fulgurant. Ne plus avoir de corps, ne plus être un corps mais juste être une présence qui se déplace à une vitesse vertigineuse, la vitesse de la pensée. Là je me suis retrouvé dans un espace sans temps, sans haut ni bas, sans gauche ni droite, un peu noir, mais pas de ce noir vide et froid, plutôt un « vide » habité d’un nombre incalculable de points de lumières brillantes, un peu comme les étoiles dans le ciel, sans être vraiment cela. Je sentais que cet espace vivifiant était empli de présences, je les sentais très fortes autour de moi sans les percevoir, je savais qu’elles étaient là. Je le savais tellement fortement que les voir n’était même pas nécessaire. Cela vibrait de présence, c’était tellement vivant, tellement intense que j’avais à ce moment là, la sensation de connaître ce qu’est vraiment la vie ! C’est une sensation d’une rare beauté, grandiose, quasi-impossible à décrire par la pauvreté des mots humains.

Ce fut comme une renaissance, une vraie naissance à la vie en fait, une véritable libération dans un retour à qui j’étais et ai toujours été. Comme un rayon de vie intense qui brille de toute éternité. Je découvrais la vie car je découvrais qu’en fait j’étais immortel, qu’il n’est pas possible de mourir, que la mort n’existe pas et c’était d’une joie indescriptible de par l’intensité puissante de cette découverte. À quoi pourrais-je tenter de comparer cette expérience ? Peut-être celle d’un aveugle qui retrouve la vue, d’un sourd-muet qui retrouve la parole et l’ouïe. Mais en fait, cela me semble tellement loin, tellement fade encore afin de donner à sentir ce qu’est la découverte de l’immortalité, il n’y a pas de mots si ce n’est que nous sommes éternels mais là encore, comment décrire l’éternité !!!

Je découvrais également que je savais, comprenais vraiment tout avec une telle facilité et  que je n’étais pas plus important et à la fois aussi sacré qu’un brin d’herbe, une feuille d’arbre et l’arbre lui-même, j’étais aussi sacré qu’un vers de terre, une mouche et l’océan, la terre et tout ce qui vit, tout ce qui est la vie qui s’expanse à l’infini depuis des siècles et pour des siècles.

Toujours est-il que dans cet « espace » de vacuité plein de grâce, d’un tout amoureux imperceptible par les sens communs, baignant dans la joie de l’instant, présent dans la présence infinie de l’être, d’être, une autre expérience plus intense encore s’est présentée à moi.

Rendu là, j’ai senti au-delà de la joie amoureuse, un AMOUR venir, entrer en moi et autour de moi, un AMOUR total et inconditionnel, là je n’étais plus qu’amour baignant dans l’Amour le plus grand, le plus immense, le plus tendre, le plus bienveillant, le plus généreux, le plus inouï  qui soit permis de sentir. Une vibration, une présence si forte, si puissante, si amoureusement aimante est venue me prendre dans ses bras et ce fut l’extase d’amour le plus intime et ultime que l’on puisse connaître. Il est sans égal, sans aucun égal et rien que d’en parler, j’aurais envie, en-vie d’y retourner pour goutter à cette éternité d’amour de l’instant, cette chaleur si aimante, réconfortante, autant que joyeuse et enthousiaste d’Amour. Moi qui disait aimer aimer, là, dans cet instant sacré, je savais, connaissais vraiment ce que ces paroles voulaient dire, j’étais aimé d’être aimé tel que j’étais sans aucune condition, un amour total, absolu et complètement inconditionnel, un amour impossible de connaître, de vivre sur terre car il est au delà de l’humain, de ce que peut offrir d’autres humains.

Là, dans cet instant de félicité indescriptible, la présence Amour qui m’avait prise dans ses bras m’a posée une question, une seule question qui s’entend de plusieurs façons :  » Qu’as tu fait pour autrui ? Comment as-tu aimé ? As-tu aimé de façon totale et inconditionnelle ? As-tu aimé comme je t’aime ici et maintenant ? » Cette question n’est pas, n’a pas été verbalisée mais induite avec la fermeté amoureuse de l’amour qui sait ce qu’est l’amour, aimer. Amour devant lequel vous ne pouvez absolument pas vous cacher, mentir, vous justifier car cet AMOUR s’appelle justice et vérité et face à elle, vous êtes complètement nu, nu comme le nouveau né venu au monde.

C’est la seule et unique question qui nous est posée car c’est la seule chose que l’amour désir de nous, celle d’aimer de façon totale et inconditionnelle, le sens, le vrai sens de la vie est là et uniquement là, elle n’a d’autre but, d’autres objectifs pour la création. La conscience, la vie, le vivant, dieu qui sont pour moi maintenant une seule et même chose ne désirent qu’une chose, que nous soyons tous dans cet amour inconditionnel tel que nous le vivons lors de notre passage de la vie à la mort ou de la mort à la vraie vie !

Pour précision, Dieu est nous tous, dans nous tous et nous en lui comme dans la vie, le vivant est dans toutes choses crées, tangibles et intangibles.

A ce moment là, j’ai vécu l’expérience qui s’appelle « la pesée des âmes« , ou plus simplement, ce que le langage populaire appelle : « passer devant Saint Pierre ».

Là, toute ma vie a défilé, depuis ma naissance jusqu’à l’instant de mon départ. Tout fut revu, goutté, ressenti par le filtre de l’amour total et inconditionnel dans lequel je baignais et étais aimé.

Lors de cet auto-jugement, l’âme perçoit toute son existence de la façon la plus fine et la plus subtile qui soit. Elle goûte pour elle-même, en elle-même, tout ce qu’elle a réalisé sur terre, le bon comme le moins bon. Nous ne sommes pas jugés par une instance supérieure mais nous nous jugeons nous-même face, à travers cet amour total, justice et vérité, dans lequel nous sommes baignés, totalement immergés, submergés ! La supra-conscience, nous prend dans ses bras et c’est là où nous pouvons réellement apprécier ce que nous avons créé sur terre. Comme un coup d’œil dans le rétroviseur, nous revoyons et goûtons pleinement tout ce que nous avons fait sur terre à nous-mêmes comme à autrui.

C’est un moment de joie, d’amour, de félicité incommensurable, d’une intensité si forte, si pure que là encore le vocabulaire humain fait défaut.

Dans cet auto-jugement, la pesée de votre âme, vous voyez, goûtez dans votre âme, tout ce que vos actes, paroles et pensées négatives et positives ont engendré sur terre pour vous et pour autrui. C’est à la fois la super extase et de l’autre côté, c’est une douleur colossale qui n’est pas facile à « encaisser » car vous ne pouvez absolument pas vous défiler ni vous justifier. Toutes tentatives de justification sont la preuve de votre manque d’amour inconditionnel pour vos actes, paroles et pensées négatives. Pour être vraiment très précis, la douleur vécue lors de la pesée de l’âme est d’une telle intensité que toutes les souffrances humaines, physiques comme psychologiques sont complètement ridicules par rapport à cette expérience, qui elle, vous fait « enfin » connaître ce qu’est une vraie souffrance…

Lors de ce passage, vous pesez, mesurez, goûtez, vivez, revivez chacun de vos choix, chacun de vos « oui », chacun de vos « non ». Vous revivez, vivez dans votre âme tout ce que vous avez fait sur terre.

Vous revivez la joie, la douceur, la beauté de cette caresse que vous avez offerte en pur amour, vous goûtez en vous ce que cette caresse a produit sur autrui, vous ressentez dans votre âme la caresse que vous avez donné à un autre être comme si c’était à vous-même que vous l’aviez donné. Mais cela ne s’arrête pas là, vous revivez aussi ce que ce geste a induit chez cette personne à qui vous avez offert cette caresse. Si cette personne, grâce à vous, a aussi offert une même caresse à un autre être, vous la goûtez aussi et ainsi de suite en cascade car nous sommes tous UN, interconnectés et tous responsables des uns et des autres. Nous ne sommes pas séparés mais tous nés de même origine, de même Père-Mère, la supra-conscience, la Vie qui a crée tout ça. C’est d’une très grande beauté, c’est grandiose de découvrir toute cette vérité d’amour qui nous unit les uns aux autres.

Mais c’est idem pour tous vos actes, paroles, pensées négatives, les coups, la manipulation, la trahison, l’indifférence, l’égoïsme, la vanité, la prétention, les mensonges, et j’en passe et j’en passe…. Tout ce que vous avez fait de négatif à autrui vous les goûtez aussi pour vous-même. Tout ce qu’ont produit ces actes sur autrui ainsi que tout ce que ce dernier a reproduit en cascade sur d’autres, vous le goûtez, le vivez, le revivez pour vous, en vous. Et ça, ce n’est pas évident à vivre, c’est très dur, douloureux car vous voyez, goûtez tout le manque d’amour inconditionnel que vous avez créé, fait, induit. Vous sentez en vous le mal que vous avez produit sur terre durant votre existence. C’est l’épreuve la plus terrible à passer, vous êtes brûlés, calcinés par votre propre manque d’amour.

Etant tous connectés, interconnectés, nous vivons, revivons, goûtons pleinement en cascade tout ce que nous avons créé de bon et de moins bon sur terre, nous goûtons la qualité d’amour que nous avons dispensé, offert, donné sur terre, s’il a été conditionnel ou inconditionnel, c’est à dire sans aucune condition d’aucune sorte, je dis bien AUCUNE !

Tout ça se passe à une très grande vitesse mais là encore, dans cet espace, à cet endroit, le temps n’existant plus, quelques jours là-bas, ne sont ici que quelques instants !

C’est lors de cette expérience que l’âme engramme son karma. Ayant vu où elle a manqué d’amour, elle se réincarnera afin de se parfaire, faire une plus grande expérience de qui elle est avec plus d’amour inconditionnel, mais là c’est sans doute un autre débat.

Ayant vu mes actes négatifs, y ayant pleinement goûté j’ai demandé pardon d’une telle force que je fus dans l’instant rassuré de son amour et je fus conduit à un autre endroit.

Dans ce nouvel espace, il me fût montré le fonctionnement des lois ontologiques de la création, de la vie, les formes pensées, les prières et leurs forces et pouvoirs, j’ai vu les égrégores tant positifs que négatifs qui entourent la terre dans le subtil et que nous nourrissons, engendrons par nos actes, paroles et pensées. J’ai vu ce qui attend l’humanité si elle ne prend pas une autre direction que celle qu’elle incarne maintenant depuis plusieurs siècles. J’ai vu le conditionnement humain et la négativité qu’elle crée dans le paradigme dans lequel nous vivons.

Ces choses ne sont pas faciles, pas évidentes à traduire car leurs compréhensions devraient induire un changement radical de nos comportements vis à vis d’autrui mais aussi vis à vis de la terre, de la création. Beaucoup de choses sont réellement et rapidement à revoir et à corriger, mais là aussi, c’est un autre débat je pense.

Puis au bout de tout ce qui m’a été offert de découvrir, j’étais bien, merveilleusement bien, je ne désirais plus qu’une seule chose, rester là dans cet espace d’infini d’amour, de joie, de félicité et de paix pour l’éternité. Et d’un coup me fût induit une chose tout aussi merveilleuse qui pour un temps avait échappé à ma mémoire, ma fille, mon enfant ! Et là j’ai hurlé son prénom dans un amour et une tendresse infinie et aussi de douleur de l’avoir oublié. Alors, à la vitesse de la pensée, je suis revenu dans mon corps et ce fût dur, difficile, comme Frédéric Médina l’explique, c’est comme s’il fallait faire entrer toute cette immensité dans un endroit si petit, si restreint, si étriqué, lourd et pesant que c’est très « pénible ».

Je n’ai pas de regret car je sais maintenant ce qu’est la vie et c’est un cadeau dont chaque jour à chaque instant je remercie la création de me l’avoir offert et je suis immensément heureux d’avoir retrouvé ma fille. Ma fille dont le prénom est VIVA, la vie, le vivant, vas et vis.

Je ne demande qu’à traduire tout ce que j’ai vu, tout ce dont j’ai été le témoin non pas pour moi, mais pour notre avenir en restituant tout cet amour qui m’a été donné pour que nous vivions en pleine conscience de nos actes, paroles et pensées, que nous vivions, incarnions ce qui depuis des siècles nous a été légué, enseigné, aimons nous les uns les autres !

Pour finir sur une belle et merveilleuse note, votre mort sera le plus beau, le plus extraordinaire et formidable moment de votre vie !

Robin

L’importance du son, de la musique et de leurs notes

L’homme est en train de réaliser l’importance du son, de la musique et de leurs notes.

Cette prise de conscience est très belle, nous sommes en fait des harpes cosmiques enfants de la harpe divine. L’homme est capable avec ses nouvelles inventions technologiques d’écouter, entendre les sons issus du cosmos. Ces sons des étoiles sont maintenant enregistrable, les différentes fréquences des champs vibratoire de l’univers sont maintenant audible pour l’homme car l’univers est tout le temps une champs-son sans fin, un chant d’amour infini maintenant la cohésion du Grand Tout.

« Que la lumière Soit » nous a t’on dit et l’univers fût crée. Le verbe est créateur mais qu’est ce que le verbe avant d’être un mot ? Il est un son, une vibration, le son de son sont, le chant unique de son être, sons et ultra-sons de toutes fréquences, sons ayant produit des frictions, vibrations et ondulations sonores ayant engendré la matière dans une chorale cosmique née de son amour total et inconditionnel.

Pourquoi est-ce que de tous temps l’humain a jouer de la musique, crée des instruments dès qu’il a pu, chanter, danser ? Parce que nous sommes musique, une musique mystique, celle des vibrations nées de son son, les vibrations de SONT ÊTRE. Les fréquences cosmiques sont les chants et la musique des mondes, la musique de la joie et création. Pourquoi est-ce que la musique nous apporte tellement d’émotions, des-mots-sons, de vibrations ? Tout simplement parce nous sommes musique vibratoire, nous sommes une vibration musicale, les cordes de Sa harpe divine étant nous-mêmes des harpes divines qui jouons la musique céleste de son ÊTRE, celle de la création joyeuse de qui Il EST. Cette harpe que nous sommes doit être en résonance avec la grand harpe du Sans Nom. nous devons accorder notre harpe intérieur à la harpe divine  » extérieur ».

Un peu comme le zéro, de la grande harpe divine est née par son son les harpes humaines que nous sommes, enfants, fruits des sons, des vibrations des cordes de la harpe divine et cosmique.

Chaque chakra correspond à une corde de notre harpe en vibration, connexion avec la grande harpe du Grand Tout, de la création. Ces notes de musique sont en fait des notes de musique colorées car chaque chakra est une note de musique ayant en résonance, correspondance, une couleur. Les notes de l’arc-en-ciel, porte du paradis incarné dans la matière, est le reflet, le miroir de la harpe cosmique enfant du verbe créateur. Etre aligné, éveillé c’est être cet arc-en-ciel musical parfaitement accordé, la harpe individuelle alignée au son de la harpe universelle jouant la même harmonie celle de la joie amoureuse inconditionnelle. Inconditionnelle avec 2 « L » celles des ailes des notes de musique par lesquelles on s’envole attire-d’elle, ce « elle » de ce « il ».

Enfin, ais-je envie de dire, l’humanité prend tout doucement conscience que nous sommes en fait les sons de son sont ! Les êtres de son ÊTRE, la harpe divine et cosmique de la création. Cette harpe aux multiples cordes et vibrations toutes de notes, tonalités différentes que nous sommes chacun et chacune créant l’équilibre des harmonies humaines et divines. Peut-être pouvons nous voir un parallèle avec cette harpe la théorie des cordes et des sphères, cordes faites de sons aux multiples octaves créatrices de nombreuses fréquences infinies jouant à chaque instant les chants de l’être sur de multiples plans et fréquences, résultats des différentes octaves nées des fréquences vibratoires du chant unifié de l’univers.

Les sons, sonorités, les notes de musique, nous sommes les notes de musique de la grande harmonie humaine, chacun, chacune est un son unique et particulier de l’immense chanson de l’humanité, le chant cosmique de Sa création, de son chant pour Lui à travers nous, toi et moi qui sommes enfants et instruments divin, petite harpe créée à l’identique de la grande harpe.

Le son, les siens, nous sommes sien comme IL est le notre, nous sommes LUI et IL est nous, nous sommes les harpes divine où chaque corde est une vibration de la vibration de sa harpe divine

Sont, l’ÊTRE, nous sommes son être. Chacun est une corde de sa harpe qu’IL s’est offert à lui-même pour entendre le son de son sont, sa chanson, sa chant-sont sachant chanter son sont, son être sans fausse note de s’être accordé à la harpe divine qu’IL est et nous sommes, la somme de toute sa harpe divisée en de multiples cordes dans les harpes que nous sommes.

Etre à l’unisson, c’est être unis à son son, aux notes de musique célestes, divines de la création, c’est exactement cela que veux dire unisson, c’est nous unir en son son, au diapason de sont son que nous sommes, c’est vibrer aux notes de toutes les notes.

La cymatique  :

chladni

Des musiciens jouent maintenant avec ces sons, ils branchent sur des plaques de fer directement les sons musicaux et versent du sable sur ces plaques et que pouvons nous voire, observer ? Que chaque son crée des formes géométriques semblable aux symboles géométriques utilisés depuis la nuit des temps par l’humanité. Est-ce un hasard si les notes de musique jouées sur ces plaques de fer avec du sable ressemblent pour beaucoup aux symboles que l’humanité utilise depuis des siècles pour expliquer, dessiner toutes ses croyances, sa cosmogonie ? Si ces musiciens branchent ces notes de musique sur des ondes de lumière nous pourrions également observer des couleurs correspondant à chaque note de musique bien distincte et les différents octaves de chaque note seraient les dégradés de cette couleur.

Bientôt, sans doute, nous pourrons observer tous ces phénomènes en même temps, la production de formes géométriques colorées par les différentes notes de musique.

Les liens entre ces différentes observations nous démontrent l’unité de ce TOUT, cela sera dans les années a venir une évidence. Son et couleur, vibration et verbe, ondulation et création, fréquence et matière seront bientôt vues et compris pour ensuite être incarné. Mais il y a encore du chemin car l’égarement, l’engourdissement est encore profond.

Certains maintenant crée des instruments de musique avec des pierres auxquelles ils font jouer des notes de musique « vivante », « incarnée » dans les pierres, dans le minéral. Et ce, depuis le big-bang car le son de son sont est né du verbe créateur. C’est une expérience fascinante que d’écouter, entendre ces notes, ce chant contenu dans le minéral, ce sont des sons qui vibrent directement en résonance avec notre chair, avec le corps, les os du squelette deviennent alors le réceptacle, la baffle qui reçois et diffuse le chant de la création contenu depuis la nuit des temps dans la matière.

Pour ceux qui pratiquent le musicothérapie, guérir par les sons, tout ceci est bien connu. Pourquoi les gongs, les bols tibétains ? Pourquoi toutes ces notes, ces fréquences ? Parce qu’en fait c’est ce que nous sommes, les sons de son SONT, le chant de sont, une chant-sont, celle de son être qui est qui nous sommes.

Robin.

Le secret du zéro

Pour te donner une image simplifiée de ce qu’est l’éveil, la vacuité, la quiétude, voici un exemple, nous allons partir du zéro car le zéro est la vacuité, la quiétude de l’être, le retour à la maison.

Mais avant tout une petite histoire.

Enfant, sur les bancs de l’école lors d’une leçon de calcul, l’enseignant qui nous apprenait le calcul : le – le + le : le x, nous dit qu’en fait le zéro comptait pour rien, qu’il ne valait rien, ne représentait rien, il était nul !

Alors en rentrant à la maison j’ai commencé à réfléchir à ce zéro qui ne valait rien parce que je n’étais absolument pas d’accord avec cette idée, ce principe. J’y voyais, avais ressenti comme une sorte d’injustice, quelque chose qui n’était pas normal. Bien au contraire, pour moi, ce Zéro était bien plus qu’un rien ne valant rien !

J’ai donc médité sur ce zéro, je l’ai observé en fixant toute mon attention sur ce zéro, je ne voyais plus que lui jusqu’au moment où je suis entré en Lui et Lui est entré en moi, et là j’ai vu le secret du zéro.

Il était tout, il ne valait pas zéro, il valait tout, il est tout, il est la porte grande ouverte de toute la création. Tout est né du rien, du vide, du zéro, sans Lui, nulle vie n’est possible, aucune expansion du vivant ne peut exister, être créé. Il est le point de départ de tout ce que nous pouvons voir, sentir, toucher, goutter, vibrer, percevoir, dans le matériel et l’immatériel. Sans ce zéro, c’est le néant, la vie ne peut exister.

Plongé dans ce zéro, l’enfant que j’étais vu avec les yeux de son âme un immense zéro, colossal, énorme dans une vibration grandiose et joyeuse. Au cœur de cette joie que je vivais en moi également, j’y ai vu les chiffres sortir, comme si le zéro accouchait, donnait naissance au 1, au 2, au 3 et ainsi de suite. J’ai pu goutter qu’en fait le zéro était la porte, le père-mère de tous les chiffres et que sans lui il ne peut exister aucun chiffre. Je me souviens très bien de ce moment, de cette joie immense, énorme, d’avoir pu vibrer à la vision de ces naissances, ces mises au monde, dans le monde… NON le zéro ne valait pas rien mais était tout, tout ce qui est. Fort de cette découverte, j’ai avec mes mots d’enfant tenter de dire à l’enseignant le lendemain qu’il s’était trompé, que c’était une erreur de dire, croire et donner à penser aux autres élèves, enfants que le zéro était rien car j’avais senti, goutté en quelque sorte à quel point cette erreur conduisait nos réflexions, pensées dans un cul de sac !

Bien évidemment je fus rabroué, l’enseignant me dit de me taire, que je ne comprenais rien et n’avais rien compris, je devais me taire et ne pas perturber son cours avec mes divagations !

Enfant je me suis donc tu, avais-je le choix ? Non, je devais garder cela pour moi et ne pas encore être le « spécial » de la classe, le « oui mais toi c’est pas la même », le même que quoi, que qui ? Je ne comprenais pas ces mots à l’époque mais ils me faisaient très mal !

Je suis donc resté avec ce zéro valant tout en moi et pendant plusieurs jours, chaque soir je replongeais dans ce zéro en goûtant de tout mon être la naissance de tous les chiffres. Et dans ces moments là, j’étais dans la joie, une joie inextinguible et mon plexus, mon cœur débordait de félicité devant cette vision et compréhension que le zéro était tout. Intuitivement et par l’état de joie, félicité que cette vision m’apportait, je savais que j’étais dans le juste, dans la vérité. J’ai donc prié de tout mon cœur pour que cette vérité soit dite, soit montrée, enseignée. Ne pouvant pas la traduire sur les bancs de l’école, pendant ces moments de joie, je l’offrais au monde par la prière, l’envie inouïe et immense que chacun puisse découvrir cette vérité.

En fait j’ai toujours eu une seule et même devise depuis ma plus tendre enfance, c’est une prière que j’adresse à l’univers :  » Je ne veux rien pour moi qui ne soit pour chacun », cette petite phrase ne m’a jamais quitté !

Le résultat de tout cela fut de découvrir quelque temps plus tard, un petit dessin animé à la télé, on pouvait y voir un immense zéro duquel sortait tous les chiffres, comme ses enfants, ses créations, quasiment l’exacte réplique de ce que j’avais vu, de la vision dans laquelle je m’étais replongé en prière. Joie dans mon cœur et immense bonheur de voir ces images à la télé ! A leur vue je me suis écrié tout haut dans la maison :  » Génial, il y en a qui ont compris que le zéro était tout !  » Ce jour là, je fus l’enfant le plus heureux de la terre.

Bien des années plus tard j’ai eu la chance de rencontrer une grande mathématicienne qui avait fait des recherches sur le zéro et en avait trouvé 27 origines différentes et je lui dis à l’époque :  » Mais tu pourrais en trouver des centaines de milliers de ces origines car le zéro est l’infini ! « 

En fait, chaque être humain est un zéro qui est le fruit, l’enfant du grand zéro, le père -mère de toutes choses. Quand nous sommes sortis de lui, nous sommes devenus 1, sa création qui est LUI. Etant 1 dans la matière nous nous sommes identifiés à ce 1, 1 qui serait de telle couleur, telle note de musique, telle grandeur, tels goûts, en résumé tout ce que nous croyons être la définition de ce 1 sorti du zéro que nous croyons être.

Or, nous ne sommes pas les définitions de ce 1 que nous croyons être (telle note de musique, de couleur…). Non, nous sommes des zéro, enfants du grand zéro et c’est ce zéro que nous sommes qui doit être reconnu en lâchant les croyances que nous sommes un 1 de telles formes et de telles couleurs.

Le zéro est Dieu, la vie, le vivant, la conscience. De ce zéro tu es sorti, tu es toi aussi l’enfant de la vie, du vivant, de la conscience, tu es fruit du grand zéro, ce zéro est qui tu es et c’est ton subconscient.

Sorti du zéro, tu deviens 1, un enfant, une création du zéro, une part de Lui même qu’IL/ELLE s’est offert à Lui-même pour faire la plus grande expérience de qui IL/ELLE est à travers toi. IL veut se voir, se réaliser dans la matière pour voir qui IL est, la conscience qui prend forme dans la matière. Ce 1 tantôt incarné, tantôt désincarné. Là est ton conscient, celui d’être un 1.

Ce 1, enfant du zéro entré dans la matière, dans son vêtement de peau, s’identifie à tout un tas de choses, il porte tel prénom, est né à tel endroit, à telle date. Il est l’enfant de cette maman et de ce père desquels il hérite, là aussi, tout un tas de choses transgénérationnelles, des croyances, une éducation et aussi des blessures, des souffrances, des incompréhensions. Enfin tout un tas de choses qui font naître en ce 1 des pensées et des émotions qui le « façonnent » et auxquelles il s’identifie, s’attache. Je suis ce 1 qui s’appelle Raphaël, je suis né là-bas, à telle date, de tels père et mère, j’ai appris ceci et cela et ai été blessé, en souffrance à cause de ceci et cela. Toutes ces choses auxquelles tu t’es identifié, ces choses par lesquelles tu as donné une forme, une couleur, une saveur, un poids, une structure rigide à ce 1 sont sortis du zéro. Toutes ces expériences quelles soient nées de la famille ou du système pédagogique sont la façon dont tu vas définir ce 1 qui est ton inconscient. Toutes ces croyances, toutes ces identifications sont nées des croyances d’être ceci ou cela, tu t’es identifié à l’expérience mais pas à l’expérimentateur.

Le chemin à parcourir dans l’incarnation est de faire le retour au zéro que tu es, a toujours été et sera toujours. Tu es ce zéro, l’enfant du zéro ultime, un « morceau » de conscience que la conscience suprême s’est offerte à elle-même afin de voir qui ELLE/IL EST à travers toi, à travers tes yeux. Voir sa beauté, la merveille de qui IL EST et ce qu’IL EST, est ce cadeau, cet amour inouïe qu’IL s’est offert en toute joie, plénitude, félicité, harmonie, vérité et justice, générosité et altruisme en total AMOUR à lui-même, ce LUI qui est qui tu es, ce zéro enfant du grand zéro.

Robin.

a place for zéro

Tu es bien plus que la personne, que l’individu, tu es l’infini…

Tu n’es pas qui tu crois être, tu es bien plus que la personne, que l’individu, tu es l’infini.

Le souci de notre prison mentale est de nous être identifier à la personne, à l’individu, au corps physique, à l’enfant qui a grandi selon certaines croyances, expériences qui engendrent des souffrances, des émotions, des pensées. Tout ce monde phénoménale, celui des phénomènes internes est ce que les bouddhistes appellent la maya, l’illusion dans laquelle notre mental est prisonnier dans la matière.

Nous sommes une âme qui s’incarne dans un vêtement de chair, un véhicule appelé le corps physique afin de faire l’expérience dans la matière de qui elle est, qui IL EST. Mais SA vérité est au delà de la matière, ton être, l’âme, est antérieur à la matière, celle-ci n’est rien d’autre que le terrain de jeu pour  retrouver cette vérité.

La chose qui nous attache à la personne, à l’individu, à ce que nous croyons être, est notre mémoire et la croyance d’être le corps physique dans la matière. Et là est notre erreur, l’attachement à la mémoire et au corps est notre engourdissement, la perte dans l’illusion, dans la maya.

Notre corps se régénère constamment, à chaque seconde des milliers de cellules constituant notre corps physique meurent et sont évacuées par les émonctoires et remplacées par de nouvelles cellules crées avec des aliments que nous mangeons chaque jour. La nourriture que nous absorbons est l’essence, l’énergie par laquelle notre corps est reconstruit, régénéré à chaque seconde.

Quand nous prenons notre douche, les cellules qui constituent notre peau, l’épiderme se détache de notre corps et finit dans les égouts. Cette peau est constamment remplacée, régénérée par le fonctionnement interne du corps géré par le subconscient.  Tout comme tes cheveux qui poussent tout au long de ta vie, tu coupes tes cheveux mais ils repoussent sans cesse. Il en va de même pour chaque cellule constituant, construisant ton corps à l’intérieur. Il n’y a pas de différence entre intérieur et extérieur, chaque jour les cellules qui constituent tes organes, tes os, tout ce qui est ton corps est éliminé et reconstruit, meurt et est recréé sans cesse.

Toute cette merveilleuse mécanique du vivant, de ton corps ce fait sans-même que tu en ais conscience. Tu es comme un arbre qui perd ses feuilles, feuilles qui repousseront le printemps suivant. Ton corps fonctionne exactement de la même façon. A l’intérieur de ton corps, tes cellules sont comme les feuilles tombant de l’arbre en automne et repoussant au printemps. La petite différence est que dans ton corps, sur ton corps, tu es dans les 4 saisons en permanente impermanence. Toutes tes cellules meurent et se régénèrent sans cesse.

Dans mon souvenir, cette régénération totale de ton corps, extérieur et intérieur se fait sur une période +/- 8 mois, tous les 8 mois environ, tu es un être complètement nouveau, tout ton squelette, tes os sont régénérés en 3 mois !!! Ta structure la plus dure est « fondue », détruite et reconstruite en 3 mois.

Donc, la personne, l’être que tu es maintenant est déjà mort physiquement. Il a été complètement  » détruit » et reconstruit de très nombreuses fois. L’enfant qui est venu au monde est physiquement déjà mort et reconstruit des dizaines de fois, la seule chose qui t’empêche de voir, comprendre cela, qui te fait croire que tu es ceci ou cela, c’est uniquement ta mémoire, l’identification à un corps qui en fait a déjà disparu de très nombreuses fois.

Compte tenu que nous nous régénérons totalement tous les 8 mois environ, un être humain de 40 ans est déjà mort et reconstruit plus de 60 fois…. Plus de 60 fois, la seule chose qui te fait croire que tu es toujours toi, ce corps, est uniquement ta mémoire, tes pensées, tes émotions. Tout le reste a disparu et a été remplacé de très nombreuses fois.

Cette vérité que la science nous a prouvé et démontré depuis quelques années maintenant, reste inconnue et incomprise par le plus grand nombre des êtres humains de cette planète. Cette incompréhension est la source de l’entretien des souffrances. Or c’est une vérité dont nous devons impérativement prendre conscience. Nous ne sommes pas le corps, nous ne sommes pas notre mémoire, nous ne sommes pas nos pensées, nous ne sommes pas nos émotions, nous sommes derrière tout cela. Tous ces phénomènes ne sont que des expériences, du papier de verre sur lequel nous polissons notre âme pour revenir au Soi, revenir à la conscience, à qui IL est et qui tu es, qui sont un, unis et jamais séparés.

D’où viennent alors les maladies ? Elles viennent des pensées négatives que nous entretenons. Si nous vivons dans un univers de pensées négatives, nous désagrégeons nos cellules favorisant telle ou telle maladie. Et l’entretien de ces pensées conduit à régénérée des cellules malades en correspondance avec nos pensées, notre état d’être. Si nous gardons des pensées saines et pures, nous créerons des cellules saines et pures, si nous entretenons des pensées négatives, nous créerons des cellules défectueuses et cela est logique, nous imprimons dans notre corps ce que nous sommes.

Une personne joyeuse, aimante sera rayonnante et cela se verra par son entourage, une personne dépressive, frustrée, négative, paraîtra « lourde », l’énergie qui émanera d’elle ne sera pas rayonnante. Il se passe le même phénomène à l’intérieur du corps, une personne rayonnante régénérera des cellules rayonnantes qui lui apporteront plus de santé. Une personne triste, terne, régénérera des cellules tristes et ternes ce qui entraînera des mal-êtres, des maladies. Le corps répond toujours à nos états d’être, à nos pensées.

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Résultats de l’expérience du Dr Masaru Emoto

L’état de notre corps physique est toujours la réponse exacte de l’état de notre être, de notre mental, de nos émotions. L’un répond à l’autre, ils sont toujours en miroir ce qui en fait est une grande chance car cela doit nous permettre de changer certains fonctionnements internes (nos pensées, nos émotions, nos croyances, nos peurs, nos projections venant du passée) qui sont reconduits dans le futur.

Pour avoir un corps sain et en bonne santé, les outils à acquérir sont une alimentation saine afin d’aider le corps à reproduire des cellules saines et aussi des pensées et émotions gérées sainement qui elles-aussi contribuerons à la création, re-création de cellules saines.

Manger sainement et continuer des pensées négatives ne sera pas très bon pour la régénération des cellules saines.

Une pensée positive et des aliments mauvais, ne seront pas très bon pour la régénération de cellules saines. Il est important de chercher un équilibre constant entre ce que l’on mange et ce que l’on pense, un esprit sain dans un corps sain est la résultante de pensées saines et d’aliments sains.

Robin

Il n’y a finalement qu’un seul karma !

Qu’est ce que le Karma ? Comment fonctionne t-il ?

Raphaël

Comme écrit dans le texte sur la pesée des âmes (le lire ici), le karma est la somme de tous nos actes, paroles et pensées tant positives que négatives engrammés dans l’âme. Le karma est le souvenir de ce que l’âme a créé dans sa vie et ses vies antérieures.

Quand une âme s’incarne, toutes les connaissances issues du chemin parcouru « disparaissent » de sa mémoire consciente et inconsciente. L’âme oublie dans la matière qui elle fût dans les autres vies. Bien évidemment ceci est tout à fait logique, si le souvenir de qui nous avons été est toujours présent à notre mémoire, c’est à coup sûr le moyen de ne pas évoluer, de ne pas faire fonctionner notre libre arbitre, celui de nos choix conduisant à notre éveil ou pas. Cela pourrait être aussi très dur à vivre si dans des vies passées nous avons commis des actes très négatifs. La culpabilité vécue, ressentie serait un frein à l’évolution et pourrait même provoquer des actes encore plus négatifs engendrés par la colère et l’amertume qui sont parfois les conséquences de la culpabilité.

Le subconscient, lui, garde en partie les traces de nos vies antérieures. Nous pouvons les décrypter a travers les différents symboles et archétypes que nous avons choisi d’incarner lors de notre « descente » dans un corps de matière. L’âme par son choix d’incarnation (date, heure et lieu de naissance, signe astrologique, maître nombre, parents, lieu d’habitation, pays…) s’offre de multiples points de repères fixés dans le subconscient qui permettront à l’âme de retrouver la mémoire de qui elle est et du chemin qu’elle a choisi pour sa nouvelle incarnation.

L’âme sait que chaque symbole correspond à une réalité inconsciente collective issue du monde où elle s’incarne. Les symboles qu’elle choisira lors de son incarnation seront les garde-fous du chemin qu’elle a choisi. Les symboles sont comme les cailloux du petit Poucet, ils sont semés dans le subconscient pour faciliter le retour à la maison. A nous de les cueillir pour nous faciliter le retour au SOI, à l’UN à ce qui EST.

Tous nous avons une couleur préférée et une moins aimée, tous nous avons un chiffre porte-bonheur, une forme géométrique que nous apprécions et d’autres qui nous parlent moins. Idem pour une note de musique, certains mots, des héros, des mythes ou légendes qui nous parlent et font écho en nous. Il suffit d’aller voir ce que ces symboles représentent et nous retrouvons notre « carte d’identité » qui comprend le chemin parcouru et celui qui reste à parcourir. Les symboles ayant toujours un côté « négatif  » et « positif », diurne ou nocturne. Il nous appartient aussi d’aller voir ceux que nous n’aimons pas. Ils sont souvent les signes, les points de repère que nous devons dépasser pour avancer sur notre chemin.

Leur importance est si grande, si énorme, si belle, que leur compréhension et leurs rôles restent cachés aux « profanes ». Pourtant, ils sont partout et plus spécialement dans les églises et les temples. Il suffit d’observer les chapiteaux des colonnes, les tympans et les frontons. Toute notre histoire y est écrite, résumée en symboles. Ces éléments résument notre cosmogonie, ils sont autant d’outils permettant de comprendre nos choix inconscients et de nous éveiller. Les symboles ont une influence directe sur l’individu et notre inconscient collectif.

Les symboles ont d’immenses pouvoirs car en fait, ils disent qui nous sommes et où nous en sommes sur notre chemin du retour à la maison dans les bras du grand créateur de toutes choses.

Le karma est là, dans les symboles autant « positifs » que « négatifs ». C’est la force de l’âme, sa volonté, son courage et son désir de faire l’expérience de qui elle est. Le karma influencera les choix de vie de l’âme selon les symboles qu’elle aura choisi. A chacun de connaître et comprendre les symboles qui sont des vérités cachées et non étudiées sur les bancs de nos écoles. Ces vérités sont dévoilées à quelques « initiés » érudits qui parfois, sachant que les symboles façonnent notre inconscient collectif, s’en servent à des fins de pouvoir et de domination. (lire l’article sur les symboles)

Le karma négatif de l’âme se déroule de la façon suivante : elle revivra pour elle le « mal » qu’elle a fait à autrui. Par exemple, si elle a trahi elle vivra la trahison. Si elle a menti elle vivra le mensonge. Si elle a manipulé elle sera manipulée, et ainsi de suite. Ceci dans le seul et unique but de connaître, sentir pour elle-même ce qu’elle a fait dans une autre vie. C’est le seul moyen de dépasser par l’expérience consciente les actes négatifs faits dans d’autres vies afin de ne plus les commettre.

De nombreux exemples existent, je me souviens avoir lu dans un livre d’Edgard Cayce, le cas d’un enfant qui perdait la vue. Les parents avaient consulté tous les médecins et ophtalmos possibles afin de trouver l’origine de la cécité grandissante de leur enfant. Aucun de ces médecins ne trouva la cause et l’origine de la perte de la vue de cet enfant.

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Edgard Cayce

En dernier et ultime recours, ils sont allés voir ce monsieur Cayce… Cet homme avait la faculté comme certains d’entre nous ont, de voir les vies antérieures des âmes incarnées.

En visitant, si l’on peut dire, l’âme de cet enfant, il a vu que dans une vie antérieure cet enfant avait été un homme qui avait crevé les yeux d’autres êtres. Son âme avait choisi de vivre la cécité pour comprendre, conscientiser dans la matière, ce qu’il avait fait à d’autres dans une vie passée. C’est un petit exemple de karma. Nous venons pour réparer, soigner les dégâts causés à nous-même et autrui afin de les dépasser et passer à autre chose dans l’expérimentation de la vie, du vivant, de qui nous sommes. C’est un choix délibéré que l’âme réalise en s’incarnant. Ces choix sont multiples, dans cet exemple, il a été bon pour cette âme de se rendre compte des conséquences de ses choix passés. Les parents de cette âme, eux aussi, ont dû cheminer. Cette histoire les ont conduits à savoir que, comme leur fils, ils avaient une âme ayant plusieurs vies et qu’ils étaient certainement liés les uns aux autres depuis bon nombre d’incarnation. Cette connaissance, cette mémoire retrouvée leur a certainement apporté une meilleure connaissance de la vie et de ses lois qu’ils ont ensuite transmis, traduit à leur entourage.

Il y a bien évidemment une multitude de karmas, autant qu’il y a d’être en fait, et tous s’expriment de façon différente. Nous pouvons revivre des expériences non abouties avec les personnes avec qui nous avons vécu. C’est d’ailleurs souvent comme cela que çà se passe. Nous évoluons de vie en vie par groupe d’âmes. Nous nous retrouvons dans la matière à différents moments pour parachever ensemble nos chemins à travers lesquels nous nous sommes liés lors de différentes incarnations.

Il y a aussi des âmes qui s’incarnent sans karma, se sont nos guides. Ils sont couramment appelé les bodhisattvas, se sont des âmes ayant connu l’éveil qui s’incarnent à nouveau pour offrir leurs connaissances afin d’aider l’humanité à grandir en conscience. Il y a aussi ceux que l’on nomme les avatars mais eux sont très très nettement moins nombreux que les bodhisattvas. Les avatars ont eux ont un rôle tout à fait spécifique lors de leur réincarnation. Zoroastre, Bouddha, Christ, Moïse… étaient des avatars et contrairement à la croyance de beaucoup, il y en a très peu sur terre !

Ces âmes sont sans karma car leur évolution, le retour à la maison est effectué mais ils décident volontairement de se réincarner pour offrir, partager leurs connaissances afin d’aider, soutenir l’humanité vers son réveil, individuel et collectif. Par leur travail, ils permettent  l’évolution de la création dans laquelle ils s’incarnent. Les chercher ne sert à rien et ceux qui se prétendent avatar ne le sont pas en général. Ces âmes sont trop humbles pour s’affirmer être intel ou untelle. NON, ils sont bien au-dessus de ca, ils sont au service de la vie, du vivant, du sans-nom et cela leur suffit amplement. Nul besoin de jouer les fanfarons avec des choses aussi belles, aussi pures, aussi sacrées.

Donc les bodhisattva et les avatars ont comme point commun de ne plus avoir de karma « négatifs » mais quelles sont les différences entre eux ?

Le bodhisattva est là pour éveiller, soigner, offrir sa connaissance à l’humanité afin de la faire grandir en conscience. L’avatar lui, a le même rôle mais à un niveau supérieur. Il est un enseignant plus « puissant » chargé d’un rôle plus grand auprès de la population entière. Il est là pour marquer les esprits, dans le meilleur et le plus noble sens du terme ESPRIT. A lui seul, un avatar peut être le porteur d’une nouvelle vague de création, il peut prendre sur lui la naissance d’un nouveau paradigme en ayant une fonction plus planétaire par la puissance qu’il incarne. L’esprit, la vie, le sans-nom le charge de cette mission en total accord de cet avatar, c’est un deal qu’il passe directement avec la source de vie de tout ce qui est.

On parle beaucoup de ces guides humains, mais n’oublions pas que chaque race animale a elle-aussi ses bodhisattvas. Eux-aussi s’incarnent pour faire évoluer la conscience de la race animale dans laquelle ils se sont incarnés. Pas besoin de langage chez eux, les animaux sont dans l’être, le lâcher prise et l’instant présent. Chaque race animale cherche aussi à devenir auto-consciente et pour cela ils ont leurs maîtres, leurs guides. Ce sont en général des animaux alpha, ils « dominent  » non par la force, mais par la présence. Ils sont aussi beaucoup plus intelligents que la moyenne de la race dans laquelle ils sont incarnés et les autres animaux le savent, le sentent et très souvent ils copient les agissements, les façons d’être de ces guides.

Les arbres ont aussi une conscience. Sur cette terre, dans chaque forêt et pour chaque essence nous trouvons un patriarche. C’est l’arbre maître de la forêt qui est le premier à avoir offert ses graines. Là aussi il est nécessaire d’avoir un père/mère pour ensemencer la terre…

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Mais revenons au karma, il y a le karma individuel, le karma de groupe, ethnique et  le karma universel. Chaque âme incarnée évolue dans ces groupes de karma en même temps.

Le karma individuel est ce que l’âme doit venir soigner, réparer d’une vie précédente tout comme faire de nouveaux apprentissages pour obtenir son éveil.

Le karma de groupe est ce que les âmes d’une fratrie, d’une famille vont revenir soigner d’une vie antérieure et là, ils feront de nouvelles expériences pour le retour à la conscience, au Soi.

Le karma ethnique concerne un groupe d’âmes d’un pays, d’une nation qui va venir soigner, guérir ce qui n’a pas été compris dans ce groupe lors des vies antérieures. Cela est toujours dans le but de parfaire leurs expériences individuelles et collectives pour le retour à l’être, au Soi, à la maison !

Et si nous regardons ces karmas avec de la hauteur, étant donné que nos karmas sont le résultat de nos actions, interactions avec autrui, il n’y a finalement qu’un seul karma ! C’est le karma de la création d’une vague de vie dans une création donnée.

Robin.