Tu évoques le fait que certaines âmes ne pourraient pas s’incarner sur terre à cause d’une fréquence vibratoire trop élevée. Tu évoques aussi l’équilibre nécessaire du bien et du mal, l’un ne peut exister sans l’autre. Aussi je m’interroge, si la « lumière » s’amplifie sur terre, va t-on assister à un accroissement proportionnel de « l’ombre » sur terre ? Cette « ombre » peut-elle se déplacer sur une autre fréquence vibratoire et ne plus faire de dégâts sur terre ?
Réponse de Robin :
Raphaël… si la lumière augmente sur terre et bien il y aura beaucoup moins de place pour l’ombre puisque, qu’est ce qui créé l’ombre ? Qu’est ce qui engendre l’ombre ? … LA LUMIERE ! Sans lumière, l’ombre ne peut exister ! Exemple, si tu es dehors en plein été à midi, c’est-à-dire en pleine lumière puisque le soleil est à son zénith, le moment où la lumière est la plus intense, où est ton ombre ? Il n’y en a plus, elle a disparue ! 😊 L’ombre revient quand la terre tourne, s’abaisse face au soleil, sort de son zénith, de son point le plus brillant.
Si nous sommes tous dans la lumière, c’est-à-dire dans l’Amour, en plein zénith de notre amour inconditionnel, il sera comme midi sur terre et l’ombre n’aura plus qu’une très, très, très courte portée.
Si nous sommes tous au zénith de notre amour inconditionnel, le taux vibratoire individuel et collectif va monter en puissance et ceux d’une vibration plus basse ne pourront s’incarner. Pour donner une image, ils seraient un peu comme des mouches prises dans un appareil électrique qui les carbonise dès qu’elles approchent de la source de lumière.
Qu’est ce qu’un taux vibratoire ? C’est la vitesse de rotation à laquelle tournent toutes les cellules et particules atomiques et sub-atomiques qui constituent ton corps, plus tu ouvres ta conscience, plus tu fais monter ton taux vibratoire.
Un autre exemple, si tu rentres dans une pièce au plafond et aux murs pleinement éclairés, donc en pleine lumière, tu feras vite le constat qu’il n’y a plus aucune ombre portée ! La lumière est partout et l’ombre disparaît, cela ne veut pas dire qu’elle n’est plus là, elle existe toujours mais elle n’a plus de place où se poser, où exister où se porter. Mais il suffit que le plafond s’éteigne, qu’il y ait une baisse de lumière et l’ombre fait son retour !
Les opposés s’attirent et partagent les mêmes énergies. Finalement un sioniste et un antisémite se ressemblent plus qu’ils ne croient, idem pour un athée et un fanatique religieux ou encore un syndicaliste et un politique au pouvoir. Sortir de la dualité c’est donc sortir des combats, des revendications, des manifestations ?
Raphaël
La dualité, voila un sujet intéressant.
En fait la dualité n’existe pas, elle n’est que l’expression de la domination de l’intellect, du mental qui veut garder le pouvoir sur notre être, notre soi, pour nous empêcher d’être libre et de trouver la joie, la félicité, l’extase et la plénitude de l’être. La dualité est de croire qu’il y a une gauche et une droite, un haut et un bas, un devant et un derrière. Tout cela est faux et n’est rien d’autre que l’interprétation de notre intellect, du mental. La dualité veut tout opposer plutôt que tout réunir, unir, car en fait, il n’y a ni gauche, ni droite, ni haut ni bas. Il n’y a pas d’intérieur ni d’extérieur, ce sont juste des « mesures » inventées par l’homme qui cherche constamment à peser, mesurer, diviser… diviser pour régner est ce que préfère réaliser notre mental !
Certes il y a un côté pratique à connaître la gauche et la droite, le bas et le haut, mais c’est juste pour être pratique, savoir se situer sur terre et créer des modes de déplacement. Mais c’est en vérité sans fondement réel par rapport à l’Etre, au Soi, à la conscience. La conscience se moque de tout ça, l’Etre se moque éperdument de tous ces concepts, IL/ELLE EST ! IL est partout et en tout, il nous appartient de le retrouver pour mettre fin à la dualité, au monde des projections, des croyances qui nous rendent tributaires des événements extérieurs qui nous arrivent à chaque instant dans nos vies. Tant que notre SOI, notre être n’est pas retrouvé, nous sommes comme des boules de flipper qui se cognent aux éléments placés dans la machine et qui nous font aller en tout sens, sans aucun contrôle de notre part. Retrouver notre Soi, lâcher le mental, c’est être une boule de flipper qui s’extrait du flipper, qui ne se cogne plus aux éléments de la machine et qui choisit librement son chemin sans se cogner et rebondir en tout sens.
Revenons à cette gauche et droite, ce concept existe par rapport à qui, à quoi ! Si tu regardes la terre dans l’univers, est-elle à droite, à gauche, en bas, en haut ? Où est-elle dans l’Univers ? A la gauche de quoi ? A la droite de quoi ? En bas ou en haut de quoi ? Elle EST, point à la ligne. Notre être, notre soi est comme notre planète, Il EST là et partout à la fois. Or, quand nous désirons définir les choses de telles formes, couleurs, lieux… nous sortons de l’être en entrant dans la dualité qui cherche à opposer ce qui ne l’a jamais été ! Et où se trouve l’être, le Soi ? Dans la vacuité de l’instant présent, dans l’accueil de notre être, dans l’ici et maintenant. Le reste ne sont que des histoires que l’on se raconte en réaction à nos émotions, pensées inscrites dans la mémoire.
Sortir de la dualité, c’est mettre fin aux croyances de bien et de mal, c’est arrêter d’opposer ceci à cela. Tout ça ne sont que des conceptions du mental nées de croyances, de formatage de notre société qui veut tout trier, mettre dans des cases, des tiroirs en définissant les choses de telle ou telle manière selon des émotions, des pensées, des croyances, des formatages. Il n’y a que des phénomènes qui fonctionnent et d’autres qui ne fonctionnent pas, des choses qui nous font avancer en conscience avec la conscience et d’autres qui en sont les freins, les blocages. La dualité en est une, car elle cherche à diviser ce qui a toujours été UN .
La dualité naît de l’idée qu’il faut diviser, différencier, les bonnes et les mauvaises choses. La dualité naît du mental qui créé l’égo, celui qui veut le contrôle et interprète les pensées et émotions comme étant réelles plutôt que de les laisser pour ce qu’elles sont. C’est-à-dire juste des pensées, juste des émotions, des réactions à des croyances, des blessures, des souvenirs, des expériences bonnes ou mauvaises enfouies dans la mémoire. Mais cette mémoire n’est pas qui nous sommes, elle n’est que la somme cumulée de nos sensations, pensées, émotions. Cette mémoire est la somme des ersatz auxquels nous nous sommes identifiés avec notre mental et qui nous définissent. Notre mental aime créer des images, un imaginaire né de ces mêmes croyances et expériences des mondes phénoménaux* qui s’impriment sur le mental.
Quelle image donner comme exemple ? Dans un ordinateur, il y a un disque dur sur le lequel est stocké tout un tas de fichiers, d’informations. Mais ce disque dur n’est pas l’ordinateur, il y a plein de composants à cet ordinateur : l’écran, le clavier, la souris, etc. La mémoire est comme le disque dur de l’ordinateur, elle a stocké des fichiers, des infos mais elle n’est pas toi, elle n’est pas qui on est, nous ne sommes pas notre mémoire. Or, si on s’accroche à cette mémoire, on rejouera encore et encore les mêmes scènes dans notre vie comme un disque qui déraille au même endroit. Et ce, parce qu’on s’est identifié à cette mémoire, à ces infos, à ces émotions gravées, stockées dans notre mémoire.
C’est la dualité, fruit du mental, qui nous fait croire qu’il y a des combats à mener. C’est la possession de notre mental qui nous conduit à vouloir combattre ceci ou cela, qui nous dicte celui-ci est bon, celui-là est mauvais. Ce ne sont que des interprétations nées de nos émotions, de nos pensées qui ont pris possession de notre soi, de cet être intérieur qui se situe, qui vit derrière ce mental. Le seul « combat » ou de façon plus douce, plus sereine, l’action à conduire dans ta vie, c’est de canaliser ce mental. Ne plus être dominé par lui, par ce politicien suprême qui divise pour régner.
Dans le plaidoyer (à lire ici), nous parlions de ces gens, ces oligarques et autres qui sont nés de cette dualité. Ils ne sont ni bons ni mauvais, ils sont justes ce qu’ils sont, des miroirs, des témoins, des signaux de nos errances, de nos erreurs, rien de plus. Comme déjà écrit, ils remplissent leur rôle à la perfection afin de nous reconduire, nous aider à revenir à plus de conscience, la conscience du SOI !
Notre réalité actuelle est la somme de toutes nos pensées et émotions contrôlées par le mental, tout ce qui n’est pas l’être, le Soi. Notre réalité n’est rien d’autre que la somme de toutes les boules de flipper qui se cognent n’importe où et n’importe comment. Notre réalité est assujettie à la machine du mental, elle est soumise au tyran de l’intellect, loin de l’être et du Soi. Notre réalité planétaire est un flipper contrôlé avec des boules incontrôlables et les points gagnés équivaut à l’argent qui est issue de tous les égarements. Ces boules de flipper dévastent tout car elles sont prisonnières du jeu des interactions dualistes du mental.
Quand tu fais l’expérience de l’éveil, de l’illumination, tu vois, tu vis dans ta chair, dans chacune de tes cellules, de tes atomes, qu’il n’y a pas d’extérieur et d’intérieur, tu vois que tu es partout à la fois. Je suis en toi et tu es en moi, je suis dans l’Univers et l’Univers est en moi ! Microcosme et macrocosme intriqués l’un dans l’autre ne font qu’UN. IL est qui IL est, une pure conscience qui fait l’expérience de qui IL est à travers chacun d’entre nous dans la matière.
Quand tu observes l’extérieur, tu ne vois pas l’extérieur tel qu’il est, il est juste interprété par ton mental en fonction de ta mémoire et ce qu’elle a stocké. Tu sais que nos yeux voient les choses à travers sa rétine, les images nous arrivent à l’envers, le cerveau traite l’image reçue et la renvoie sur un écran à l’intérieur de nous. Tout ce que nous observons sont des images intérieures que le mental interprète selon des émotions qui nous ferons juger ces images comme bonnes ou mauvaises selon notre mémoire. Mais ce n’est pas réel en fait, la réalité de l’être, du Soi est derrière ces phénomènes d’interprétation du réel.
Robin.
* les mondes phénoménaux sont les mondes des pensées, des émotions, des ressentis, des sentiments, des intuitions, tout ce qui enclenche des phénomènes dans le mental.
De plus en plus de consciences s’éveillent vis-à-vis de la négativité du commerce de toutes formes et natures. Un nouveau modèle de société doit naître en ce monde et ce n’est que pas à pas que nous pourrons y arriver.
Il est simplement parfois difficile de voir que même la spiritualité est devenue un business pour bon nombre d’êtres.
Je suis donc désolé et présente d’avance mes excuses, je vous demande pardon si dans les propos qui suivent certains se sentent visés, culpabilisés, stigmatisés. Là n’est absolument pas le but de ce texte. Je n’accuse personne, mais fort de plus de 16 années à évoluer dans ce milieu d’ouverture de la conscience, de développement personnel, d’éveil spirituel, bon nombre de dysfonctionnements me sont apparus. Le paradigme reste le même, la forme change mais aucunement le fond.
Comme écrit ailleurs dans ces textes, un jour, la vie, le vivant, la supra-conscience, le sans nom, DIEU, le grand tout, demandera à ces commerçants spirituels : Qu’as-tu fais ? Qui as-tu vraiment été ? Là… mentir, tricher, se justifier sera complètement inutile et surtout impossible, ils seront seuls avec eux-mêmes et ça risque de ne pas être facile !
Etant passé par ce pesage de l’âme, c’est-à-dire la vision de tous les actes accomplis face à ce qui EST, qu’IL EST, ce texte est une mise en garde, un garde-fou.
Tout ce que j’ai écrit sur la dualité, le mental est exactement ce qui est dit par bon nombre de sages, d’éveillés, de gourous de toutes formes et natures, il y en a des centaines sur youtube. C’est bien et c’est fort appréciable, indispensable car ils permettent d’avancer vers une meilleure connaissance en conscience de l’être, du Soi, de notre vérité fondamentale, de connaître ce que Jésus disait : » Le royaume de Dieu est en vous et autour de vous » C’est tout à fait juste, c’est la VERITE !
Ce que je leur « reproche », ce qui me « chagrine », est qu’ils ne proposent pas de nouveaux modèles sociétaux. Ils expliquent comment sortir du mental, en nous disant comment sortir de cette prison née des pensées et émotions. Mais rien sur comment vivre la paix en communauté, comment incarner le bien commun ? Faut-il continuer de vivre d’échanges commerciaux, d’achat et de vente ? Devons-nous continuer la marchandisation du vivant ? Allons-nous enfin vivre ce qu’est pour moi la définition du bien commun en sachant donner, offrir gracieusement à autrui ce qui lui est nécessaire pour vivre et qu’autrui sache nous offrir gracieusement ce qui nous est nécessaire pour vivre ? Un toit, de la nourriture, des vêtements, de quoi nous déplacer, voyager, nous soigner, élever nos enfants, ne plus devoir « gagner notre vie » mais la vivre tout simplement ! Exactement comme le fait la nature, les éléments, le vivant. Quelle direction prendre ? Devons-nous tout miser sur l’hyper-développement de la technologie et les folies du transhumanisme que l’on cherche à nous imposer ? Devons-nous faire un retour à la nature, être plus naturel ou continuer nos modes de fonctionnement actuels ? Je suis aussi étonné du silence total concernant l’énergie sexuelle et ses liens, son emploi dans la création. Tout dépend de cette énergie !
Les enseignements spirituels sont très souvent justes mais l’échange de ces enseignements, le partage de ces enseignements est toujours basé sur la vente et l’achat. Il faut payer pour aller dans leurs stages, stages où ils vendent leurs bouquins et leurs tee-shirts ! Argent avec lequel ils achètent de grosses voitures, motos, maisons, propriétés. Certes, ils postent des vidéos sur youtube et elles sont gratuites mais le visionnage de ces vidéos leurs rapportent aussi de l’argent. Ils continuent d’entretenir la notion de commerce mais où est l’amour inconditionnel dans tout cela ? Là est la question que je me pose ?
Quels métiers exercent les personnes pour payer ces enseignements ? Font-ils tous du bio ? Vivent-il d’amour et d’eau fraîche où est-ce que la plupart de ces personnes exercent une profession participant à la marchandisation du vivant ? Est-ce que ces sages, à leur tour, ne finissent pas par participer à la marchandisation du vivant ? Ces maîtres écrivent des milliers de bouquins qui représentent autant d’arbres coupés. (J’ai très rarement vu des bouquins de ces maîtres écrits sur du papier recyclé !)
Si demain toute la planète vit l’éveil, comment vivrons-nous les-uns les-autres ? En continuant les commerces… ? A mes yeux c’est là que ça coince. C’est là que nous devons continuer d’évoluer en toute et pleine conscience.
Tout l’argent de ces sages, gourous, guérisseurs, maîtres de ceci ou cela, représente des fortunes ! Ce sont des millions qui sont déposés dans les banques chaque jour, contribuant au renforcement de ces mêmes banques. Ils continuent à donner du pouvoir et des moyens financiers aux entreprises qui détruisent, exploitent et participent à la destruction de la biosphère et de notre écosystème.
Sans doute est-ce une étape pour un mieux mais nous devons réellement faire attention, très attention, être d’une prudence et sagesse extrême si nous voulons garantir un avenir serein et équitable pour chaque être humain.
Tous ces banquiers, ces hommes d’affaires oligarques et leurs vassaux n’ont que faire du Soi, de l’être, de la conscience. Ils n’en ont rien à foutre, ça ne rapporte pas d’argent, ça ne remplit pas leur compte en banque et ne leur donne aucun pouvoir sur autrui.
Je vois là un cercle vicieux, nous sortons du mental mais pour vivre comment et de quoi ? Là est en fait le message que j’aimerai faire passer, celui de l’amour inconditionnel universel.
Chacun de ces « sages » travaille dans son coin, chacun de son côté. Ne vaudrait-il pas mieux qu’ils se fédèrent et se mettent en marche ? Écrivent ensemble, organisent des rassemblements, mettent en commun leurs avoirs, savoirs et connaissances pour influer davantage sur le devenir humain ? L’union fait la force n’est-ce pas ? Cette union est celle de l’UN.
Cet écrit est LA question que j’aimerai vraiment poser à tous ces gourous et sages du net. C’est le pourquoi de ce blog en fait.
Cette question, si elle est directe ne se veut en aucun cas accusatrice, mon envie est de susciter une mise en perspective, une prise de hauteur, une vision plus large de nos choix, de nos actions et modèles d’interactions sociétaux.
Moi aussi, je suis « coincé » dans ce paradigme économique et de ce fait, je dois « gagner ma vie » pour vivre/survivre. Ceci est complètement indépendant de ma volonté, c’est une obligation, une soumission à laquelle je dois me plier si je ne veux tout simplement pas vivre de très gros soucis pour ma simple survie. Je suis contraint et forcé de devoir vivre dans ce paradigme où le seul dieu unique planétaire est l’argent.
Toutefois, des stratégies peuvent être mises en place pour limiter de façon drastique nos besoins d’argent. Ces stratégies impliquent des choix de vie concrets souvent loin des préceptes de la société de consommation. Je fais ici référence aux projets colibris, qui font la promotion d’oasis, c’est-à-dire d’éco-lieux, d’éco-hameaux qui appliquent la sobriété heureuse. Ce sont des lieux de créations, d’initiatives qui placent l’être au cœur de leur démarche par la mutualisation des avoirs, savoirs, connaissances et compétences.
Ces éco-lieux tendent vers l’autonomie alimentaire et la sauvegarde de la nature car ils appliquent souvent les principes de la permaculture. Des solutions permettent aussi d’être autonomes énergétiquement (poêle de masse, chauffe-eau solaire, phyto-épuration individuel…) Enfin, il existe maintenant tout un tas de systèmes et d’organisations qui prônent le bien commun sur l’individualisme.
Quelques mots pour me présenter et parler du déploiement de ma kundalini vécue il y a quelques années.
Mon prénom est Robin et je suis belge d’origine, bien que cela ne veut absolument plus rien dire, comme beaucoup, je ne suis qu’un citoyen de la terre qui se tient loin des frontières et drapeaux de toutes couleurs et formes.
Mon parcours scolaire fût des plus courts, l’école fût pour moi une vraie prison tant physique que psychologique et mentale, un seul mot peut tout résumer : insupportable !
Je me sentais complètement privé de liberté, or je suis éperdument attaché à ma liberté, de mouvement comme de pensée.
Ma mère était enseignante… ce ne fût pas toujours facile, elle a eu beaucoup, beaucoup de difficultés à me comprendre et accepter mon point de vue. Je ne sais plus le nombre de « discussions » que j’ai eu avec elle sur ce que je pensais de l’école. Tout enfant je lui disais : « ça me prend la tête toutes ces règles que tu m’imposes, je sens que si je prends ce chemin, je ne vais plus être libre, je me vois comme un train sur des rails qui avancent sans savoir où il va avec l’incapacité de voir les paysages qu’il traverse. Toutes ces règles me prennent de la place dans mon cerveau, elles me bloquent et sont un frein, des murs par delà lesquels je ne peux plus voir, observer la vie, la nature, le vivant » ; Soit, pour elle je n’étais pas normal ! ( norme-mal …)
Ce prénom Robin a fortement influencé ma vie, mes choix, mon regard sur ce monde. Épris de justice et ne supportant pas l’injustice, Robin des bois… Ce sentiment m’a poussé à voir et comprendre les méandres de notre société et les chemins de l’âme.
Fortement croyant sans même y avoir réfléchi une seule seconde, c’était dans ma nature, les dieux que l’on me proposait sur terre me semblaient forts différents de ce que je pouvais observer chez les hommes et femmes de cette terre, dans le vivant, la nature, la vie. Depuis enfant, je disais à qui voulait bien m’entendre : » tu veux être heureux, et bien fait comme la nature ! «
Ce Robin des bois m’a conduit à connaître, voir et sentir le vivant. Il a induit chez moi une forte compassion pour autrui mais aussi pour la vie.
Un autre Robin est venu influencer mes choix de vie, Robinson Crusoé, la première fois où enfant j’ai entendu parler de son histoire, un grand déclic s’est passé en moi : » et si toi aussi tu te retrouvais seul sur une île, comment ferais-tu pour survivre ? «
Cette réflexion a guidé mes choix de façon inconsciente, j’ai donc abandonné l’école très tôt pour travailler comme apprenti boulanger-pâtissier-chocolatier. Apprendre toutes ces recettes fût une vraie joie, une découverte de chaque instant, j’étais un alchimiste …
Ensuite, durant plusieurs années c’est le travail de saisonnier qui m’a attiré, je travaillais l’été dans les récoltes des fruits et légumes en Suisse et l’hiver la Grèce pour les olives.
Entre-temps et après cette période, c’est le bâtiment qui eu mon intérêt, apprendre à bâtir et construire ma maison me semblait indispensable, l’émergence inconsciente de Robinson.
Fort de ces qualifications acquises après plusieurs années, là c’est la fabrication de vêtements, la couture qui m’a interpellé, intéressé. J’ai suivi des formations courtes pour apprendre et maîtriser les machines industrielles de confection et la maîtrise du patronage. Il s’agissait de réaliser des croquis et des modèles sur des patrons afin de les confectionner en tissus.
Aimant travailler de mes mains, maintenant c’est la création de mobilier en bois de récupération qui me passionne et aussi la culture vivrière. Ceci amenant cela, je suis autonome et n’ai besoin de rien pour vivre.
Mon art, sans que je le sache vraiment à l’époque, était empli de spiritualité. Pour moi, le vêtement était, est, un des vecteurs les plus importants de communication, il dit qui vous êtes. J’avais remarqué qu’il y a un langage universel sur la terre utilisé depuis la nuit des temps, les symboles !
Le symbolisme est partout, sur tous les continents et dans toutes les civilisations, il est identique dans toutes les cultures et folklores de cette planète depuis des siècles, le cercle, le carré, les triangles, les spirales, les étoiles, les courbes de l’ADN… ils sont multiples et sont la base, le fondement, les résumés de nos croyances, de nos cosmogonies, l’universalité de l’être.
Je créais donc des tenues qui tentaient de montrer cette universalité de notre humanité en utilisant les différents symboles employés sur la terre de tous temps pour unifier, donner à voir et sentir qu’il existait ce langage universel qui unit l’humain au-delà de toute religion, car chaque religion utilise les mêmes symboles pour parler de « leur » Dieu…
Pendant plus de 15 ans ce fût ma principale occupation, c’était en fait le chemin emprunté pour retrouver ma mémoire.
Puis, un jour, une grande épreuve est venue dans ma vie, épreuve ayant engendré une souffrance sans nom et celle-ci m’a conduit au déploiement de la kundalini m’ayant montré de façon nette et précise le pourquoi de ce symbolisme que j’utilisais dans mes créations artistiques.
L’Eveil de la Kundalini
Préambule :
Je dirais que depuis enfant j’ai eu la chance de vivre bon nombre d’expériences classées dans le registre de l’ésotérisme, voire du mysticisme alors qu’à mon regard, ces expériences sont tout à fait naturelles : la décorporation, la télékinésie, la clairvoyance, la médiumnité, la télépathie étaient pour moi « ordinaires » car vécues depuis ma toute petite enfance.
Je dois dire que j’ai eu la chance d’avoir un partenaire privilégié pour expérimenter tous ces champs du vivant, un frère jumeau, nous sommes monozygotes univitellins. Grand mystère toujours incompris de la science, un ovule fécondé par un spermatozoïde se séparant en deux pour créer deux êtres. Personne ne comprend ce mystère de la vie ! Bon, plus tard si l’occasion m’en est donnée, je vous en parlerais 😉
Ce UN devenu deux m’a permis très tôt de voir, vivre, sentir et expérimenter la télépathie ce qui bien évidemment, a suscité chez moi bon nombre de questions ayant trouvé des réponses dans toutes ces expériences. Depuis enfant, j’étais convaincu qu’un grand « secret » nous était caché quant à nos origines, facultés, dons, tout ce que je ne trouvais pas sur les bancs de l’école.
Fort de ces expériences d’enfance, j’avais acquis la certitude que l’esprit est plus puissant que la matière, que c’est de l’esprit que naît la matière.
La kundalini :
La kundalini est le déploiement des deux « serpents » symboliques logés dans la région du coccyx et du premier chakra, ce déploiement est ce que recherche tous les pratiquants de yoga dans leurs exercices journaliers. Ces deux « serpents », sont deux canaux qui entourent la colonne vertébrale et les chakras en s’enlaçant ; de nombreuses images existent, une de celle que je préfère est le caducée.
Je n’ai jamais pratiqué aucun yoga mais j’ai toujours su, j’ai toujours eu l’intuition qu’un jour j’allais vivre une telle expérience, en quelque sorte, c’était la suite logique de toutes les autres expériences vécues.
Ce déploiement se réalise quand vos chakras sont alignés, tournent tous au même moment à la même vitesse dans un alignement parfait. D’autres facteurs entrent également en ligne de compte, un corps sain et nettoyé. Personnellement, elle s’est déployée après un mois et demi de jeûne m’ayant vu perdre pas loin de 30 kilos, des pensées d’amour inconditionnel et des prières intenses.
Tout ça fût pour moi le résultat d’une très grande souffrance, d’un pourquoi colossal qui finit par m’apporter toutes mes réponses.
Lorsque ce déploiement se réalise, il aboutit au 7ème chakra, la couronne qui nous apporte la connaissance car embrassée, adoubée par le divin. C’est le retour en toute conscience dans la conscience, dans le Soi, dans l’être, ce qui est appelé par des éveillés, le retour à la maison !
Cette période a duré trois mois pendant lesquelles cette kundalini s’est déployée à plusieurs reprises m’ayant conduit aux frontières les plus ultimes et magnifiques de la vie et de la mort.
C’est dans ces expériences à répétition que le monde, l’Univers, m’est apparu dans ses fonctionnements ontologiques, les lois divines qui nous ont crée, re-crée, co-crée l’Univers, l’inspire et l’expire du sans nom, de Dieu qui m’a pris dans ses bras, bras inouïs dans lesquels j’ai été aimé de façon totale et inconditionnelle, amour total m’ayant permis de voir à quel point notre humanité s’en était éloignée, avait chuté et cherche désespérément ce retour à la maison.
Cette expérience de la kundalini, si magnifique soit-elle, n’est pas « anodine » ou sans conséquence ! Cette expérience s’est présentée à moi de façon « sauvage », sans préparation en quelque sorte. Et pour ma part, ne connaissant pas ce phénomène, j’ai cru être devenu fou ! Il m’a fallu des années pour intégrer et comprendre ce qui m’était arrivé.
Pendant de longs mois, je n’étais plus « sur terre » mais dans un espace de vacuité intense, je n’avais d’ailleurs plus aucune envie de revenir sur terre devant tant de beautés et de merveilles. C’est tout un effort d’incarnation que j’ai dû réalisé par la suite. Retrouver une réalité dans la matièreest d’une importance capitale si on ne désire pas être pris pour schizophrène ! Des personnes ont vécu ce phénomène et n’en sont jamais revenues, elles ont perdu la raison tant la puissance de l’expérience brûle tout ce que la personne croyait savoir d’elle-même et du monde. D’ailleurs, tout mon entourage a cru que j’étais devenu fou car la vérité de chaque chose, de chaque « vous » apparaît sans masque. Vous voyez ce qui est, vous n’êtes plus plongés dans l’illusion mais vivez dans la vérité la plus pure. Ce qui n’est vraiment pas facile à vivre dans ce monde où tous portent des masques, ceux de la dualité, du mental qui les emprisonnent.
Pour ceux qui connaissent le bouddhisme, le déploiement de la kundalini est l’image souvent montrée du Bouddha avec le cobra au-dessus de lui. C’est l’image symbolique de la kundalini qui, si elle n’est pas maîtrisée, peut aussi conduire celui qui connait cette expérience à se croire tout puissant et le faire tomber dans un égo surdimensionné qui l’égare loin, très loin de son but initial, connaître le monde, la création et la restituer.
Il y a maintenant beaucoup de livres qui parlent de ce phénomène, et pour ceux que cela intéresse, ils peuvent trouver tout un tas d’informations et témoignages de personnes ayant vécu cette expérience (livres, vidéos, il y en a à foison).
Je pense ici à un homme ayant témoigné de cette expérience, il a posté sur le net des vidéos ou il parle très bien de ce qu’il a vécu. Pour autant, à l’écouter j’ai pu me rendre compte qu’il existait des différences dans ces expériences de même genre. Cet homme donne des stages de développement personnel suite à son expérience et il parle d’autrui en terme de client, oui je dis bien client ! Mon expérience fût similaire à la sienne mais elle m’a conduit à voir qu’il n’y avait pas de client. Cette expérience m’a permis de voir, comprendre, conscientiser que nous étions tous UN, tous unis, venant de la même source. Nous sommes tous des enfants du divin et le divin n’a pas de client !!! (Je précise que je n’ai rien à vendre et tout à offrir.)
Le divin ne fait pas de commerce avec lui-même, IL n’a rien à se vendre ni à s’acheter (le divin n’est pas débile !). C’est pour moi la différence fondamentale qui existe entre son expérience et la mienne. Je ne juge en aucune façon de la sienne et je répète que ses explications sont en très grande partie exactes. La petite différence est que mon expérience personnelle semble avoir été plus profonde que la sienne. Nous ne recevons que ce que nous sommes capables de porter !
Si je ne tiens pas à trop parler de ce déploiement, c’est parce que : » le sage pointe la lune du doigt et le sot regarde le doigt… » Ce qui importe, ce qui me semble essence-ciel, est de traduire ce que j’y ai vu, compris, vécu. Ce déploiement n’est qu’une expérience ! Aussi magnifique et intense puisse-t-elle être, ce n’est qu’une expérience ! Seul le résultat importe.
C’est la même chose pour un scientifique, ce qu’il publie lorsqu’il fait une découverte, n’est pas le protocole précis ayant conduit à la découverte, mais les résultats qui découlent de cette expérience. Et bien je partage à mille pour-cent cette vision des choses.
Les échanges qui suivent avec Raphaël, sont les résultats de ce qui me fût offert, des découvertes inouïes engrammées en moi depuis mon merveilleux « retour à la maison » où j’ai redécouvert la magnificence de l’être, de la vie, du vivant, de Dieu et sa création.
A plusieurs reprises dans le plaidoyer tu évoques les fractales, souvent surnommées les mathématiques du vivant. Cela me rappelle le souvenir d’une discussion avec le doyen d’une Université qui m’avait confié s’être interrogé sur Dieu en étudiant les fractales. Quels seraient pour toi les liens entre Dieu et les fractales ?
Raphaël
Dieu et fractal ou dieu EST fractal !
Tout d’abord Dieu, le mot Dieu tu sais, là aussi il a été employé à toutes les sauces.
Disons que pour moi Dieu est tout, absolument tout, il est la vie, le vivant, le visible et l’invisible, le matériel et l’immatériel, il est la lumière et l’ombre, il est le moindre atome, le moindre proton, la moindre cellule, il est l’eau, le feu, l’air, la terre, les soleils, les étoiles, les galaxies, les trous noirs, le minéral, le végétal, l’animal, l’humain, il vit et respire dans chacune de ces choses. Il est le conscient, l’inconscient, le subconscient, il est l’infiniment petit et l’infiniment grand, microcosme et macrocosme, IL est cette conscience omnipotente, omnisciente. C’est une omni-sagesse qui a créé ce tout, il est fractal et est dans les fractales.
Pour faire un lien entre dieu et les fractales, je répète ce qui est déjà écrit, pour chacune de nos cellules nous sommes un Dieu, comme nous sommes, nous, et tout ce qui nous entoure, visibles et invisibles, le corps de Dieu.
Il n’est certainement pas ce vieux barbu sur son trône lâchant des éclairs vengeurs sur les hommes et les femmes !
Nous savons maintenant que notre corps est avant tout constitué de vide, que toutes nos cellules, que tous nos atomes atomiques et sub-atomiques qui constituent notre corps tiennent en cohésion grâce à des champs de forces énergétiques, des « courants électriques » de toutes formes et natures qui traversent notre corps, la science l’a prouvé et démontré.
Si tous ces champs de force devaient s’éteindre d’un coup, toute notre masse corporelle ne serait qu’une tête d’épingle ! Le reste de notre corps n’est que du vide, exactement comme l’univers qui en fait est en très grande partie composé du vide sidéral qu’il y a entre les étoiles et les galaxies. C’est la même chose pour nous, notre corps est un champs sidéral habité par des cellules qui constituent notre corps maintenu en cohésion par les mêmes champs de force qui tiennent les planètes et les galaxies dans l’univers. Nous sommes un univers habité de milliers de soleils, de galaxies et de planètes qui sont nos cellules et organes.
Quelle serait ta définition des fractales ?
Une fractale est la représentation du microcosme et du macrocosme. Le plus immense est la même chose que le plus petit. Ils vivent selon les mêmes lois, les mêmes champs de force, les mêmes minéraux.
Un des plus beaux exemples est le chou romanesco, si tu regardes ce chou dans son ensemble et que tu fais le focus sur sa plus petite partie, tu verras que la plus petite partie est tout à fait semblable, à l’identique du chou lui-même. Tu peux même vérifier qu’au niveau microscopique c’est encore la même forme que tu vas découvrir. C’est une fractale et c’est ce que nous sommes par rapport à l’univers, une infime partie de ce qu’il EST.
Je sais ce n’est pas facile à voir, comprendre ou conscientiser, mais en fait, il n’y a pas de différence entre intérieur et extérieur, entre l’infiniment petit et l’infiniment grand, entre micro et macro. Peut-être que notre voie lactée est une partie de sa jambe, son foie, un doigt, nous faisons partie de ce grand tout et ce grand tout est en nous. Je t’invite à découvrir à ce sujet les travaux d’ Olivier Soulier, il a écrit et fait des vidéos sur ce sujet.
Il n’y a pas un élément chimique, minéral, gaz… qui se trouve dans l’univers et sur cette terre qui ne fasse partie de notre corps, tout est intriqué, enchevêtré agissant et inter-agissant aux travers des mêmes lois, des mêmes forces et champs d’énergies.
Je suis interpellé sur les terribles conséquences du non-amour, finalement les péchés capitaux, les guerres, les suicides, la pollution du vivant découlent tous du non-amour. Au quotidien, j’observe beaucoup de personnes (moi le premier) qui effectuent des démarches pour aller vers plus d’amour mais qui ne voient pas, volontairement ou non, le non-amour en eux. Comment prendre conscience de ce non-amour et le dépasser ?
Raphaël
Le non-amour vient du fait que nous sommes dans la croyance que l’amour viendra de l’extérieur, que c’est un autre qui pourra nous apporter l’amour (tomber amoureux), alors on rentre dans le besoin d’amour en cherchant à l’extérieur de nous cet amour, et là, c’est la course à l’impossible, c’est la course à notre propre perte en fait, une course effrénée contre des murs, une errance seul dans le désert, ce qui devient, à force de chercher à l’extérieur le dessèchement de l’âme.
Nous cherchons toujours l’amour de l’autre, à travers l’autre parce que bien souvent, bien trop souvent, nous ne l’aimons pas vraiment. Nous ne nous aimons pas de façon totale et inconditionnelle d’avoir la chance d’être qui nous sommes, or c’est là le premier piège, la première fermeture car si nous ne nous aimons pas d’abord, nous ne pouvons aimer l’autre puisque l’autre sera toujours un substitut à notre propre manque d’amour de nous-même !
Pour trouver l’amour de l’autre, nous allons alors mettre au point tout un tas de stratégies afin d’obtenir cet amour : convoitise, mensonge, manipulation, tricherie, séduction, … ceci envers l’autre mais aussi envers nous-même ! Tout amour obtenu avec de telles stratégies, finit toujours mal, disputes, divorces, jalousies et j’en passe.
Prendre conscience de notre non-amour. Et bien poses-toi la question de savoir si chaque matin tu te dis dans le miroir en te levant : » je t’aime » ? 😉 La réponse est là ! T’aimes-tu ?Si tu ne t’aimes pas, comment pourrais-tu vraiment aimer autrui ? L’amour commence d’abord par l’amour de soi, loin de l’égocentrisme bien évidement. S’aimer ne veut pas dire s’aduler au point de devenir hautain, prétentieux, vaniteux… ça ce n’est pas de l’amour de soi, c’est juste de l’égocentrisme, de l’égotisme qui cache souvent des complexes d’infériorité.
Dépasser le non-amour, et bien c’est d’abord avoir de la JOIE, celle d’être en vie, d’être vivant, de respirer, boire, manger, chanter, danser, celle d’observer la beauté de ce monde et les merveilles de la création, c’est parler, échanger, regarder, observer, s’émerveiller chaque jour des petits cadeaux que la vie nous offre, un chant d’oiseau le matin suffit à nous remplir de bonheur pour qui a une oreille qui sait entendre le chant du vivant.
Les gens qui ne voient pas le non-amour en eux, sont ceux qui jugent, sont indifférents, égoïstes, menteurs, … la liste est longue, très longue, tout ça est l’expression du non-amour qu’ils ne voient pas car prisonniers du fait qu’ils ne s’aiment pas ! Prisonniers du fait qu’ils ne s’aiment pas ou qu’ils s’aiment trop, l’amour est justice, il est aussi humble, humilité faite de compassion.
S’aimer trop, c’est rentrer dans le contrôle, la domination, l’exploitation. Les grands tyrans, despotes étaient des personnes qui souvent s’aimaient beaucoup trop et mal. Ils s’aiment tellement qu’ils voudraient créer un monde à leur image, que tous soient comme eux et à leur service. Dans ce cas là, ce n’est plus l’amour mais le non-amour.
Souvent le non-amour résulte du fait que nous n’avons pas été aimés aussi, pas suffisamment, pas comme nous l’aurions désiré, voulu. Dans ce cas, il est souvent difficile d’offrir à autrui ce que l’on n’a pas reçu, ce que l’on ne connait pas si nous ne faisons pas un travail sur nous-mêmes, celui d’apprendre à nous aimer et aimer autrui de façon inconditionnelle.
On dira sans doute qu’il est difficile parfois d’aimer quand nous sommes en conflit avec autrui ou parce que nous vivons des situations graves et injustes, or tout est juste en fait. Les épreuves que nous traversons sont toujours le résultat de nos choix, conscients et inconscients.
Que réponds-tu à celles et ceux qui « jettent la pierre » sur le système capitaliste, les sionistes, les oligarques ? Il est vrai qu’ils sont en grande partie responsables de l’effondrement de notre société. Et que penses-tu de ce mouvement d’éveil spirituel et du commerce qu’il induit ?
Raphaël
Mes différentes expériences m’ont conduit à prendre conscience d’un certain nombre de choses, des « constats » en quelque sorte.
Avec un peu de hauteur, à bien y regarder, tous nos pathos et traumas humains découlent du non-respect des commandements de Moïse autant que des enseignements du Christ, soit parce que nous les subissons ou les faisons subir. Déroger aux conseils de Moïse et Christ, revient à créer nos pathos et traumas dont le point « d’orgue » à des degrés divers et multiples sont la chute des 7 péchés capitaux (pécher = manquer sa cible, le but de l’existence) tout est là en fait. Et qu’elles sont les 2 causes qui nous font déroger aux commandements de Moïse et enseignements du Christ ? L’argent et le sexe ! Ce sont les 2 seules choses qui engendrent tout le « mal » sur cette planète. Ce constat n’est pas difficile à réaliser en fait, il demande juste beaucoup de courage à chacun.
Le tout premier conseil de Moïse est : « tu n’auras pas d’autre dieu que moi », ceci veut tout simplement dire que tu vénéreras le Vivant, tu l’aimeras et le sublimeras. Dieu étant tout, de la plus petite cellule à l’univers en expansion constante. Il est la terre, l’eau, le feu et l’air, il est l’humain, l’animal, le végétal, le minéral, IL EST simplement tout, la vie, le vivant, l’ombre et la lumière.
Ce premier conseil tentait de nous tenir loin du veau d’or et de toutes les autres adorations que la vie elle-même puisqu’IL EST la vie.
Ce qui suit n’est pas un plaidoyer pour l’abandon immédiat de l’argent, c’est impossible mais de plaider pour son abandon progressif en favorisant l’échange, le partage, la solidarité, etc.
Ce qui suit n’est pas un plaidoyer pour revenir à la bougie et refuser toute nouvelle technologie, NON mais une science sans conscience entraîne forcément des troubles et soucis en tout genre.
Je plaide pour une société où toute nouvelle avancée technologique serait soumise à des questions référendaires : Est-ce que cela nous est vraiment nécessaire ? Qu’est ce que cela va nous apporter de plus ? Quels en sont les dangers réels ? Mais aussi, comment recycler et créer ces nouveaux objets sans qu’ils n’impactent le vivant ? Comment les recycler facilement sans qu’ils n’impactent l’humain et la terre pour leur saine pérennité ?
Sortir de ce système de gain, de profit mais ne plus viser que l’intérêt général, le bien-commun car nous sommes tous UN divisé en milliards de particules, nous sommes le corps du créateur tout comme pour chacune de nos cellules nous sommes le créateur, microcosme et macrocosme unis de façon fractale !
Je plaide pour une société équitable soucieuse du devenir du genre humain et ayant pour but de développer au mieux tous ses potentiels immenses qu’il nous reste à découvrir. Exemple, pourquoi la téléphonie alors que nous avons la télépathie ?! Cela peut sembler idiot mais nous avons tous tout un tas d’outils dont nous ne nous servons pas mais qui sont notre essence, les outils que le créateur, la création nous a doté !
J’ai maintenant envie de vous partager ici « mon » regard sur le « problème » juif, sioniste en tout cas !
Ce regard suite à mes expériences d’ouverture de conscience, le déploiement de ma kundalini, n’est pas chose aisée ni facile à traduire, il demande à « l’autre » de faire abstraction de beaucoup de croyances et nécessite une vision totale, holistique, loin des croyances, dogmes et formatages de toutes formes.
Pour être direct et franc, quitte à choquer, irriter, énerver, ce n’est peut-être pas simple à entendre. Mais à mes yeux cette humanité en grande partie, semble souffrir de « sionite aigue » ! A mes yeux toujours, ils sont, malheureusement/heureusement, ces juifs sionistes oligarques et leurs vassaux, l’arbre qui cache la forêt. Ils sont – et je pèse mes mots – un « mal » nécessaire, voire indispensable… Ils sont là pour nous montrer, démontrer toutes nos erreurs et errances accumulées depuis des siècles. Si l’humain vivait en syntonie avec les lois naturelles, ces gens, cette caste, n’auraient aucune place sur terre !!! Ils leurs seraient même impossible de s’incarner sur cette planète (taux vibratoire trop élevé pour eux qui sont si bas… mais n’allons pas trop vite).
Il est temps, je crois, de sortir de cette vision binaire, dualiste de notre réalité. D’un côté les méchants, les sionistes oligarques et leurs vassaux et de l’autre les gentils, les esclaves, les victimes asservies des méchants. (Je schématise et encore une fois je n’accuse personne, j’essaie de transcrire « ma » vision, ce qui m’a été permis de voir). Il n’y a ni victime, ni bourreau, nous sommes tantôt l’un, tantôt l’autre tant que l’on a pas éveillé sa conscience à une co-naissance supérieure.
Focaliser le regard sur cette caste de dirigeants au pouvoir, c’est ne voir que les symptômes de la maladie humaine et non les causes de cette maladie, exactement comme le fait notre médecine moderne qui ne soigne que les symptômes en oubliant totalement de soigner les causes de la maladie. Or, si nous ne soignons pas les causes, la maladie reviendra de façon certaine, sous une forme ou une autre.
Ce propos ne se veut en aucune façon accusateur pour qui ou quoi que ce soit, c’est un point de vue, un regard.
« Stigmatiser » une certaine caste juive sioniste est assez contre-productif je pense, vu que nous créons notre réalité par les pensées, actes et paroles directement liés aux : symboles, archétypes, égrégores, réalité. (Je peux aisément expliquer ce phénomène mais ce n’est pas le sujet de ce propos). Je suis convaincu que pour beaucoup de cette caste, le judaïsme n’est qu’un prétexte pour semer la discorde et prendre, garder le pouvoir, la vieille habitude séculaire de diviser pour régner. Ce ne sont que des étiquettes vides et dénuées de sens véritable pouvant nous aider à comprendre notre situation réelle, mais plus prompt à attiser les haines qu’à engendrer la paix.
A mes yeux, il est extrêmement important d’élever le débat, lui donner un sens plus large et plus profond avec plus de hauteur. Tenter d’apporter une vision plus holistique.
A bien y regarder, ne serions-nous pas tous un peu sionistes autant que des oligarques miniatures ? Comme le démontrait Hans-Peter Dürr, être riche d’1 million d’euros équivaut à maintenir 10 000 personnes dans la précarité, et ce toutes leurs vies. Ce calcul est valable de façon dégressive et aussi progressive. Pour gagner 500 000 euros, c’est 5 000 personnes plongées dans la précarité et ainsi de suite. A entretenir l’esclavage d’autrui pour notre « enrichissement » personnel, à « gagner notre vie » pour consommer, ne sommes-nous pas tous un peu sionistes oligarques ?
Sans compter que cette course permanente à devoir gagner sa vie est cause de stress, d’angoisses, de colères, d’énervements, de jalousies… pour quasiment tous les humains ce stress et angoisse à devoir gagner leurs vies est un frein direct à vivre l’ici et maintenant, le lâcher-prise, l’amour inconditionnel. Avec, en prime, tout ce que ces émotions négatives engendrent au niveau des pensées qui alimentent les égrégores négatifs, influant directement chaque humain créant et façonnant notre réalité à travers chacun d’entre nous de façon inconsciente mais belle et bien réelle. Hans-Peter Dürr était un physicien quantique qui a fait les recherches et calcul pour arriver à cette conclusion de façon scientifique et rigoureuse. Son CV est une preuve de son intégrité.
Derrière la quasi-totalité de nos produits de consommation se cache l’exploitation, l’esclavage de millions de personnes, la marchandisation du vivant. Derrière quasiment toutes les plaquettes de chocolat, de grains de café, de sachets de thé, de vêtements se cache l’exploitation de millions d’êtres humains, adultes et enfants confondus. Derrière quasiment chaque denrée alimentaire se cache l’exploitation d’autrui et la dévastation de nos ressources planétaires, déforestation, engrais, pesticides… toujours la marchandisation du vivant. Derrière chaque écran d’ordinateur, de téléphone, de tablette, se cache la mort de millions d’êtres humains pour que notre con-fort abrutissant nous rende malade tout en détruisant notre environnement. Derrière chacun de nos achats, de nos ventes, se cache la marchandisation du vivant, d’une pomme de terre à l’humain.
Le « bio » a en grande partie été récupéré par de grands groupes financiers et nous pouvons d’ores et déjà en voir tous les abus ! Un simple exemple, est-ce que faire venir des ananas bio par avion en décembre est une évolution réelle !? Un progrès écologique ? Est-ce que ces grands producteurs bio le font pour le bien commun ou est-ce que celui-ci est un prétexte pour gagner de l’argent, s’enrichir sur le dos d’une fausse « ‘écologie » ? Le bio est une étape mais il faut encore voir plus loin.
Quand toute la planète cultivera du bio pour le vendre et l’acheter, aurons-nous un comportement plus éthique, responsable pour autant ? Est-ce que certains ne vont pas tricher d’une façon ou d’une autre pour prendre des parts de marché et gagner leur vie au détriment d’autres en continuant exactement les mêmes exploitations que sans le bio ?! Et en fin de compte, où ira tout l’argent de ce commerce, toujours dans les mêmes banques il me semble. Qu’est ce qui aura vraiment changer, un peu la forme mais pas le fond, or c’est le fond qui doit évoluer. De nombreux cas d’abus et tricheries existent déjà dans le monde du bio (engrais chimique, exploitation de main d’oeuvre, …) Est-ce que ce sera mieux quand toute la planète sera au bio ? J’en doute !
Tant que nous ne changerons pas notre façon de co-créer la vie, qu’on le veuille ou non, chacun d’entre nous contribue à la marchandisation du vivant pour de l’argent qui n’est rien d’autre que des chiffres virtuels sur des serveurs informatiques et des écrans d’ordinateur ! Que la prochaine crise nous retirera pour enrichir davantage ceux qui tiennent l’argent !
Grandir c’est avoir le courage de se regarder en face, avoir le courage et la volonté de s’auto-juger car si nous ne le faisons pas, la vie, le vivant, Dieu s’en chargera. Je suis passé lors de mes expériences par cet auto-jugement, la pesée des âmes … aimer de façon totale et inconditionnelle… j’ai eu la chance inouïe de m’auto-juger à travers cet Amour et revivre pour moi tout ce que mes actes, paroles et pensées avaient produits sur autrui, le bon comme le mauvais. C’est une expérience que chacun vit et vivra lors de son décès ! C’est ce que l’on appelle » voir tous ses actes accomplis » et tous, absolument tous nous passons et passerons par cet exercice si beau, merveilleux et si douloureux parfois. Dieu, la vie, le vivant nous prend dans ses bras et nous aime de façon inconditionnelle ce qui engendre chez chacun la vision et compréhension de nos manques d’amour et du conditionnel dans lequel nous nous sommes engourdis voir enlisés !
Cette caste sioniste passera elle-aussi par ce « pesage des âmes » et soyez sûrs et certains qu’ils vivront des moments d’une douleur extrême et indescriptible, nul ni échappe, c’est impossible, c’est la loi des mondes, la loi de la création !
Pour certains, ils seront peut-être, je dis bien peut-être, les sages de demain. C’est en s’auto-jugeant à travers cet amour inconditionnel qu’ils pourront se rendre compte du mal qu’ils ont fait et se sont fait.
Mais revenons au centre du sujet.
Est-ce que leur credo de base (sioniste oligarque) engendrant tout un tas de perversités n’est pas le pouvoir par/pour l’argent par les mensonges, les manipulations en tout genre, l’égocentrisme, l’égotisme, la vanité, la victimisation créée par eux-mêmes pour justifier et servir leur perversion ? L’esclavage d’autrui, la marchandisation d’autrui de la vie, du vivant… ne faisons-nous pas « à notre corps défendant » un peu la même chose à des degrés divers et multiples mais bien réels ?
Si notre « enrichissement » financier maintient d’autres personnes dans la précarité, est-ce que ce n’est pas là un des principes du sionisme oligarque ? Est-ce que l’exploitation des pauvres pour s’enrichir n’est pas ce que font les israéliens juifs sionistes aux palestiniens et aussi à la planète entière ? Est-ce que ce n’est pas ce que nous faisons tous chaque jour : la marchandisation du vivant ? Prenons un peu de hauteur !
Un exemple, un couple de la classe moyenne qui gagne 4000 euros par mois peut acheter sa maison à crédit en 25 ans, soit une maison valant +/- 350 000 euros pour laquelle ils auront en réalité remboursé entre 450 000 et 500 000 euros (contributions directes, « volontaires » à l’enrichissement en grande partie de ces banquiers sionistes et leurs vassaux oligarques). Une fois le crédit remboursé, ce couple sera riche d’un patrimoine d’un minimum de 350 000 euros, auxquels nous pouvons ajouter tous les produits de consommation indispensables à la survie pour rembourser les échéances des crédits. Vêtement, nourriture, énergie, voiture, école pour les enfants, etc… etc. Ce consumérisme contribue au maintien de la précarité des plus pauvres et détruit la planète tout en participant à l’enrichissement des oligarques, sionistes ou pas.
Ce couple bien pensant aura, pour être propriétaire de sa maison valant 350 000 euros, maintenu dans la précarité 3500 personnes durant toutes leurs vies… mais il ne s’en rend pas compte et est ignorant des lois causales, car pour qu’une personne gagne, il faut qu’ils y en aient qui perdent dans notre paradigme économique … sans compter que courir après l’argent leur fait perdre à eux aussi leur vie !!!!….
Pourquoi est ce que les « économistes » ne s’intéressent-ils qu’aux courbes des fluctuations de la bourse et des bénéfices engendrés par les uns et les autres, par les + et les – les x et les : pourquoi ne regardent-ils pas ce que créée en vérité cette société uniquement basée sur l’économie, l’acheter et le vendre, le commerce ou comme-herse hérissé entre l’homme et l’homme, l’homme et la création.
La vie, le vivant, Dieu n’a pas créé l’argent, il a donné à l’homme la possibilité de le créer comme il a donné bien d’autres possibilités pour ne pas le créer, c’est une question de choix, de conscience. Pourquoi ne pas écrire une nouvelle arithmétique ? Actuellement notre arithmétique est de faire + avec – pour X (multiplier) les :
Ne pourrions nous pas envisager une nouvelle arithmétique où il y aurait + de X pour – de : plus de fois, multiplications pour moins de divisions.
Est-ce que nos modes de vie ne sont pas empreints directement de ce principe sioniste de l’exploitation sans vergogne de l’autre, de l’humain et des ressources de la terre que nous dévastons de façon inique pour l’achat de produits souvent inutiles et néfastes à notre véritable bien-être et le devenir du genre humain. Est-ce que gagner sa vie n’est pas la marchandisation du vivant ???
Montrer l’autre du doigt ne sert à rien (ne juges pas et tu ne seras pas jugé !! ) puisque de toute façon le fait de gagner notre vie enrichit et donne du pouvoir à ceux qui tiennent le pouvoir en » mains-tenant » l’autre dans la précarité en étant nous-mêmes esclaves de ce processus d’esclavage « moderne « … cette façon de faire n’est-elle pas un peu hypocrite autant que dénuée de bon sens ? On ne peut dénoncer un système que l’on alimente soi-même ! Par l’incapacité à trouver, incarner de nouvelles solutions, créer une autre réalité.
Personnellement je vois ces oligarques comme des cellules cancéreuses et nous savons que la maladie (mal-à-dit) est là pour nous guérir (guerre-rire) de nos choix, pensées, paroles et actes corrompus. En tout cas n’allant pas dans le sens de la vie, du vivant, de la joie, des lois d’équilibre qui nous régissent, nous ont créé et créent la vie, le vivant, l’univers par L’ESPRIT !
Une maladie n’est jamais arbitraire, elle ne décide pas de son libre chef de tomber sur untel ou unetelle le matin, NON, une maladie s’incarne en nous car nous avons par nos actes, paroles et pensées créé le terrain propice à ce qu’elle puisse prendre toute sa place, et ceci dans un seul et unique but, nous montrer nos dysfonctionnements, nos façons de vivre erronées, destructrices, avilissantes créant la maladie et ceci parfois de façon très violente qui est le retour de boomerang de nos propres violences, toujours la loi d’équilibre, celle de la réciprocité des effets !
Cette « caste », ces âmes car ils ont une âme et sont aussi des créations de la vie, du vivant, de Dieu, remplissent immanquablement bien leur rôle, tout comme les cellules cancéreuses remplissent la leur, afin de nous montrer que nous dysfonctionnons. Elles remplissent de façon impeccable leur rôle afin de nous aider à chercher et trouver d’autres moyens d’existences ayant favorisé, facilité la prolifération des métastases et leur incarnation.
Il n’y a pas de différence entre l’infiniment grand et l’infiniment petit, microcosme et macrocosme sont une seule et unique même chose, l’infiniment petit est dans l’infiniment grand et vice-versa. Un peu comme les poupées russes …. les fractales !
Figure fractale
Si cette caste est maintenant au pouvoir sur cette terre, c’est bel et bien parce que nous lui avons laissé toute la place en recopiant bêtement le paradigme qu’elle nous a imposé. Pourtant bon nombre de sages, de maîtres se sont depuis la nuit des temps incarnés sur cette terre afin de nous expliquer, enseigner le pourquoi du comment afin de nous éviter de tomber sous leur pouvoir.
Quand un être a un cancer, il doit revoir tout un tas de fonctionnements internes pour guérir, et une des choses qui revient le plus est d’avoir une pensée positive. « Vous » n’allez pas commencer à avoir peur, de la haine, de la rancœur et de l’amertume vis-à-vis de ces cellules cancéreuses ? Cela ne servirait à rien. Bien au contraire, de charges négatives, elles se nourrissent de négatif, dans ce cas de figure vous ne feriez qu’aider à leur propagation.
Il nous est impossible d’en vouloir à notre cancer puisque c’est nous-même par nos comportements éronnés qui avons facilité sa venue en nous. Il en va de même pour cette « caste » de gens, ces cellules cancéreuses oligarques sionistes, elle incarne notre incompétence à vivre en harmonie, syntonie avec le vivant, c’est d’autant plus vrai que nous recopions en partie son paradigme d’exploitation d’autrui et de la terre, la marchandisation du vivant, bien souvent sans même que l’on s’en rende compte par manque de vision holistique du vivant comme de nos faits, actes, paroles et pensées.
Nous sommes exploités et exploitons à notre tour, tout ça pour l’argent dont nous remplissons les poches de ceux qui le tiennent ! Une fois que l’on a vraiment vu tout le mécanisme du paradigme économique, ce n’est que l’horreur. La précarité augmente sur la planète et grâce à cela nous pouvons observer que des solidarités se mettent en place, d’ailleurs les peuples les plus pauvres sont plus solidaires et partagent plus facilement, mais dès que l’argent arrive, l’individualisme s’installe ! Pourquoi ?? Est-ce que ce n’est pas la preuve édifiante que l’argent corrompt, coupe l’homme de l’homme, de la création et de son créateur. La précarité pousse à l’ingéniosité et cela est vécu et expérimenté chaque jour par des êtres humains et de nombreux témoignages et expériences le prouvent. Par contre, dès que l’argent est là, tout ça s’éteint ! Est-ce que ce n’est pas, là aussi, la preuve évidente que l’argent détruit tout, tant pour l’humain que pour son environnement !
Ce qui tient cette caste au pouvoir, n’est rien d’autre que notre incapacité à créer un autre modèle de vie en société que celui qu’ils nous ont imposé depuis des siècles ! Comme déjà dit, nous tous, à des degrés divers et multiples, sommes responsables, co-responsables de la situation actuelle, eux ne sont que la « quintessence », la somme de nos dysfonctionnements égoïstes, égocentriques, immatures, inconscients, destructeurs. Ils sont juste là, comme les cellules cancéreuses pour nous montrer tous nos manquements, tous nos NON, plus que nos OUI ! Ils prennent sur eux d’être la preuve vivante de notre manque d’amour, de bienveillance, de générosité, d’altruisme, de compassion, d’humilité, de don de soi, de partage, de fraternité, de solidarité, d’émulation, de joie, de confiance, de Foi, de co-naissance, de générosité, de respect, de service, de restitution de gratitude, d’empathie, de sagesse, d’écoute …. et j’en passe !
Tout comme nous avons eu besoin d’un Zoroastre, d’un Bouddha, d’un Christ, d’un Moïse, pour nous révéler notre lumière, nous avons besoin de ces âmes comme d’un Hitler pour nous montrer toutes nos ombres. Il appartient à chacun de choisir quel « camp » nous désirons servir, de quelle réalité nous voulons faire l’expérience. Il est pour moi inutile de stigmatiser telle ou telle caste en continuant d’utiliser les armes qu’ils ont créé pour nous asservir, c’est un peu sot. On ne peut pas changer de paradigme en continuant d’utiliser journellement les outils de ce paradigme, j’entends ici en grande part l’argent.
Il est impossible de changer de paradigme, de déboulonner les dirigeants de ce monde (oligarque sioniste), ceux qui tiennent l’argent en déposant chaque jour notre argent dans leur banque. Il est impossible de combattre un pouvoir en donnant du pouvoir à ce pouvoir, c’est stupide. Combien même il serait déboulonné, d’autres prendraient inévitablement la place tant que nous ne changerons pas radicalement de réalité.
Par leur actes corrompus et fous ils nous montrent notre chute, notre folie et nos corruptions individuelles et collectives, notre incapacité à nous aimer les uns les autres de façon inconditionnelle. (Grande phrase sans doute mais au combien véridique)
Je reconnais leur négativité autant que le fait qu’ils soient vraiment néfastes, mais je ne peux m’empêcher de voir, d’observer que bon nombre de mes concitoyens font de même chaque jour à moindre échelle ! Ce sont tous nos manquements, tous nos NON, toutes nos colères, toutes nos peurs, rancœurs et amertumes, notre engourdissement qui fortifient leur pouvoir, pouvoir que nous leur offrons chaque jour à chaque instant par notre incapacité à créer une autre réalité qui pourtant est juste là devant le nez, les yeux et oreilles de chacun depuis des siècles maintenant.
Une info vient de tomber sur la disparition de la faune et la flore à plus de 60%… quelles mesures sont prises ? Qui est dans la rue pour dénoncer cette horreur !? Qui voit que nous sommes vraiment dans un suicide collectif organisé par chacun d’entre nous par notre incapacité à changer de paradigme. Nous avons détruit en moins de 150 ans plus que ces 5000 années passées, et ce phénomène est exponentiel malgré les maigres avancées de l’humanité.
Je crois en Christ et sa parole mais où est-elle incarnée à 100% en toute vérité, OU ? il a tout donné gratuitement, IL s’est toujours tenu loin, très loin de l’argent car il en connaissait toute la perversion. » Si vous voulez me suivre en esprit, par et pour l’esprit, rendez à César ce qui appartient à César », c’est à dire l’argent… comment être étonné de la situation planétaire actuelle, qui a rendu l’argent!? Quasi tous se « battent » chaque jour pour quelques centimes qui enrichissent une poignée en dévastant la planète et mains-tenant dans la misère des milliards d’êtres humains. Quel serait le regard du Christ et ses mots s’il était ici maintenant, verrait-il l’incarnation de ses enseignements ou son exact contraire ?!
Idem pour bouddha, afin de trouver l’Eveil pour guider cette humanité, il a quitté sa famille, abandonné sa fortune, sans doute avait-il vu lui aussi que tout ce luxe était un frein, un blocage à ce qu’il puisse trouver l’Eveil.
Christ comme Bouddha se sont tous 2 tenus loin de l’argent, leurs sagesses en connaissaient les pièges et la perversité et tous 2 ont tout offert, soin et enseignement gratuitement et beaucoup de ces soit-disant éveillés spirituels, guérisseurs et autres, se taillent des fortunes sur leur dos, c’est abject à mes yeux ! Fortune gagnée sur le dos de pauvres bougres qui contribuent à la marchandisation du vivant pour les salaires de ces grands sages éveillés de pacotille. Fortunes qui finissent dans les banques ! Il y a de quoi rire aux éclats devant tant d’imbécillité comme de sombrer dans le plus grand désarroi.
Une humanité (macrocosme), s’éduque, s’élève comme un nourrisson (microcosme) jusque l’âge adulte, pour grandir et se fortifier elle a besoin de nourriture saine mais aussi de virus pour fortifier ses anti-corps, sa structure immunitaire. Sans ses fortifications il ne peut vivre ni croître, il en va de même pour l’humanité, pour croître, grandir, elle a besoin de ses propres virus et bactéries afin de se fortifier pour aller vers plus de lumière, plus de conscience.
Si son manque de volonté à trouver plus de lumière, plus de conscience en continuant certains dysfonctionnements perdurent, et bien c’est tout naturellement qu’elle développera des mal-a-dits, un cancer, (oligarque sioniste) afin de corriger le tir, c’est très simple en fait. Microcosme et macrocosme sont intriqués, enchevêtrés l’un à l’autre, tout fonctionne à l’identique, de la plus petite cellule à la galaxie la plus grande. C’est toujours le même seul et unique principe qui les habite, les créer, les co-créer, les re-créer sans cesse à l’infini depuis des siècles et des siècles pour des siècles et des siècles, L’ AMOUR avec un grand A !
Combien de guerres ont pour origine l’argent et l’illusion du pouvoir qu’il induit ? Combien de millions de morts, de meurtres, de dévastations ! Tout ça pour l’argent, du pouvoir au lieu de pourvoir …
Il nous serait si facile de changer de paradigme mais il implique des choix drastiques qui semblent si difficiles à l’humanité engourdie depuis des siècles à devoir gagner sa vie plus qu’à la vivre. A exploiter et être exploité plus qu’à offrir, partager, restituer, sublimer, AIMER !
Je reconnais aussi qu’il y a une mouvance qui s’efforce de trouver une autre réalité, je reconnais qu’il existe des solidarités et des êtres qui vouent leurs vies au bien-être d’autrui, je reconnais qu’il existe des mouvements solidaires qui s’intéressent et aident les plus démunis, je reconnais qu’il existe des êtres très impliqués dans l’aide à autrui et des organismes privés et gouvernementaux qui impulsent un changement des habitudes et essaient d’éveiller l’humain à être plus solidaire mais je reconnais aussi qu’ils sont encore assez marginaux et que beaucoup de ces initiatives s’appuient encore sur l’argent.
J’ai encore un milliard de choses à dire, écrire, mais bon, si vous êtes venus jusque-là, MERCI de votre patience.
Peut-être serais-je pris pour un doux rêveur, mais je préfère mon rêve au cauchemar fabriqué par la grande majorité de cette humanité et je le concède, sans qu’elle ne se rende vraiment compte de ce qu’elle créé à chaque seconde par ses choix, actes, paroles et pensées.
Pour ce qui est de l’énergie sexuelle, sa place dans la création et le mauvais emploi que l’homme en fait, créant tout un tas de pathos et traumas individuels et collectifs pour cette humanité, ce sera plus tard ou pas…
très cordialement.
Robin.
Ce texte est un plaidoyer pour tenter d’aider à lâcher les haines, les peurs et les rancœurs visant des castes tel que : les sionistes, les oligarques, les banquiers, les franc-maçons, les religions… la liste est longue. Il est temps d’arrêter la vision binaire et dualiste de notre réalité planétaire.
Il n’y a ni bourreau, ni victime, nous sommes tous tantôt l’un, tantôt l’autre tant que notre conscience ne s’est pas ouverte à une conscience supérieure ! » Que celui qui n’a jamais pêché jette la première pierre ! «
Le texte ci-dessous, ce partage, cette vision, a pour motivation d’élargir la compréhension et la vision de notre réalité afin d’avoir un regard plus large, plus profond, plus holistique.
Ce partage ne juge de rien ni personne mais est, sans doute, le fruit d’une prise de hauteur et de profondeur qui recherche l’unification plus que l’entretien des divisions.
Cette vision cherche à responsabiliser sans culpabiliser, il cherche à faire naître une réflexion plus qu’une stigmatisation, il a pour but d’apporter un éclairage, une mise en lumière élargie d’une situation compliquée et simple à la fois.
Ce regard a pour but la prise en main collective et individuelle d’un devenir plus serein, plus en adéquation avec le vivant, la Vie. Cette prise en main nécessite l’audace et le courage de regarder en face, sans faux-semblant, une réalité que nous vivons tous, mais aussi que nous créons tous par nos choix et façons d’agir individuelles et collectives.
L’avenir du genre humain est menacé si des changements drastiques ne sont pas mis en oeuvre. Toutefois cet écrit cherche à retourner la crainte de l’effondrement. En effet, les peurs et les craintes, les haines et les colères sont les moteurs indéniables de la situation actuelle. Si nous voulons donner une chance à notre humanité, il nous appartient d’incarner des solutions efficaces, sources de Joie.
Ce texte cherche à dédramatiser la situation actuelle par une prise de conscience sereine rendue possible par un auto-jugement fort et implacable, motivant alors une responsabilisation collective et individuelle nous permettant de sortir la tête de l’eau.